Larème Debbah

Ce roman basé sur un drame familial et le deuil est très émouvant et donne espoir. Hélène est un personnage fort et combattant.

L'écriture est limpide et fluide, c'est des petits chapitres qui se lit facilement.

Nous passons par toutes sortes d'émotions, de la peine, souffrance mais aussi résiliation et espoir.

C'est le dernier livre de cette auteure que je n'avais pas lu et sincèrement c'est une auteure à suivre. Aucun de ses livres ne m'a déçue, ils sont tous super bien écrit et abordent le thème de la famille . J'adore

Une histoire bouleversante pour le dernier tome de cette trilogie.

Il y a beaucoup de rebondissements dans ce roman. Et j'avais tellement aimé Jeanne que pendant tout le livre je voulait qu'elle reprenne pied et qu'elle s'en sorte.

La relation qu'elle entretient avec son mari est belle malgré de nombreuses embûches.

Jeanne est une personne qui a vécu des choses difficiles mais qui a une force en elle incroyable. J'adore ce personnage.

Comme vous le savez j'apprécie beaucoup cette auteure et tous ces romans. Elle m'a une nouvelle fois surprise positivement. Cette trilogie est à lire absolument

Jeanne a 18 ans et elle est en terminale. Elle ne sait pas quoi faire après le bac. Elle a beaucoup de pression de sa famille qui ont un cabinet d'avocats. Elle est censée suivre la lignée...

Elle se pose beaucoup de question sur son avenir, est elle vraiment obligée

de suivre les souhaits de sa famille ?



Mais un jour elle apprend qu'elle à la sclérose en plaques, sa vie est chamboulée. Elle décide de partir en Ecosse pour prendre du recul avec tout ça, se trouver elle même et faire le deuil de sa vie d'avant.



Ce premier roman de cette trilogie débute sur des chapeaux de roue.

Jeanne et attachante et attendrissante. On peut facilement s'identifier à elle dans cette épreuve. J'ai passé un excellent moment avec elle. J'ai hâte de lire les deux prochains romans.

La maison du bord de mer raconte l’histoire d’Alexandre, Rachel et Chloé. Alexandre et Rachel sont mariés et ont deux enfants. Chloé est mariée à Lucas, mais ce dernier semble se détourner de sa famille et de ses deux enfants. Par un concours de circonstance, Chloé et Alexandre vont se rencontrer.



La maison du bord de mer est un roman qui se veut plein d’espoir tout en rappelant la valeur de la vie. C’est une histoire riche en émotion, à plusieurs moments j’ai eu la larme à l’oeil en me rappelant à quel point Larème Debbah était forte pour faire passer des émotions. Au delà des émotions, des messages, l’histoire est bien écrite, elle est passionnante et on ne peut décrocher avant d’avoir terminé. Finalement, on peut voir en Rachel un modèle de force, de détermination même si parfois, elle se révèle être égoïste, on a tous le droit de l’être un peu.



Chloé qui paraît froide et abattue, se révèle plus douce qu’on le pense. Malgré certains choix, elle veut absolument aider Rachel malgré les circonstances. J’ai bien aimé voir dans ce livre une sorte de relation improbable mais qui marche. Chloé se sent coupable et en même temps, elle ne veut pas se plaindre de son sort. Elle refuse de rester passive de sa propre vie et compte bien trouver la force d’avancer continuellement.



Et Alexandre, ce père de famille exemplaire qui va passer par mille et une émotions et questionnements, on voudrait l’aider, le consoler mais on ne peut que suivre ses aventures, ses choix, ses problèmes. Je voudrais également parler des enfants qui se révèlent toujours plus matures tout en conservant leur coté enfantin.



Avec des circonstances étranges voire inattendues, l’auteure nous offre une histoire originale, pleine de sens et de sentiments. Encore un roman qui sort des sentiments battus, encore un roman qui ne laisse pas insensible et qui nous apporte un souffle d’authenticité, de courage et de douceur.



En bref, ce roman est très beau, très bien écrit. On y ressent toutes sortes de choses qui nous déplaisent, qui nous attristent mais qui nous rappellent, à nous aussi, la valeur de la vie. Chaque histoire de Larème Debbah nous transmet une morale sans prétention, sans jugement et pour nous apporter une petite lueur d’espoir.



