De plus, comme la majorité des veuves, elle nourrissait pour la mémoire du défunt des sentiments de vénération très différents de ceux qu'elle avait eus à l'égard de son mari lorsqu'il était encore en vie, et ne voulait donc pas admettre l'idée que ce qu'avait fait ou établi le défunt pût être mauvais et donc changé.