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4.29/5 (sur 576 notes)

Nationalité : Canada
Biographie :

Manon Donaldson est auteure de romance.

Elle habite à Québec.

page Facebook : https://www.facebook.com/manondonaldson.auteure.7

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Citations et extraits (159) Voir plus Ajouter une citation
Vaut-il mieux un homme à l’apparence et aux manières parfaites qui cache sous son habit un monstre  ? Ou alors un goujat affiché qui ne s’embarrasse pas de faux-semblants  ?
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Pendant un infime instant, j’ai le sentiment que celui que je prenais pour le plus sauvage d’entre tous était en fait celui qui était le plus capable d’humanité à mon égard.
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C’est donc ça l’amour  ? Quel divertissement trouvent les femmes entre les cuisses d’un homme  ?
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— Et la deuxième ? me demande-t-il.
— La deuxième quoi ?
Je fais mine de n’avoir aucune idée de ce dont il parle.
— Ta deuxième phrase préférée beauté, tu m’as dit hésiter entre deux.
Il est debout devant la porte et me déshabille du regard. Il ne s’est pas encore changé et porte toujours sa veste aux couleurs des Steel. Ça le rend vraiment sexy. Je réfléchis quelques secondes pour être sûre de bien utiliser cette opportunité.
— Celle où tu me dis que tu vas me baiser jusqu'à ce que je demande grâce.
Ses yeux s’arrondissent sous l'effet de surprise.
— Oh, attends, je dis la bouche en cœur. Je crois que c'était dans mon rêve celle-là, j’ajoute l'air innocent.
Il s'approche tranquillement de moi avec une démarche de fauve. Ses yeux transpirent une excitation qui m’est familière et son seul regard suffit pour allumer un brasier dans mon ventre.
Il est maintenant tout près de moi. Il se penche à hauteur de mon visage.
— Beauté, je vais te baiser jusqu'à ce que tu demandes grâce.
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Un texto de Chris. Bien sûr...
[Il fait froid dans ton salon, et ta couverture est trop petite.]
[J'ai des draps supplémentaires dans le placard de la salle de bain.]
[Ok].
Je l'entends se lever, faisant grincer les ressorts de mon vieux sofa. Il passe devant ma chambre et ressort de la salle de bain. Je l'écoute se recoucher et ne peux m'empêcher de le narguer par texto :
[Et là, tu es mieux ?]
[Ouais, mais ton sofa grince beaucoup et mes pieds dépassent.]
[Dommage que tu sois si mal, peut-être aurais-tu préféré être dans ton lit chez toi ?]
[Malheureusement, je suis de corvée de gardiennage, une enfant terrible et gâtée pourrie sans même une once de reconnaissance.]
[Oh, pauvre petit. Elle est si dure ? Je te plains. J'espère que tu es bien rémunéré au moins.]
[Allez laisse-moi dormir dans un vrai lit, je promets de ne pas te toucher.]
[Humm attend que je réfléchisse…. Non ! ]
Je me trouve très drôle et ferme mon téléphone sur cette phrase pour avoir le dernier mot et mettre fin à cette discussion. Mais quelques instants plus tard, une silhouette masculine terriblement sexy, portant un boxer moulant, se découpe dans l'embrasure de ma porte.
— Ivy ? Tu dors ?
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Aux grands maux, les grands remèdes. Je compte bien lui fermer le clapet à celle-là. Je me lève pour prendre la bouteille d'eau sur la table et hop un malencontreux accident. J'accroche une bière qui se déverse sur le bas de son tee-shirt et la ceinture de son pantalon. Il sursaute et lâche quelques jurons alors que je coure vers le bar tenu par la bimbo qui rit ouvertement de moi.

- Technique de drague impressionnante, me dit-elle hilare en me tendant le torchon.


Si elle savait ce qui l'attend la pauvre... Je lui fais un clin d’œil avant de partir. Je m'approche de lui et avance ma main vers sa ceinture. Il me saisit le bras et m'arrête dans mon élan en vissant mon regard au sien.

- Je veux juste éponger, je me défends.


Il me lâche, m'offre un sourire séducteur et place ses deux mains derrière sa tête en me laissant le champ libre. Je glisse une main hésitante et éponge le liquide sans trop le toucher. Il lève le bas de son tee-shirt pour le faciliter la tâche. Je tente de ne pas me focaliser sur sa peau bronzée et ses abdos d'acier. Il fait soudainement très chaud. Il me fixe sans jamais me quitter des yeux, lorsque tout à coup, je sens une bosse qui durcit sous ma main. Je lève les yeux vers lui et remarque qu'il sourit. Un sourire à ce damner sans condition. Je suis sûr qu'il ne compte plus le nombre de filles à s'être désapées pour ce même sourire. Je sens un changement autour de nous puis je reprends ma place, légèrement perturbée, en écoutant les commentaires grivois de ses potes.

Derrière le sourire de surface que je lui offre, je n'oublie pas que, aussi sexy qu'il puisse être, il figure sur la liste de cibles potentielles à éliminer. Rince-toi l’œil mon pote, tant que tu en as encore la possibilité!

