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Citations de Lia Habel (102)


Je m’étais interrogée sur le niveau d’alphabétisation des morts-vivants. Celui-ci s’avérait plus élevé qu’on aurait pu le croire.
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Non, non, il ne m'intéresse pas, mais alors pas du tout ! Beurk !


Parlait-elle de moi ? Avais-je fait quelque chose qui l'avait contrariée ? J'avais essayé de la comprendre, de ne pas la prendre de haut, de...


- Déjà, pour commencer, je n'aime pas les blonds ! Et ne parlons pas du fait que je tombais presque dans le coma chaque fois qu'il ouvrait la bouche. Et puis c'est un imbécile odieux et violent. Ouais, vraiment un soupirant de premier choix, tu parles.


Elle ne parlait pas de moi. Ouf !
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- Bram, dites à Pamela qu'il est impossible que je puisse jamais éprouver la moindre affection pour Michael Allister.


Je passai tout cela dans mon traducteur "bavardage de fille" et dis :


- Si vous voulez, je peux toujours le manger. Il semble que ce soit la solution la plus simple et la plus radicale.


- Oh oui ! s'il vous plaît, entendis-je Pam répondre.


Nora leva les yeux au ciel et me reprit le micro.


- Oublions-le.
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Cela vous a-t-il plu ?


Je décidai de lui dire la vérité.


- Oui. Vous n'avez pas idée à quel point vous avez bon goût. Je crois que je serais même incapable de vous le décrire.


Elle se mit à rire.


- Bon ? Bon comme un filet mignon ? ou bon comme... un bonbon ?


Je l'adorais.
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“ - Nous sommes des armes, Nora, dit Bram. Des armes qui coûtent cher et avec lesquelles ils sont aux petits soins certes, mais, pour le gouvernement, nous ne sommes rien de plus. Et comme pour n'importe quelle arme, ils savent qu'il y aura quelques pertes et en tiennent compte dans le budget.


- Quand un fusil tombe dans une rivière, personne dans l'armée ne perd son temps à essayer de le repêcher, conclut Ren en rouvrant son livre. Il est bien plus facile d'en acheter un nouveau.
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“ - Combien de fois comptez-vous ressortir cette blague où je sers de repas ? demanda Nora.


- Disons une fois par heure, jusqu'à ce que je me sois complètement décomposé, répondit Tom en faisant jouer sa machette.


- Il faut vraiment que nous vous trouvions un nouveau passe-temps.
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Vous lui avez donné des armes ? (Le docteur Elpinoy se tourna vers Bram. Il était livide.) Vous avez donné des armes à cette fille ?


Il effectua plusieurs petits gestes de la main avant d'éructer un "Pourquoi ?" plutôt aigu.


- Elle me l'a demandé, répondit Bram, pragmatique.


- Bram a eu raison de m'obéir, dis-je en essayant de rendre ma voix de fille un peu plus grave. (Ce ne fut pas très concluant.) Croyez-moi je ne vous veux aucun mal. Je veux simplement que les choses se fassent à mon rythme et qu'on me donne les informations que je désire quand je le demande. C'est compris ?


Un des zombies, une fille, émit un petit couinement d'excitation.


- Wahou ! C'est pas une nunuche ! Excellent !
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Je fermai les yeux et m'adossai contre la paroi de la nacelle. A quelques mètres de là, j'entendis Renfield se plaindre à Tom du fait que Mink ne lui avait même pas dit au-revoir, et se demander ce que cela pouvait bien signifier.


- La signification cachée, répondit Tom d'un ton ferme, est qu'elle n'a pas dit au-revoir et c'est tout. Pour l'amour du ciel et de tout le reste, enfonce-toi dans le crâne que la plupart des filles ne parlent pas par messages codés ! La plupart d'entre elles sont saines d'esprit.


- Il parle d'expérience, fit remarquer Chas.
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J'imagine que vous ne disposez pas de quelques minutes pour m'écouter débiter les très nombreuses raisons pour lesquelles j'estime que l'emmener avec vous est une mauvaise idée.


- Non, pas vraiment. Mais... (Bon, je ne pus m'empêcher de pavoiser un peu.) Elle m'aime bien.


Samedi ne m'accorda même pas un regard.


- Eh bien, il fallait s'y attendre, vous vous êtes pavané dans ce satané uniforme toute la journée. J'étais moi-même presque prêt à vous déclarer ma flamme.


- Laissez tomber, entre nous c'est mort, soupirai-je.
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- Que se passe-t-il ?