Encore une fois je tiens à remercie Larème Debbah pour sa confiance et pour cette possibilité de découvrir ce sublime livre.
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Nous allons donc retrouvez Jeanne, Scott et leur petite famille que nous avions laissé à la fin du tome 2 avec la naissance de leur petit garçon, Angus.



Tout va pour le mieux, une jolie nouvelle vient pointer le bout de son nez, mais malheureusement comme le dit l’auteure « la vie n’est pas un long fleuve tranquille » et effectivement, je me suis prise une petite claque lors de ma lecture.



La vie de Jeanne et Scott va voler en éclat et tout va s’effondrer autour d’eux et prendre un tournant dramatique.

Cet événement aura de lourdes conséquences, sur leur famille, leurs enfants, mais surtout sur eux-mêmes.



En plus de la sclérose en plaque qui est toujours présente, Jeanne va devoir faire face à des démons beaucoup plus durs à combattre qui vont lui faire perdre pied.



Elle va rencontrer un jeune homme, Polain, qui aura une place importante dans sa reconstruction, mais attention car cela mettra aussi en péril son avenir.



Comme vous l’aurez surement compris, Larème Debbah, ne va pas épargner ses personnages, ce troisième tome est très centré sur la reconstruction de soi.



Ce dernier opus de la saga n’aura pas été mon préféré, certaines attitudes et certains choix de vie m’ont dérangé, mais cela n’est que mon ressenti personnel et n’engage bien sûr que moi.



J’aime l’honnête d’écriture de l’auteure, qui ne nous cache pas les choses par des raccourcis ou des non-dits, la sincérité de sa plume est agréable à lire.



Pour conclure :



Une saga addictive, intéressante qui nous parle de bonheur, de malheur, de maladie, de famille mais surtout d’amour véritable.

Grâce à cette saga, j’en sais un peu plus sur la sclérose en plaque, un apport enrichissant qui se mélange à merveille avec la fiction de son histoire.
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J'ai beaucoup aimé cette lecture. C'est un roman qui se lit très facilement, rapidement. Des chapitres courts, une lecture aérée. Immergée dans l'histoire de Jeanne Aubagio 18 ans, elle découvre qu'elle est atteinte de sclérose en plaque. Je lis sa détresse, son mal être, ses états d'âme et pourtant son désir de vivre, d'avenir, une prise en main de sa vie malgré son jeune âge.



L'auteure me raconte l'Ecosse et la sympathie de la famille MacDonald. Les descriptions et l 'ambiance de cette Ecosse est rendue chaleureuse et "cosy". Larème Debbah écrit merveilleusement les peurs, la maladie et l'environnement familial de la jeune fille, les difficultés présentes dans la communication entre les personnes face au diagnostic.



J'ai ouvert le tome 2 "Et si..l 'éveil" après avoir refermé celui-ci.



Petits plus: Le petit rappel à la fin du livre "Qu'est-ce que la sclérose en plaque?" Et la romance que j'ai savouré :)




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Quand j'ai commencé le livre de Larème, je m'attendais à un récit triste, dur... Or pas du tout. En tout cas, ce n'est pas ce que je retiens à la fin de cette lecture qui m'a transportée. J'avais envie d'en savoir plus à chaque page. J'ai pu comprendre la sclérose en plaque, savoir comment les patients la vivaient de l'intérieur. Dans mon entourage proche, trois personnes sont atteintes de ce mal, mais elles n'en parlent jamais. Par cette lecture, j'ai pu mieux les comprendre.

Certes, il y a des passages durs dans ce roman, notamment lorsque Jeanne apprend qu'elle est atteinte de la maladie, à dix-huit ans, au tout début. En réalité, cela va bien plus loin. L'histoire nous transporte en Écosse, on voyage avec la jeune fille. Là bas, elle rencontrera un amour et ce sera le début d'une nouvelle vie, d'une renaissance, aussi bien pour son amoureux que pour elle.

Ce que j'ai particulièrement apprécié dans ce roman, c'est la manière dont Larème retranscrit l'atmosphère de l'Écosse : les thés pris au coin du feu, les paysages marins, les landes... Moi qui adore l'hiver, la pluie, la mer, j'ai été servie !

Ce livre ne nous plombe pas du tout, bien au contraire ! C'est un hymne à la vie, à l'amour !

