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Citations de Keri Arthur (100)


« - On ne peut pas dire que je ne me méfie pas assez.
Ce qui n'était pas exactement vrai. Sinon, que ferais-je ici à m'enivrer de ce mélange de santal, de virilité et de désir au point de n'avoir qu'une envie : le prendre dans mes bras et ne plus le lâcher ? Pourquoi n’étais-je pas plutôt en train de le fuir à toutes jambes, lui et les problèmes qu'il représentait ?
Parce qu'il était mon chocolat. C'était peut-être fou, c'était peut-être pervers, mais il représentait la seule et unique tentation à laquelle il m'était impossible de résister.
Pourtant, il avait prouvé à de nombreuses reprises à quel point il était nuisible à ma santé... ma santé émotionnelle. »
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« - dans trois mois, je verrai plus clairement ou j'en suis. Il n'y a aucune certitude que nous nous remettions un jour ensemble, Quinn.
Il resta silencieux un long moment, me fusillant de ses yeux d'obsidienne plus sombre que la nuit et nettement plus dangereux. Puis il m'agrippa et m'attira brutalement à lui, plaquant sa bouche contre la mienne presque sauvagement. J’aurai pu me débattre. J’en aurai été capable. Mais je n'en avais pas envie. Si c'était un au revoir, alors j'avais l'intention d'en profiter ».
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« Son esprit m'envahit aussi. Et il explora mes pensées et mes souvenirs aussi vite qu'un cambrioleur craignant d'être surpris. Je sentis une bouffée de rage incomparable à ce que j'avais ressenti jusqu'à ce jour et, sans réfléchir, je baissai entièrement mes défenses psi et laissai ma puissance mentale le frapper de toutes ses forces. Il poussa un cri étranglé et la force de mon coup psychique le projeta physiquement loin de moi, à travers la porte de la cuisine, jusque dans le salon, où il atterrit lourdement sur le dos. Je relevai précipitamment mon armure. Je ressentis une légère douleur, mais elle ne faisait pas le poids face à la fureur qui m'animait désormais. Je ramassai ma culotte et me ruai à la suite de Quinn.
- Espèce de salaud! Hurlai-je en lui lançant ma culotte à la figure pour une raison inconnue. »
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« - Mon Dieu, je crois bien que je t'aime, soupirai-je en entourant ma tasse de mes mains et en inspirant profondément. Quel bonheur, même sans noisette.
- Je t'offrirai tout le sirop de noisette que tu voudras quand on sortira ce week-end.
Je souris d'un air amusé.
-Ah? Et je n'ai pas mon mot à dire?
- Tu peux choisir le lieu et l'heure, mais je n'accepterai aucune autre réponse que "oui". (Son regard était plein de détermination, mais aussi d'une affection qui me fit manquer un ou deux battements de cœur.) Parce que sinon, je viendrai te chercher, je te jetterai sur mon épaule et je te kidnapperai de force. »
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« Tout ce que je sentais, c'était le sang.
Du sang épais et capiteux.
Du sang qui recouvrait tout mon corps et me grattait la peau.
Je m'étirai en gémissant doucement et me laissai rouler sur le dos. De nouvelles sensations percèrent le brouillard qui m'encombrait l'esprit. Le froid des pavés contre mon échine. La pluie fine sur ma peau nue. La puanteur d'ordures laissées trop longtemps au soleil. Et, derrière tout cela, une odeur de chair crue.
Je ne sais pour quelle raison, mais cette senteur m'emplit d'un mauvais pressentiment...»
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« - Riley? est ce que tu écoutes ce que je dis?
Le ton agacé de jack me sorti brutalement de mes pensées je respirai profondément et me retournai.
- En fait, non, je l'avoue tu disais quelques chose d'important?
- Bien sur que non. Tu sais très bien que je parle surtout pour le plaisir d'entendre ma propre voix, répliqua t il d'un ton sarcastique. »
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« Quand il en eut fini avec la première jambe, il s'attaqua à la seconde. Mon corps vibrait d'un plaisir intense, savourant chaque nuance de cette séance de chouchoutage sensuel. - C'est quoi, ça? demanda-t-il en effleurant la trace laissée par la balle sur ma fesse. Un des flics a voulu apporter quelques modifications à mon cul. - Encore un idiot incapable de reconnaître la perfection quand elle se trouve sous son nez. - Je crois qu'il était un peu contrarié qu'un petit bout de femme ait été capable de mettre son partenaire KO. »
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« Je coupais la communication, fourrer mon téléphone dans mon sac et m' en retournai chez moi. Je me rendis compte que je n'avais pas encore fini avec cette soirée étrange. Un vampire se trouvait devant ma porte. Un vampire nu même. Je m'immobilisais et le regardais d'un air hébété. Je ne pouvais m'en empêcher. Après tout, il était tout nu. Et, bon sang, il était sacrément bien foutu. »
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« La colère m'envahit et je le frappai. Je n'étais pas plus partisane des femmes cognant sur les hommes, mais à cet instant précis, avec son petit sourire satisfait et le regard qui disait "je sais quelque chose que tu ne sais pas", je ne pus résister. Il ne vit rien arriver quand de mon poing serré je percutai la pointe de son menton de toutes mes forces. Et ça n'était rien. Sa tête fut projetée en arrière et il perdit connaissance avant même de toucher le sol.