- Vous sentez... le chocolat.


Elle inclina la tête.


- Le docteur Chase m'a prêté du parfum.


Je me mis à rire. Je savais qu'elle allait me détester pour ce que j'allais dire, mais tant pis.


- De la chair vivante enrobée de chocolat.


Elle rougit.


- Oh ! Taisez-vous !
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Elle sortit plusieurs tenues, les étudia sans me demander mon avis, puis les rejeta. Cinq minutes plus tard, elle me présenta deux robes : l'une rouge flamboyant ornée de fleurs en mousseline aux épaules, l'autre en satin rose pâle avec des rayures noires.


- Je crois que la rose fera l'affaire, mais... n'as-tu pas une robe qui serait un peu trop serrée pour toi ?


Chas perdait patience.


- Serrée ?


- Ouais, tu vois... (Je levai les yeux au ciel et désignai mon torse.) A ce niveau-là. Elle est beaucoup plus menue que toi. Ce n'est pas que j'aie regardé ou quoi que ce soit, mais...


- Serais-tu en train de complimenter les nichons de ma copine ? grommela Tom sous la couverture.


Je regardai la bosse dans le lit et répondis, impassible :


- Oui.


La bosse remua avec satisfaction.


- Merci, c'est vraiment gentil de ta part.


Chas serra les cintres plus fermement et me réprimanda du regard.


- Comme si c'était lui qui les avait fait pousser.
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“ Nora l'heureuse suggéra que cela pourrait être drôle de se cacher quelque part pour voir ce qui se passerait. Paniquerait-il ou bien inspecterait-il méticuleusement chaque recoin de la base, comme un chasseur ? Que préférerions-nous qu'il fasse ?
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“ Je vis Tom sourire bêtement lorsque je passai devant lui. Cela accentuait sa ressemblance avec un brochet.


- Je vous l'avais bien dit ! exulta-t-il. Je crois que je suis amoureux.


- Je me battrai contre toi pour ses beaux yeux, riposta Chas.
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Si mon père dispose d'une chambre, pourquoi m'a-t-on mise dans la vôtre ?


- A cause des verrous, lui rappelai-je. Ces pièces-ci n'en possèdent pas. Le docteur Dearly voulait rester accessible en permanence... surtout au cas où il aurait fallu le descendre. C'était son plan d'urgence.


Ses yeux s'écarquillèrent un peu plus. Jamais je n'aurais cru cela possible.


- Le descendre ? Vous voulez dire... le tuer ?
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Après s’être battu si durement et pendant si longtemps, mon peuple voulait avoir le cœur en paix. Il voulait connaître la quiétude et la stabilité. Il voulait connaître la beauté.
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— Dans ta chambre, répondit Tom en me pointant du doigt.


Dans la liste des idées auxquelles je m’étais préparé, celle-là figurait tout en bas.


— Quoi ? Pourquoi la mienne ?


— À cause de ton dispositif d’urgence.


Je compris tout de suite ce à quoi Tom faisait allusion… et, à vrai dire, en y réfléchissant, je trouvais cette idée bien meilleure que celle de Wolfe. La fille y serait bien plus en sécurité. Oh ! la belle excuse.
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Deux heures pendant lesquelles j’allais pouvoir oublier les ennuis à venir, et mettre de côté ce sentiment de malaise qui me disait que j’étais en train de prendre la mauvaise décision. Deux heures pendant lesquelles je n’aurais pas à la toucher ni à la regarder.


Dix minutes plus tard, j’étais au chevet de miss Dearly, les yeux rivés sur elle.
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Elle comprenait vite.


Samedi l’étudia pendant un moment, puis feignit de s’essuyer une larme.


— Jamais je n’aurais cru que la jeunesse actuelle m’impressionnerait autant. D’abord Bram, puis vous à présent. Je commence à croire que nous ne sommes pas tous maudits, finalement.


Elpinoy poussa un soupir.
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Nora se leva d’un bond et recula vers moi. La situation mise à part… j’adorais, j’adorais vraiment quand elle agissait ainsi. Cela me donnait l’impression d’être un protecteur, comme si j’étais bon à quelque chose.
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J’ai cru que tu étais mort, parvins-je à articuler. J’ai cru que tu étais vraiment mort…


— J’ai bien cru que je l’étais aussi, répondit-il en émettant un rire faible. Mais, à choisir, je ne t’aurais jamais abandonnée. Je serais revenu vers toi, même si j’avais dû mordre la poussière pour y arriver.
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