Citations de Leigh Bardugo (1513)
Beaucoup de garçons t'apporteront des fleurs. Mais un jour, tu rencontreras celui qui saura quelle est ta fleur préférée, ta chanson préférée, ton bonbon préféré. Et même s'il est trop pauvre pour te les offrir, cela n'aura aucune importance parce qu'il aura pris le temps de te connaître comme personne. Il sera le seul à gagner ton coeur.
"Un proverbe suli disait : le cœur est une flèche, il a besoin d'une cible pour se planter."
— Parfait. Si Pekka Rollins nous tue tous, je vais demander au fantôme de Wylan d'apprendre à mon fantôme à jouer de la flûte pour pouvoir taper sur les nerfs de ton fantôme.
Les lèvres de Brekker se tordirent en un rictus amusé.
— Je vais engager le fantôme de Matthias pour qu'il botte les fesses à ton fantôme.
— Mon fantôme ne se liguera jamais à ton fantôme, rétorqua Matthias avant de se demander si l'air de la mer ne lui grillait pas les neurones.
– T’es idiot pour beaucoup de choses, Wylan, mais t’es pas un idiot. Et si je t’entends encore une fois te traiter de débile dégénéré, je vais dire à Matthias que t’as essayé d’embrasser Nina. Avec la langue.
– Il te croira jamais, dit Wylan en s’essuyant le nez avec sa manche.
– Alors je dirai à Nina que t’as essayé d’embrasser Matthias. Avec la langue.
- What’s the easiest way to steal a man’s wallet ?
- Knife to the throat ? asked Inej.
- Gun to the back ? said Jesper.
- Poison in his cup ? suggested Nina.
- You’re all horrible, said Matthias.
Kaz rolled his eyes.
- The easiest way to steal a man’s wallet is to tell him you’re going to steal his watch.
- Je suis un homme d'affaires, lui avait-il expliqué. Ni plus, ni moins.
- T'es un voleur Kaz.
- N'est ce pas exactement ce que je viens de dire ?
– Vous avez remarqué que toute la ville est après nous, est furieuse contre nous ou veut nous faire la peau ? demanda Jesper en tapotant sur ses cuisses, au comble de l’impatience.
– Et alors ? lança Kaz.
– Ben d’habitude, c’est juste la moitié de la ville.
"_Ils ont peur de toi, comme autrefois j'avais peur. Comme toi, tu avais peur de moi. Nous sommes tous le monstre de quelqu'un, Nina.'
- Ça le tuerait de sourire de temps en temps ? Demanda Jesper.
- Sûrement.
– J’aime pas ça, grogna Matthias.
– En même temps, Matthias, t’aimes vraiment pas grand chose, plaisanta Jesper avec son fameux rictus taquin.
_C'est bon, murmura-t-elle.
_Qu'est-ce qui est bon ?
_Le vent dans les cheveux, les embruns sur la peau...La sensation d'être en vie !
– C’est pas comme ça que ça se passe ici ? demanda Wylan. On dit tous à Kaz qu’on va bien et après on fait des trucs de dingues.
– On est à ce point prévisibles ? plaisanta Inej.
– Oui ! répondirent Wylan et Matthias à l’unisson.
"Un bon magicien ne diffère pas beaucoup d'un bon voleur."
- Méchante !
- Réaliste...
- Le réalisme c'est pour ceux qui manquent d'imagination.
Elle avait ri, et s’il avait pu mettre le son en bouteille, il s’en serait enivré toutes les nuits. Cela le terrifiait.
Nos espoirs reposent sur vous, monsieur Brekker. Si vous échouez, le monde entier en souffrira.
- Oh, c’est pire que ça, Van Eck. Si j’échoue je serai pas payé.
-Dommage que tu ne puisses pas voir ce que je vois. J'entends tout le monde sur ce navire, le sang qui pulse dans leurs veines. J'entends le changement dans la respiration de Kaz quand il te regarde.
-Tu... quoi?
-Il a le souffle coupé dès qu'il pose les yeux sur toi, comme s'il te voyait pour la première fois.
- I’m a businessman, he’d told her. No more, no less.
- You’re a thief, Kaz.
- Isn’t that what I just said ?
– Zoya disait que la peur est un phœnix. Tu peux la regarder se consumer un millier de fois, et pourtant, ça ne l’empêchera pas de revenir.
- Ce n'est pas le fait que tu ne peux pas lire qui te rend faible. Tu es faible parce que tu as peur que les gens voient ta faiblesse. Tu laisses la honte de toi décider de qui tu es.