Je recommande chaudement cette lecture ! 💜❤️ 💗 Et j'ai hâte de lire la suite ! ☺️

Dans ce roman nous faisons la connaissance de Jeanne une jeune fille de 18 ans.Jeanne fait partie d’une famille ou tous le mondes devient avocat.Tout juste diplômée du BAC elle ne sait pas ce qu’elle veut faire plus tard une chose est sur elle ne veut pas suivre la lignée familiale et devenir avocate.Puis viendra le moment ou Jeanne découvrira qu’elle souffre d’une maladie elle décidera de partir loin de sa famille pour se ressourcer et vivre comme elle en a en vie.Elle partira pour l’écosse ou elle séjournera chez les Macdonald ,cette famille lui apportera ce que sa propre famille n’a pas su lui donner.Elle rencontrera Scott le fils de sa famille d’accueil lui aussi écorché par la vie ,elle se donnera pour mission de lui venir en aide.



Va t-elle réussir à le guérir?



Arrivera t-elle à surmonter les épreuves que lui inflige sa maladie ?



A vous de le découvrir 😉



WHAOU un roman touchant,on passe par beaucoup d’émotions tout au long de notre lecture, l’auteure nous plonge dans l’histoire et nous fait vivre les aventures de Jeanne avec une grande facilité.



Il y a un vrai travail de descriptions dans ce roman que ce soit sur les personnages,leurs façons d’être et de faire,les lieux l’auteure nous emmène en écosse grâce aux très belles descriptions qu’elle en fait mais aussi sur la maladie et l’aide mutuelle des personnages du roman tout y est superbement bien décrit .



La plume de l’auteure est fluide ,agréable à lire et très addictive.C’est une merveilleuse histoire qui se lit très bien et rapidement une fois commencer je n’ai pas réussi à le lâcher on est tellement pris dans l’histoire que l’on ne voit pas les pages passer.



Je ne peux que vous conseillez de suivre ce lien et de vous laissez transporté par ce roman fabuleux vous passerez j’en suis sur un excellent moment lecture .Pour ma part ce fut une merveilleuse découverte et un vrai coup de coeur .

J'ai beaucoup aimé cette lecture, la lecture est agréable et je me suis attachée à l'héroïne, j'ai été peinée par ce qui lui arrive, pourquoi elle, j'ai senti sa tristesse, sa colère et surtout j'ai été avec elle dans son combat de tous les jours contre sa famille, contre la maladie. Encore une histoire de femme forte et vous savez que j'adore ça.





J'ai eu envie de savoir comment elle allait évoluer dans le temps et on ne peut pas dire que cette fille n'a pas de volonté. Le drame qui la touche lui tombe dessus sans prévenir, elle n'a que 18 ans et pourtant il va falloir vivre avec ça et de par mon métier je connais l'évolution possible ... mais je ne vous en dirai pas plus, je vous laisse découvrir par vous même ce joli roman ...

Un très bon psycho drame qui nous fait réfléchir sur notre propre vie

Un roman a lire quand on a le moral car il est assez dur

Bon, c’est ma petite déception du mois.. J’étais super emballée à l’idée de découvrir ce recueil à la couverture paradisiaque. Je ne connaissais la plume que d’une auteure et j’avoue être passée à côté de la plupart des nouvelles. Zut !



Manque d’accroche, plume à laquelle je n’adhère pas, histoire sans intérêt ou final qui tombe comme un cheveux sur la soupe. Il est arrivé pour quelques nouvelles que je ne vois pas du tout où l’auteur à voulu en venir…



Pourtant je ne m’étais pas mis la pression, le thème me parlait forcément : les vacances, le soleil la folie, le voyage … Alors oui c’est vrai, tous les voyages sont permis ici, que ce soit le sable chaud, l’espace, la campagne et cette diversité est pas mal. Elle nous permet de toucher toutes les sensibilités.



D’habitude, je parle de toutes les nouvelles d’un recueil mais pour cette fois, je mets en avant celles qui m’ont plu :



♦ Les Oursons blancs débarquent à Ibiza, d’Amélie B : les copines en vacances, les sorties, l’amour estival et ses surprises.



♦ Le passager d’Isabelle Morot Sir : elle est mignonne, j’ai souris bien qu’on devine dès le début qui est le passager en question.



♦ Chasse au trésor de Line Marlin : une belle morale et une plume que j’aime. Un voyage dans l’imaginaire d’une enfant pour se rendre compte que le vrai bonheur ne se trouve pas loin.