Heureusement, la table cache son érection naissante. Je tourne la tête en direction du bar en espérant voir la mine déconfite de la blondasse. En plus d'avoir l'air furax, elle gesticule dans tous les sens en parlant avec un autre membre des Steel. Je peine à cacher mon sourire alors qu'elle regarde dans ma direction. Le mec devant elle se détourne et, à cet instant, j'ai littéralement le souffle coupé. Un homme à la peau basanée, aux cheveux noirs coupés assez court et surtout, au regard dangereux me dévisage de ses prunelles froides exemptes de toute chaleur humaine. ses yeux noirs ressemblent à deux fentes. Des lèvres pleines que l'on a une envie irrépressible de mordiller. Des bras musculeux entre lesquels on ne pense qu'à être prise en étau. Je sais de qui il s'agit, seulement en vrai il dégage quelque chose auquel les vidéos et photos ne peuvent rendre justice.

Dante, je souffle en mes lèvres imperceptiblement.

Je connais son nom, impossible de l'ignorer puisque c'est lui ma meilleure chance d'obtenir ce que je souhaite.
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« – Je suis un S.W.A.T. depuis quelque temps, lâche-t-il finalement.
Son visage de marbre ne me donne pas envie de me démonter. Si ça se trouve, c’est même le contraire. Chaque personne a une histoire et je sens que la sienne est d’une noirceur que je n’arriverais même pas à imaginer.
– Pourquoi tu es ici ? Je veux dire, vu que ça a l’air de bien t’emmerder ?
– C’est mon air habituel.
– Quoi ? Tu rigoles, non ? J’ai bien de la difficulté à t’imaginer en train de déballer les cadeaux de Noël avec cette expression de : dès que tu vas cligner des yeux je vais t’abattre ! ça ne peut pas être naturel… je veux dire, tu ne te forces même pas pour avoir l’air… enfin… d’un méchant ?
Je rigole sincèrement et, malgré la douleur que cela m’inflige physiquement, ça me fait un bien fou psychologiquement.
– Et si je te dis que je ne fête pas Noël ?
– Tu as une religion de psychopathe ? Genre sacrifier des vierges chaque jour de pleine lune et une chèvre le 25 décembre ?
Faire sourire ce mec c’est aussi facile que d’expliquer les réseaux sociaux à une personne de 89 ans.
– Je ne fais rien de tel, je t’assure, seulement, je déteste ceux qui ressentent le besoin de s’extasier sur tout et n’importe quoi, explique-t-il en haussant les épaules.
– Oh, je sens que tu vas adorer me détester, alors ! Que vaut la vie si ce n’est pas pour en apprécier les belles choses, aussi infimes soient-elles ?
Surtout avec toutes les merdes qu’elle est capable de vous balancer en pleine tête, je songe tout en le gardant pour moi.
– J’attrape les méchants qui menacent les gens qui ont trop de paillettes dans les yeux pour voir où ils mettent les pieds.
– Aussi doué pour la conversation que pour les métaphores, à ce que je vois…
– Je ne suis pas venu pour tromper ton ennui, dit-il plus doucement. Je veux comprendre ce qui s’est produit et ce que j’ai vu.
– Ça me plairait bien de connaître ta théorie.
Il semble réfléchir et peser ses mots avant de répondre.
– Je pense que tu étais au mauvais endroit au mauvais moment. J’en ignore la raison, mais vu ta naïveté évidente et ta propension à la gentillesse, je dirais que tu ne savais pas exactement où tu mettais les pieds. Néanmoins, une raison t’a poussée à chevaucher ta licorne magique jusque là-bas, et c’est celle-là qui m’importe.
– Ma licorne ? Dis plutôt que je ne suis qu’une nunuche et ça sera pareil, rétorqué-je faussement vexée. Si ça se trouve je suis venue prendre une livraison afin d’aller la distribuer aux jeunes du primaire avec une paille en bonus. Pailletées, les pailles, précisé-je.
Je le jauge du regard, même pas l’ombre d’un sourire. Je suis déçue. »
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Je suis amoureuse c’est ça ? Totalement éprise d’un Steel ? Bah merde alors…
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Pauvre petite fille, elle a envie de se faire le grand méchant loup… Si seulement elle savait à quel point il a envie de la bouffer toute crue, elle partirait au pas de course et ne reviendrait jamais.
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- Même un bain d'acide ne parviendrait pas à détruire toutes les maladies que le vagin de cette pute héberge ! Beurk Beurk Beurk !
Mon expression n'est que le miroir de ce que je sens remonter et que j'ai envie de lui balancer à la tête. je le pousse du plat des paumes sans parvenir à l'ébranler. je repousse le couvre-lit et me lève presque en panique à la recherche de mes vêtements.
- Elle a eu tellement de litres de sperme en elle que je suis étonnée qu'il ne lui ait pas encore poussé un pénis à cette garce !
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