Il a réveillé mon âme pour lui donner un second souffle, malgré moi.
Si tu dois te laisser guider une fois, s'il te plait, fais en sorte que ce soit ce soir. Fais en sorte que ce soit avec moi.
Peut-on parler de mensonge, quand on ne souhaite que le bonheur de l'autre ?
-Non non, jeune fille ! D’un, tu es un peu saoule et ça ne va pas arranger la chose et, de deux, je n’ai pas envie qu’une odeur de tabac traîne plusieurs jours dans ma voiture… Je préfère nettement celle de ton parfum.
Il a dit cette dernière phrase un ton plus bas, plus suave, tout en remettant le paquet dans mon sac. Il est vraiment craquant, mais je me rappelle ma promesse : je ne couche pas avec mes amis et je ne dîne pas avec mes amants. Je dois vite changer de sujet de conversations.
Je ne crois pas avoir déjà ressenti une émotion pareille. Je vis ce que j'ai tellement décrit, sans le connaître vraiment : quand la chair reçoit autant que le cœur donne.
On ne réagit pas comme tu le fais sans avoir quelque chose de brisé, là. [...] J'ignore de quoi il s'agit. Je ne sais pas si tu me le diras un jour ni même si je veux le savoir. Mais je sais que je suis prêt à t'accepter telle que tu es. Il faut juste que tu le veuilles.
D’un côté, il y a cet ami qui me connaît depuis toujours et, de l’autre, celui qui a été un pilier durant ma parenthèse étudiante. Deux histoires, deux relations vécues en parallèle et qui, par définition, n’auraient jamais dû se croiser.
Je préférais t'aimer en silence que te perdre d'avoir trop parlé.
On a toujours le choix. Mais il vaut mieux faire le bon.
Je sais juste que je l'aime à en crever et que mon cœur est en miettes. Malheureusement, on ne peut pas le plâtrer pour le réparer, lui.