♦ Au bord du gouffre de Larème Debbah : malgré un final très rapide, il reste inattendu et l’intrigue est vraiment pas mal. Être carriériste n’apporte pas que du bonheur…



Malgré tout, c’est un vrai cocktail de genres qu’il y a dans de recueil et vous trouverez sans aucun doute de quoi vous divertir sur la plage !
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Le livre s'ouvre sur Hélène et sa fille de trois ans, Pauline. Elles partent pour l'école. En route, elles sont victimes d'un accident. Hélène s'en sort bien; Pauline est dans un état critique, dans le coma. Les jours passent, les semaines... Hélène tente de survivre à cette attente. Elle traverse des phases de doutes, de culpabilité, d'espoir, de peurs, ... Jusqu'à l'issue de ce coma... Elle sera épaulée, entre autre, par le gentil pédiatre de sa fille durant toute cette épreuve.



Le thème de l'histoire est une bonne idée de départ, le résumé m'a attiré. Les premières pages sont rythmées, stressantes, et poignantes. On découvre comment une mère célibataire va continuer son existence avec sa fille plongée dans le coma. On s'identifie en imaginant nos propres réactions : tristesse, colère, dépression, ... Peut-on continuer à vivre comme si de rien n'était ?



Au fil des pages, j'avais une sensation d'essoufflement. Cela trainait un peu en longueur. Si au départ on a de l'empathie pour Hélène, j'ai trouvé que le personnage devient agaçant petit à petit. En revanche, le personnage de Damien est certainement celui que j'ai le plus apprécié. Il est bienveillant et attentionné. Certaines situations sont surprenantes, inattendues.



Je n'ai pas accroché comme je le pensais. Cependant, le livre est bien écrit. Il est facile et agréable à lire.
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Et si... est l'histoire de Jeanne, une adolescente studieuse qui est très entourée par sa famille. Comme ses parents, ses grands parents et son frère, elle est destinée à devenir une brillante avocate. Mais des problèmes de santé vont remettre son avenir en question. Le verdict tombe, elle est atteinte de la sclérose en plaque. Pour sa famille et pour elle, c'est une catastrophe mais à l'heure actuelle, on peut vivre presque normalement avec cette maladie. Pour ses parents, nul doute, elle va quand même poursuivre ses études et devenir avocate pour reprendre le cabinet familial avec son frère.



Difficile de sortir indemme de cette histoire, surtout en sachant que l'auteure elle même est atteinte par cette maladie, bien que ce n'est pas un roman autobiographique. L'expérience de l'auteure nous plonge dans une atmosphère très différente, tout semble vrai et concret. Je pense que les sentiments et les ressentis de l'auteure permettent d'avoir une vision plus réaliste de la maladie. Ne la connaissant pas ou très peu, j'ai pu découvrir ce fardeau et essayer de le comprendre.



L'histoire est vraiment touchante, comme je le disais, tout semble très bien mais aussi parce que l'héroine n'a que 18 ans lorsqu'elle découvre sa maladie. A 18 ans, on a encore la vie devant soi, d'ailleurs on ne sait pas vraiment ce qu'on veut faire dans la vie et là, Jeanne doit s'en sortir.



Encore une fois, nous pouvons admirer le style délicat et posé de l'auteure. Elle nous porte avec ses mots, nous baladent de sentiment en sentiment. C'est poétique, doux, léger et en même temps, transperçant de vérité.



En bref, cette histoire est touchante et ne laisse pas indifférent. Je trouve ça tellement bien que des auteurs prennent le parti de parler de ces maladies dont on connait le nom mais dont on ignore tout. Et avec ce roman, je me suis sentie un peu concernée, je me suis intéressée à cette histoire qui m'a donné l'occasion de connaître de nouvelles choses et d'admirer l'écriture de cette auteure.



Je la remercie pour sa confiance et pour m'avoir ouvert les yeux sur ce sujet.
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Je tiens tout d'abord à remercier Larème Debbah pour la confiance qu'elle m'a accordée en me sollicitant pour rédiger une chronique sur son nouveau roman Et si… C'est le deuxième roman de cette auteur que je lis et j'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver sa plume.



