Citations de Kyoya Origami (15)
Je pense qu'il n'y a rien de plus horrible que de priver quelqu'un de sa mémoire.
D’ailleurs, moi je n’aime pas trop faire l’autruche. Faire comme si un problème ne se posait pas au lieu de le résoudre, ce n’est pas dans mes habitudes !
Ha ha, c’est dingue ! C’est la première fois qu’on se voit en vrai !
C’est marrant ça fait bizarre de se connaître déjà sans jamais s’être vus !
C’est la première fois que je fais ça d’ailleurs. Rencontrer un pote du net dans la vraie vie.
La personnalité de quelqu’un, son comportement et ses relations avec les autres, tout ça se forme au fur et à mesure que cette personne vit, et se construit des souvenirs. Si elle perd la mémoire. Peut-on vraiment être sûr qu’elle reste toujours celle qu’elle était auparavant ?
C’est sûrement un coup du Kiokuya.
Un être mystérieux qui traîne dans le coin depuis très longtemps. On dit qu’il peut effacer la mémoire des gens et faire oublier les souvenirs les plus douloureux et les plus traumatisants. On raconte qu’on peut le trouver dans le parc à la nuit tombée de la nuit. Il y attend ceux qui sont tourmentés par leur passé.
J'étais alors persuadé que ce n'était qu'un de ces trucs qu'on raconte aux enfants...À l'époque, je n'y croyais pas une seconde.
Quand on ne se souvient pas d'un truc qu'on n'est pas supposé oublier, on pense forcément au Kiokuya.
La légende urbaine. Le mystérieux fantôme dont on dit qu'il dévore la mémoire des gens.
La personnalité de quelqu'un, son comportement et ses relations avec les autres, tout ça se forme au fur et à mesure que cette personne vit, et se construit des souvenirs. Si elle perd la mémoire. Peut-on vraiment être sûr qu'elle reste toujours celle qu'elle était auparavant ?
Les sentiments ça ne se contrôle pas. Tout comme il est des choses qu’on peine à accepter.
J’aurai aimé que notre relation puisse rester la même avec le temps. Mais quand j’y repense, je me dis que c’était bien égoïste de ma part.
Il était un homme qui connaissait bien les faiblesses et la petitesse de la nature humaine.
N’est pas en soi, une mauvaise chose. Je le comprends bien mais en même temps, je ne cautionne pas ! Aussi pénible que la vie puisse être je pense qu’on doit s’y confronter et faire en sorte de tenir le coup malgré tout !
Bien sûr, ce serait la solution la plus simple. Mais il y en a pour qui ce n’est pas possible de vivre ainsi.
A notre époque, il n’est pas rare que certains adolescents refusent d’aller à l’école, se cloîtrent chez eux ou vivent en marge de la société.
Il paraît que le cerveau humain recèle encore une tonne de mystères qui nous échappe. Je ne peux pas dire que je suis un spécialiste en la matière, en même temps. Je ne devrais donc pas être aussi étonné de ne pas comprendre quelque chose. Après tout, perdre la mémoire aussi soudainement, ça arrive peut-être plus souvent que je ne le crois.
Les légendes urbaines, c’est un peu comme le téléphone arabe. Elles changent au fur et à mesure que les gens en parlent. Ça veut dire qu’elles partent forcément de quelque chose, d’un fait qui s’est vraiment produit à la base. Moi, ce que je tente de trouver, c’est le schéma suivant lequel elles évoluent dans le temps. En bossant sur ke périmètre au sein duquel, elles sont connues, et sur la vitesse à laquelle elles se sont propagées. En gros, je mène une sorte d’enquête sociologique autour de la diffusion d’un sujet peu orthodoxe, quoi.