Citations de Laura S. Wild (542)
[...] Parce que c'est ça, l'esprit de Noël : la joie d'être avec ceux qu'on aime. Le bonheur de passer du temps en famille et d'en profiter ensemble. Rire, trop manger, danser et se prendre dans les bras.
En bref, ce genre de scènes, c'est la raison pour laquelle Noël est ma période préférée.
Depuis le premier jour où j'ai croisé son regard émeraude, j'ai été captivée, happée par cet homme, et mon coeur a décidé, sans me demander mon avis, qu'il voulait se lier à celui de Sawyer pour toujours.
Un tel amour ne s'oublie pas, il ne meurt jamais.
-Lors du shooting à Coney Islande, je t'ai demandé si ton bodyguard était chasse gardée et tu m'as répondu qu'il ne t'intéressait pas....
-C'est vrai ! J'affirme avec le plus de conviction possible.
-Arrête un peu. L''électricité que vous venez de créer avec votre jeu de regards pourrait illuminer New York toute la nuit.
-N'importe quoi...
Trois semaines. C'est le temps qu'il m'aura fallu pour tomber sous le charme de cette fille, de cette femme, qui est l'exact opposé de moi. Je ne peux pas m'arrêter de l'embrasser. Ses lèvres sont devenues une obsession. la conversation que nous venons d'avoir m'ami K-O. Elle m'a mis K-O.
Jolie constance…
Décembre, c'est le mois où les gens mettent leurs galères, leurs peurs et leurs peines sur pause pour s'octroyer un peu de répit. Décembre, c'est le mois où l'air est chargé d'impatience, où chacun est animé par un peu plus de joie qu'à l'accoutumée, où le monde s'illumine et devient un peu plus clément.
Je ne suis pas fait pour le bonheur, je n'ai jamais su comment le trouver et encore moins comment le garder. Je me suis souvent contenté de l'effleurer et de le laisser partir. Je suis bien trop brisé à l'intérieur.
Ma tête, mon cœur, mon corps. Tu possèdes chaque morceau de moi, chacune des petites fibres qui me constituent est à toi.
Tu es une femme tellement difficile à cerner, Amalia... La plupart du temps, c'est comme si tu étais sur le point de conquérir le monde, et parfois, tu sembles prête à te briser en milliers de petits morceaux.
Je n'arrive plus à profiter des bons moments, je n'arrive pas à apprécier l'instant présent parce que, chaque fois, je me demande quand est-ce que ça va s'arrêter. Rien n'a jamais duré dans ma vie : les gens que j'aimais m'ont toujours été arrachés et dès que j'entrevoyais une lueur de bonheur, un avenir souriant, tout partait en fumée.
Comment peut-on se faire autant de mal en s'aimant si fort ? C'est peut-être ça notre problème, finalement. On s'aime bien trop.
Ce que vous me décrivez, c'est un chagrin d'amour, et personne n'y a jamais trouvé de remède. Aucun médicament, aucune injection, aucun traitement ne fonctionne. À part le temps...
- Je veux que tu sois dépendante de moi comme je le suis de toi. Je veux que tu m'aies dans la peau, que tu aies besoin de moi comme j'ai besoin de toi. Je n'accepterai rien de moins.
- Et... cet Arthur, il est au courant qu'il est ton amoureux ?
- Evidemment, tante Zoe. Je ne suis pas une psychopraticienne.
- Une psy... quoi ?
- Une psychopraticienne, articule Lily. C'est mon mot du jour et c'est moi qui l'ait inventé. C'est un mélange entre psychopathe et praticienne. En gros, ça veut dire que je ne pratique pas le psychopathisme... Je ne suis pas une psychopraticienne, quoi.
Ça paraît fort, un coeur. Il pompe des litres de sang, il maintient notre corps en vie, il est le roi des organes. Il semble si solide qu’on oublie parfois qu’il a ses faiblesses… et qu’il suffit d’un acte, d’un geste, d’un mot ou d’une trahison de l’amour de votre vie pour l’endommager à jamais.
Jusqu'à maintenant, je pensais à mon bébé sans qu'il ait de nom, sans réussir à l'imaginer même rien qu'un peu. Penser à elle, penser à son prénom me soulage. Cela me donne l'impression qu'elle était réelle. Robin et moi l'avons nommée, cela fait d'elle une personne à part entière, à présent. Je ne saurai jamais si mon intuition concernant son sexe était exacte, mais mon coeur se sent plus léger et c'est tout ce qui compte.
Avant qu'il n'entre dans ma vie, je n'avais pas réalisé à quel point j'avais besoin d'une relation amoureuse. Je menais une vie que j'aimais, mais lorsqu'il est arrivé, il a comblé un vide en moi dont je n'avais même pas conscience. En un rien de temps, mon univers s'est mis à tourner autour de lui, à tel point que je ne me souviens plus de ce que c'était, de vivre sans lui.
Tu es une femme tellement difficile à cerner, Amalia... La plupart du temps, c’est comme si tu étais sur le point de conquérir le monde, et parfois, tu sembles prête à te briser en milliers de petits morceaux.
Une femme n’a pas besoin d’être couverte de bijoux, de vivre dans des demeures de luxe et d’être conduite dans des voitures haut de gamme pour être heureuse. Ce qu’il lui faut, c’est la certitude qu’elle pourra toujours compter sur l’homme qu’elle aime, quoi qu’il arrive.
Eh bien, c’est vrai que tu me rends souvent dingue, que tu sèmes régulièrement des paillettes sur ton passage, au sens figuré comme au sens propre, surtout quand tu reviens de ton atelier, que notre appartement comporte plus de décorations de Noël que n’importe quelle boutique de la ville et qu’à cause de ton travail la fête que j’aime le moins est au centre de notre vie… mais je crois bien qu’en réalité c’est tout ça qui fait que j’ai envie de passer le reste de mes jours avec toi.
- J’ai compris, Eve, poursuit-il. J'ai compris que si mon cœur bat à m'en déchirer la poitrine lorsque je me trouve près de toi, ce n'est pas parce qu'il essaye de s’enfuir... Il tente juste de rejoindre le tien.