Jeanne a dix huit ans. C'est une jeune fille très solitaire qui vit en région parisienne avec toute sa famille (ses parents, son frère et son ami mais aussi son grand-père). Elle n'a pas d'amis, jamais eu de petits amis et se confie à un journal intime qu'elle a baptisé Anatole. Son destin est tout tracé, elle sera avocate comme tous les membres de sa famille. Mais la vie nous réserve parfois des surprises.



Malgré sa jeune âge, Jeanne est déterminée. Encore plus le jour où elle apprend qu'elle est atteinte d'une maladie incurable et sournoise. Elle n'a alors qu'une seule envie : vivre à 100 % et faire ce qu'elle veut et non pas ce que lui oblige de faire. C'est seule qu'elle va entreprendre de partir à l'étranger pour se ressourcer.



Larème Debbah aborde une fois de plus ici un sujet grave : la maladie sans pour autant tomber dans le mélo drame. J'ai éprouvé de l'empathie pour cette jeune fille qui, à l'âge ou les autres connaissent l'amour et les sorties entre amis, apprend que sa vie ne sera plus comme avant, qu'elle devra affronter les crises et vivre avec sa maladie. L'exil de cette jeune fille, la rencontre avec ses écossais pas comme les autres sont sans conteste les éléments qu'ils l'ont fait grandir encore plus, mûrir plus rapidement.



Dans ce roman, l'auteur nous invite à découvrir des personnages complètement différents mais complémentaires et si proches de la réalité. Pour certains, on éprouve de la sympathie, d'autres de la colère ou de la tristesse mais aucun d'entre eux ne laissent indifférents.



Grâce à sa plume fluide et agréable à lire, Laurème Debbah nous invite à un voyage entre la France et l'Ecosse où la description des paysages n'est qu'une invitation au voyage. Il est facile de s'imaginer sur la plage de l'ile de Mull en pleine tempête ou simplement sous la pluie même si cette partie du roman aurait pu être développée un peu plus à mon goût.



Vous l'aurez compris, un roman que je recommande si vous aimez les romans feel-good. Une petite mention particulière que le postface dans lequel un médecin neurologue explique avec des mots ce qu'est la sclérose en plaques. Elle nous invite à changer notre regard sur les personnes atteintes de cette maladie sournoise.
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Jeanne 18 ans, casanière et un peu solitaire, vit entourée de sa famille : son grand-père, ses parents, son frère Benoit et David, le compagnon de celui-ci.

Alors qu’elle se pose de nombreuses questions sur son avenir professionnel, pourtant tout tracé par la famille Aubagio, une paralysie provisoire des jambes va tout remettre en cause.

A l’annonce du diagnostic, elle décide de se battre et d’affronter sa maladie et c’est seule, au fin fond de l’Ecosse, qu’elle part se ressourcer et faire le point malgré l’incompréhension de sa famille.

Là-bas, elle séjournera chez la famille MacDonald qui sera aux petits soins pour elle et y rencontrera également Scott, écorché lui aussi par la vie.

Ces deux êtres tourmentés sauront-ils s’aider mutuellement ?…



L’histoire est racontée par Jeanne et par moment elle s’adresse directement au lecteur, ce que j’aime beaucoup, ça apporte une petite légèreté, voire une petite touche d’humour.



On ne peut qu’admirer le courage de Jeanne, tout juste sortie de l’adolescence et devant faire face à la SEP, maladie qui fera désormais partie intégrante de sa vie. Elle décide de relever ce défi et fera d’ailleurs preuve d’une grande maturité. C’est une belle leçon de courage qu’elle nous donne et on découvre ainsi le lourd quotidien des « sépiens ».



Par ailleurs, si comme moi vous rêvez d’Ecosse, vous prendrez plaisir à voyager à travers ce livre et découvrirez les grands espaces et la beauté sauvage de ce pays que l’auteure nous décrit si bien.



J’avais déjà eu un coup de cœur pour le précédent roman de Larème Debbah Une vie après l’autre c’est donc avec joie que j’ai retrouvé sa plume et je n’ai pas été déçue ! Je suis charmée par son style. L’auteure a l’art et la manière de nous amener à réfléchir et d’aborder des sujets douloureux mais néanmoins avec légèreté, on ne tombe jamais dans le mélodramatique. C’est tendre et délicat, empreint de sincérité, fort en émotions et plein d’espoir.

Les pages se tournent avec un plaisir certain et c’est avec un sourire qu’on referme ce magnifique roman.

