Les prisonniers mercatiques comptaient et recomptaient les mêmes vertèbres de montagne, roulaient les mêmes bulles d'ombre dans les maisons de fous, qui se cognaient aux quais durant l'hiver électrique.
Etait-ce d'ailleurs réellement une histoire ? Les éléments en étaient trop anecdotiques pour un documentaire, trop hasardeux pour résulter de mémoires, trop commentés pour créer une fiction, trop disparates pour former une chronique ou les annales d'un monde existant.