- Joli uppercut, commenta Quinn. Rappelle-moi de ne pas te mettre en colère.
- Tout ce qu'il faut se rappeler, c'est que cette louve-ci n'aime pas particulièrement qu'on se permette d'essayer de contrôler sa vie. »
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- Tu sais faire la cuisine ?
- J’ai mille deux cent ans d’expérience en la matière, ça permet d’acquérir une certaine expertise.
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- En revanche, je t‘ai désirée, toi, dès le moment où je t’ai vu te déshabiller avec tant de sensualité devant la fenêtre de ta chambre.
Il allait vraiment falloir que je sois un peu prudente à l’avenir quand j’ôterais mes vêtements à l’issue d’une dure journée de travail, semblait-il.
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- Mais vous savez pourquoi vous vous trouvez devant ma porte ?
Il acquiesça.
- Si c'est vous qui habitez ici, alors c'est que je suis venu vous rendre visite.
- Eh bien ! autant que je vous le dise, je n'ai pas pour habitude de trouver des mecs cul nu sur mon paillasson.
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Tome 5 Sombre étreinte: Si j'étais un chat je me serais mise à ronronner de contentement. Et elle le dit dans le Tome 1, le 2, le 3, le 4.
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Si tu dois tirer, fais en sorte que ce soit pour tuer. N'hesite pas.
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Le torse etait sur le coffre de la voiture de sport, une expression de pure terreur figée sur son visage. Enfin, ce qu'il en restait.
Cette expression disait que l'homme avait subi un supplice digne des profondeurs de l'enfer au beau milieu d'un des plus grands plaisirs de la vie.
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Je ne voulais pas mourir. Pas maintenant, pas dans cet endroit.
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Le métamorphe resserra sa prise, et sa montre s'enfonça plus profondément dans ma chair. Le sang commença à dégouliner le long de mon cou, et si j'avais eu assez de souffle pour jurer je ne m'en serais pas privée.
Il fit un pas en arrière en m'entraînant avec lui.
Son attention était accaparée par l'étranger, et je sus que je n'aurais pas de meilleure opportunité.
Je passai une main derrière, lui attrapai les testicules et les tordis aussi fort que possible. Il poussa un cri et, par réflexe, relâcha son étreinte. Le poing toujours fermé, je me dégageai, fis volte-face et lui envoyai un direct en y mettant toute ma puissance.
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— … je promets de découvrir tout ce que je peux à propos d’Evensong Air et de son propriétaire.
— C’est urgent…
Mais mes doigts qui parcouraient son dos et l’attiraient contre moi, mes cuisses qui s’écartaient pour lui livrer passage, toutes mes actions venaient contredire mes paroles.
— Cela aussi.
Il se colla contre mon entrejambe, promenant son gland à l’entrée de mon vagin, agaçant celui-ci sans le pénétrer.
— Si c’était urgent, tu arrêterais de m’allumer et tu me baiserais.
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Elle m'observa, et je sentis la peur crisper mes membres. Non, il ne s'agissait pas d'identifier un tueur et de l'empêcher de faire de nouvelles victimes. L'enjeu, c'était moi.
Et ses paroles suivantes me le confirmèrent.
- D'aucuns, au Grand Conseil, estiment qu'il serait dans notre meilleur intérêt de te voir morte. Je m'efforce de les convaincre du contraire. Je pense que tu pourrais nous être très utile, et pas seulement pour retrouver les clés.
Je déglutis péniblement.
- Donc, tout cela est un test?
- Et si tu accordes un tant soit peu de valeur à ta vie, un petit conseil: n'échoue pas.
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- J'ai juste appelé Azriel.
- Le Faucheur?
Soudain, Iliana apparut dans l'embrasure de la porte. Elle regarda derrière moi et resta bouche bée.
- Alors ça! Ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais!
- Et vous vous attendiez à quoi? demanda-t-il.
Sa voix grave teintée d'amusement fit vibrer chaque parcelle de mon corps.
- Je ne sais pas. (Elle agita la main dans sa direction.) Mais pas à cette allure... dangereuse.
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