Un joli coup de cœur pour moi que je vous recommande sans hésitation !
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Je termine ce livre avec le sourire, même si la lecture de ce roman est très émouvante, et parfois triste.

Jeanne, jeune fille de 18 ans, est heureuse, malgré des pressions de sa famille pour qu'elle suive les traces des autres qui sont tous avocats, dans le cabinet familial. Par contre, Jeanne hésite, elle ne sait pas et ne se sent pas attirée par ce choix.

Mais la vie a décidé de l'aider dans cette prise de conscience, en l'obligeant malgré elle, à mettre cette décision de côté.

En effet, Jeanne, se retrouve à l'hôpital et est diagnostiquée avec la sclérose en plaques. Quel drame pour une jeune fille de 18 ans.

Malgré l'opposition de ses parents, de son grand-père et de son frère Benoit, elle prend la décision de partir pour quelque temps, pour faire le vide, et refaire le plein, mais surtout pour prendre du recul et penser à sa vie qui ne sera plus jamais la même après ce diagnostique.

Durant ce voyage elle se retrouve dans un bed and breakfast, où elle est prise en main par les hôtes de cette maison.

À travers les crises de douleur, les pensées, les pressions exercées sur elle, oui même de loin, Jeanne essaiera de trouver la paix, et surtout le bonheur. Et puis la rencontre avec Scott, le fils de ses hôtes, un être profondément blessé par la vie.

Est-ce que ces deux personnes, l'un aux problèmes physiques, l'autre aux problèmes psychologiques, pourront s'aider mutuellement ? À vous de voir.

Deuxième roman de Laréme Debbah que je lis, et deuxième coup de cœur pour moi. Une écriture fluide, sans longueur, cette auteure, malgré le sujet dramatique, avec sa plume, nous fait ressentir les douleurs de Jeanne, mais aussi l'espoir, la compassion, l'amitié et ses émotions. Même chose avec les sentiments négatifs que l'on peut ressentir face à la mère et au grand-père de Jeanne. Je n'hésiterai pas à vous dire que cette auteure, a une plume qu'il vous faut découvrir, sans aucune hésitation !
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Dans ce roman, nous allons faire la connaissance de Jeanne, une jeune fille de 18 ans, en proie à des doutes concernant son orientation scolaire prochaine.

Effectivement, de par sa famille d’avocat, son destin est tout tracé, mais Jeanne ne se sent pas l’âme d’une avocate, un travail qui ne lui convient pas, mais difficile de le dire quand tout le monde attend d’elle qu’elle poursuive la destinée familiale.



Se sentant de plus en plus fatiguée, et après quelques passages aux urgences, la nouvelle tombe: Jeanne est atteinte d’une maladie auto-immune.

Vient alors le moment des remises en question pour la jeune fille, qui va décider de partir faire le point et surtout « échapper » à la pression de sa famille.

Pour cela elle va partir en Ecosse dans un gite familial, ou elle sera accueillie par la famille MacDonald.

Cette famille, au contraire de la sienne, sera très présente et au petit soin pour elle.

Tout ne sera pas facile pour la jeune filles, car en plus de sa maladie, elle devra faire face à une rencontre inattendue qui va venir bouleverser sa vie.



C’est le premier roman que je lis de l’auteure et je dois dire que j’ai beaucoup apprécié sa plume qui nous transporte au gré des pages.



Nous passons effectivement par plusieurs sentiments pendant la lecture, comme la colère, la joie, la tristesse, l’empathie, le bonheur… et bien d’autres.



Ce voyage littéraire en Ecosse m’as permis de m’imaginer avec Jeanne là-bas, les descriptions de l’auteure nous immerge totalement dans le pays du Loch-Ness.



Merci Larème de m’avoir permis de découvrir ton roman, j’ai passé un agréable moment de lecture entouré de personnages tous différents mais tellement complémentaires.



Pour conclure :



Un très bon roman qui m’as fait voyager mais aussi réfléchir sur des choses de la vie.

Comme je suis gourmande, je demanderai même un supplément à l’auteure: un deuxième tome afin de poursuivre l’aventure.
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Dans Une vie après l'autre, nous suivons les aventures d'Hélène et de son entourage. Hélène est une jeune mère, elle est divorcée parce que son mari lui a posé un ultimatum : le bébé ou lui. En plus de ça, elle gère une boutique qu'elle a créé toute seule. Et puis un jour, sa vie bascule à cause d'un accident de voiture. Sa fille et elle sont rapidement transportées à l'hôpital mais Pauline, son enfant, est dans un état critique et finit par tomber dans le coma.



