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Citations de Koko Nhan (257)


« Ses regards en biais, ses attitudes et sa démarche de conquérante me donnent envie de baiser le sol que ses pieds foulent. Si je suis dingue ? Je crois même que j’ai besoin d’une camisole… » Mason-
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L'espoir tue, oui. Parce que c'est lui qui, à chaque fois nous force à nous relever.
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Seulement, si l'Homme apprend de ses erreurs, il finit par les oublier. Au risque, un jour, de les reproduire...
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Nous sommes esclaves de notre genre et des générations d'asservissement rendent tout changement impossible. Nos parents nous éduquent. Ils nous montrent l'exemple. La plupart des femmes n'imaginent pas le monde tourner différemment. comment le pourraient-elles ? Elles n'ont jamais rien connu d'autre.
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Elle est ma drogue douce. Je suis dépendant de ses sourires, de ses rires, de sa voix, de son parfum, de son caractère.
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Abandonner me semble inenvisageable. Pas alors qu'ils sont morts. Ce ne serait pas leur rendre justice. Et je sais qu'il n'y a que là-bas que je pourrai affronter mes démons, à l'endroit même où ils ont pris naissance. Dans les cris, le sang, la mort.
Et je les anéantirai.
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Ce genre de guerre là nous pousse à faire des choses atroces, impardonnables, et aucun « tu n'avais pas le choix » n'est capable d'effacer la culpabilité. On pointe une ethnie, une idéologie, une religion. Mais au final, quand on tue, celui qui se trouve au bout de notre fusil n'est rien d'autre qu'un être humain.
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Le monde continue de tourner quand, moi, je reste sur pause, perdu dans les méandres de mon esprit. Je quitte la réalité. Parfois, j'ignore même où mes pensées m'ont conduit. Je sais juste qu'en un clignement d'yeux, une heure est passée, et que je me suis contenté de respirer.
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Je maudis tellement le destin de se foutre de moi avec autant d'ironie. Comment se pouvait-il que la femme à qui je pensais pour supporter ma haine soit la même que celle qui l'alimentait ? pourquoi fallait-il que celle qui soignait intérieurement mes plaies soit aussi la personne qui symbolisait à mes yeux ceux qui les ont infligées ?
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Je suis épuisé de lutter contre toi, Shaadi. De me battre contre moi. Tout ce que je peux te demander, c’est de me pardonner pour ces mots que je pourrai parfois te dire et pour ceux que je pourrai taire. Pardonne-moi pour ce que je ressentirai malgré moi et pour tout ce que tu me feras éprouver malgré toi."
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Ma vie est comme une escalade et ces pilules sont mes mousquetons. Sans elles, je m’écraserai au sol, sans aucun doute. Et je ne veux pas m’écraser, non. Je veux monter plus haut, là où ces sécurités ne me seront plus nécessaires. Le souci, c’est que plus je monte, plus le sommet s’éloigne. C’est sans fin. Alors je m’épuise pour grimper, même si je sais que je n’ai que deux options : chuter en contrebas ou poursuivre cette ascension sans jamais atteindre la cime.
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Je suis effrayé par la puissance de mes sentiments. Parce qu’un béguin, ça passe. L’attirance, ça fane. L’amour, le vrai, il s’incruste partout. Il rend vivant. Mais seulement s’il est partagé. Quand il est à sens unique, il est frustrant et dévorant. La jalousie vous ronge et vous rend amer.
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Aucun de nous ne vient briser le silence. Je n’aime pas ça, quand il hurle toutes ces choses qu’on ne parvient pas à se dire.
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Je suis le genre de ceux qui peuvent passer des heures à écouter, à conseiller, à rassurer, ou même à consoler. En revanche, m’exprimer sur ce que je ressens, j’en suis incapable.
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J’ai le sentiment d’être abstrait, que le monde autour de moi avance alors que je reste au même endroit. Au début, je luttais contre mes absences. Désormais, j’attends. J’attends de me reconnecter à la réalité. Quand j’y parviens, j’ai souvent le tournis, mais je m’accroche. Ouais, je m’accroche jusqu’à ce qu’à nouveau, j’aie besoin de m’évader. C’est un cycle sans fin. Je fais croire aux autres que je vis pour qu’ils ne sachent pas que mes absences me permettent tout juste de survivre.
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Mes absences sont de plus en plus fréquentes. Le monde continue de tourner quand, moi, je reste sur pause, perdu dans les méandres de mon esprit. Je quitte la réalité. Parfois, j’ignore même où mes pensées m’ont conduit. Je sais juste qu’en un clignement d’yeux, une heure est passée, et que je me suis contenté de respirer.
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Aucune réponse ne suit. Puis le silence se prolonge. Il s’étire, à l’infini. C’est le genre de ceux après lesquels on ne sait jamais rebondir. Les conversations s’essoufflent, les mots s’étouffent et les non-dits persistent.
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Il emploie les mêmes méthodes que ma mère. Un prêté pour un rendu, « tu parles, je parle... » sauf que je préfère garder ma merde pour moi plutôt qu’elle éclabousse les autres.
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Les implosions font plus de ravages que les explosions. Leurs dégâts sont plus profonds, et c’est ce qu’il m’arrive. J’implose. Doucement. En silence. Ça ne date pas d’aujourd’hui ni même d’il y a quatre semaines, c’est une lente et mortelle agonie.
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Vivre avec l’autre, c’est lui laisser voir tout ce qu’on aimerait lui cacher. Toutes ces fois où, malade à en crever, on se noie sous une énorme couette, entouré de montagnes de Kleenex. Ou toutes celles où on est dans une si mauvaise journée qu’on en devient facilement irritable. Et pour terminer, celles où le cafard s’invite et nous donne envie de fuir les autres pour nous retrouver nous-même. Vivre avec quelqu’un, c’est le laisser rencontrer toutes les facettes de notre personnalité, jusqu’aux plus désagréables.
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