Nous traversons donc cette aventure avec Hélène où nous pouvons l'observer d'une certaine manière. Elle traverse différentes émotions qui semblent très réelles allant du déni au désespoir. Le coma de sa fille commence à la bouffer de plus en plus, son mari revient lui jouer des tours, une infirmière est agressive avec elle, bref Hélène a une vie très compliquée. A chaque fois qu'on pense que tout va s'arranger, finalement elle se retrouve à vivre une nouvelle épreuve.



Heureusement, Valérie, son employée mais aussi, sa meilleure amie et le pédiatre de sa fille sont vraiment là pour elle. Chacun essaie de la soutenir à sa manière et ça les rend très attachants. Je pense que c'est vraiment le point fort de cette histoire : les personnages et leurs émotions. Les sentiments d'Hélène sont très réalistes, on sent sa détresse et sa détermination, c'est comme si nous pouvions la voir nous aussi. Valérie semble être aussi un très grand pilier pour Hélène et bien qu'elle reste un personnage secondaire, elle a vraiment une place importante.



Quand au pédiatre, le docteur Grégoire, on le voit se métamorphoser. En lui, on accorde sa confiance, on le voit vraiment peiné pour ce qui arrive à Hélène et leur relation est intéressante.



L'histoire en elle même est forte, très humaine et addictive. Malgré quelques longueurs, on est rapidement plongé dans un roman très prometteur. Et étrangement, même si Pauline est dans le coma, elle apporte une présence et avec tout ce qu'elle vit, on oublie qu'elle est très jeune. Elle et sa mère possèdent un lien unique que toute mère entretient avec son enfant. Et d'une certaine façon, on imagine sans problème l'enfer dans lequel Hélène se trouve.



J'aime également le parallèle entre les sentiments de la mère de Damien alias le docteur Grégoire et ceux d'Hélène. Cécile, la mère du docteur, prend de plus en plus de place dans l'histoire et apporte sa touche de mère protectrice au récit. Etienne, l'ex mari pris de remords revient également à la charge.



C'est intéressant de voir le positionnement de chacun des personnages, d'observer son cheminement et de voir où tout ça va les mener ensemble comme séparément.



Et le plus fort dans tout ça? C'est qu'il y a énormément d'événements qu'on ne prévoit pas. Malgré la gravité de la situation et les événements qui arrivent, l'auteur arrive encore à nous surprendre habilement.



Pour moi, la beauté des sentiments, la construction des personnages et le rythme de l'histoire font de ce roman une vraie réussite. Peut être que le dénouement vient trop vite mais en même temps, nous sommes impatients de connaître le fin mot de l'histoire.
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Autant se débarrasser du négatif tout de suite. Il s’agit ici de mon ressenti personnel. En fait, je n’ai rien noté de « négatif » à proprement parler. Je n’ai simplement pas eu de coup de cœur, je n’ai pas réussi à complètement plonger dans l’histoire. L’écriture ne m’a pas transportée autant que je l’aurais souhaité, et je pense que c’est ce qui a posé problème. Je pense que j’aurais préféré une narration à la première personne, même si je respecte le choix de l’auteure d’avoir choisi un narrateur omniscient. Ça a ses avantages, je vous en reparlerai un peu plus bas 😉



À part ça, chapeau à Larème Debbah ! Ce qui m’a frappée, et que j’ai absolument adoré de tout mon cœur, c’est le réalisme de l’histoire, et surtout, des réactions d’Hélène. Trop souvent, quand un personnage fait face à un drame, on observe une ou deux émotions, rarement plus. Le personnage en veut à la terre entière, ou fait une dépression, par exemple. Et là, miracle ! Hélène passe par diverses émotions, a toutes sortes de réactions, évolue tranquillement (ou pas, d’ailleurs… pas sûr que l’on puisse qualifier de « tranquille » une maman dont l’enfant est dans le coma). L’espoir succède aux moments de déprime, à la culpabilité et à tous les petits moments vécus par Hélène.



J’ai aimé aussi le réalisme de la psychologie des personnages, et les différences entre chacun d’entre eux. Les avis divergent, certains se comprennent, d’autres pas, mais le respect d’autrui dont ils font preuve est exemplaire. Si cela n’est pas explicité, j’ai trouvé que c’était un joli message, une belle valeur à faire passer, même subtilement (peut-être même encore PLUS, grâce à cette subtilité).



Parlant de psychologie des personnages, je reprends mon point sur la narration omnisciente. Son avantage, c’est justement de pouvoir nous faire comprendre chaque personnage. On comprend ainsi le point de vue de chacun. Ce n’est pas A, qui raconte son histoire et qui suppose que B pense cela et que C croit que… Non, là, on accède aux pensées de chacun, sans jugements de leur part. Ça nous permet de mieux les comprendre. Si certains personnages m’étaient relativement antipathiques au départ, j’ai au moins pu les connaître, les comprendre et les accepter. Pour ça aussi, chapeau ! Larème Debbah n’a pas joué la carte du « voici le personnage que vous devez adorer, et voici celui que vous devez détester ». Rien ni personne n’est tout noir ou tout blanc et c’est habilement démontré dans Une vie après l’autre.



Hélène étant la proie de bien des questionnements, elle est amenée à évoluer, tant dans ses actions et dans sa vie quotidienne que dans ses croyances. J’ai bien aimé cet aspect du roman également. Si je ne partage pas toutes ses croyances, j’ai apprécié de les connaître et de voir le chemin parcouru par notre héroïne (oui, moi, j’ai décidé qu’Hélène était une héroïne, pas juste une protagoniste).



C’est aussi un roman qui plaira aux amateurs de feel-good, malgré des thèmes très durs. En plus d’une écriture plutôt fluide et d’un rythme soutenu. Un livre qui se lit somme toute rapidement. Je ne vous cache pas que, pour moi, ça va bien au-delà d’un feel-good, mais l’auteure le catégorisant comme tel sur Simplement, j’en tiens compte.



Un petit plus pour le personnage de Damien que j’ai beaucoup aimé ! Je crois qu’il a été mon personnage préféré. Sa patience, malgré ses désirs et envies, sa gentillesse et sa disponibilité m’ont charmée.
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Coup de cœur pour ce roman dramatique de Larème Debbah.

Émouvant, bouleversant, prenant, je n'ai pas assez de qualificatifs pour désigner ce roman, qui m'a happé complètement.

Hélène a tout d'une femme bien ordinaire, entre sa vie avec sa fille Pauline et sa boutique. Jusqu'au matin de l'accident, où elle se retrouve blessée légèrement, mais où sa fille de 3 ans, se retrouve par contre, blessée grièvement et est plongée dans un coma profond.

Nous traversons avec Hélène, le pire cauchemar, qu'une mère puisse rencontrer dans sa vie, voir son bébé, inconscient, dans le coma, et qui se bat pour sa vie.

Les crises de désespoir alternant avec l'espoir que sa petite va s'en sortir, Hélène s'en sort à peine.

Au travers cette histoire, elle connaîtra d'autres épreuves, agression, problème avec son ex-mari, disons que son chemin n'est pas pavé de roses pour l'instant.

L'amitié qu'elle développera avec Damien, le pédiatre de sa fille, une amitié qui lui permettra de s'accrocher, de continuer, de ne pas perdre espoir.

La perte d'un enfant est sans aucun doute la pire épreuve qu'une personne peut rencontrer, mêlé à la culpabilité, le questionnement, le découragement, etc. L'auteure, nous amène à voir que dans toutes situations même très noires, il y a toujours l'espoir, il y a toujours une lueur quand on regarde devant !

J'imagine que c'est normal toutes ces émotions qu'Hélène vit, allant même à songer au suicide à quelques reprises. Mais la force en elle, comme en chacun de nous, est là pour nous montrer que la vie, peu importe, doit continuer. Et c'est cette force que j'ai admirée chez cette femme. Non pas la force d'une super-femme, parce que nous vivons tous les sentiments qu'elle ressent en même temps qu'elle.

J'ai pleuré à quelques reprises, j'ai senti son désespoir au plus profond de moi, et j'ai aussi applaudi quand elle a fait un pas vers l'avant.

Bref un roman difficile, oui, mais avant tout un roman d'espoir ! Et c'est ce qu'il faut retenir de ce livre !

J'espère sincèrement que cette auteure nous offrira d'autres livres dans un proche avenir, une belle écriture, facile à lire et à comprendre, et une justesse dans les mots pour décrire tous ces sentiments !
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