Citations de Lily Lefébure (33)
Les larmes invisibles qui coulent à l’intérieur sont les plus difficiles à sécher.
Tu peux te réfugier dans mes bras à chaque fois que tu auras besoin de te sentir en sécurité.
« Aveuglée par mon bonheur et enveloppée dans cette bulle de perfection, j’ai oublié qu’il y avait encore un sujet que je n’avais pas abordé. J’ai complètement zappé le fait que j’étais toujours imparfaite, brisée. Une cassure qu’il ne pourra jamais réparer. »
Chapitre 2 :
Olivia
«… C’est sauvage, violent, brutal. Et j’aime ça. Un peu trop d’ailleurs, alors que ce n’est pas le moment. Aussi dans un élan de lucidité, et avant que mon tee-shirt finisse en mille morceaux, je le repousse avec force. Il grogne, mécontent de se voir refuser l’accès au reste de mon corps, mais ce n’est pas le moment.
— Arrête !
— Tu en as envie, je sens ton excitation !
— Et je sens la tienne contre ma féminité ! Mais nous avons un travail à accomplir et des vies à sauver.
Il finit par reculer suffisamment loin pour que nous puissions reprendre contenance.
— Pourrais-tu remplir cette casserole d’eau, s’il te plaît ?
Il répond par un borborygme indistinct, mais obtempère néanmoins.
Voilà, gentil toutou !
De mon côté, je me tourne et inspire profondément pour expirer ensuite, tentant de faire refluer mon trouble.
Nous aurons bien le temps de nous pencher sur notre étrange lien plus tard. Pour l’heure, nous devons aider la meute et sauver Brynn et les enfants. …»
« Je vais la laisser venir à moi et faire le premier pas. Elle en vaut largement le coup. »
« Cette idée est complètement saugrenue, mais quand toute cette histoire de harcèlement sera terminée, j’ai bien envie de céder à ce deal absolument aberrant. »
« Il est arrivé dans mon dos, a volé une petite pomme de terre de l’assiette et m’a embrassée sur l’épaule, à la base du cou. Chose que j’ai honte d’avoir tant appréciée !
— Ça sent bon, chaton ! m’a-t-il dit de sa voix grave.
Je l’ai senti se raidir quand il s’est aperçu de son geste, puis il s’est écarté.
Le reste de la soirée était très étrange. Un peu gênant, mais en même temps naturel. »
« j’ai plus que merdé. Je vais devoir ramer pour qu’elle me pardonne. »
Tu es bien plus belle qu'elle, parce qu'en plus d'être magnifique à l'extérieur, tu l'es d'autant plus à l'intérieur. Tu as un corps splendide et une belle âme.
Une chose est sûre, il a le don de me faire rougir et je le soupçonne d’y prendre un malin plaisir. Faut vraiment que je me reprenne! Ce n’est pas vraiment mon genre de me pâmer devant un garçon.
Chapitre 2 :
Dahlia
«… Un grondement sourd me répond. Non, le timbre de mon amant est plus voilé.
— Allez, reviens doucement parmi nous.
Il est exigeant, mais ses gestes tendres parviennent néanmoins à m’apaiser. Non ! Je ne veux pas revenir. Mon cœur s’affole et mon souffle se fait rare de nouveau. Laissez-moi plonger ! Ne m’empêchez pas de trouver la paix !
— Tía, entends-je souffler mon joli coquelicot, son ton plein de sanglots.
Stella.
Je suis égoïste. Je ne peux pas la laisser seule entre les mains du cartel. Je n’ai pas le droit de la livrer sur un plateau d’argent. Je dois la protéger.
— Allez, ma douce, cale ta respiration sur la mienne.
L’inconnu pose ma paume sur du tissu, certainement son tee-shirt, et les battements de son cœur sous ma main sont calmes, mais forts. Je sens qu’on me redresse, qu’on me serre contre un corps chaud.
— Voilà, chuchote-t-il contre mon oreille. Inspire profondément, et expire lentement. Bien. Tu es en sécurité, je ne laisserai personne te faire le moindre mal.
J’ai envie de le croire, j’aimerais vraiment être convaincue de ses paroles. Je me sens bien là, mais n’est-ce pas un piège ?
— Dès que tu peux, ouvre les yeux. …»
Chapitre 1 :
Mahigan
«… Elle est heureuse, ses traits semblent apaisés, cependant elle m’échappe. Elle est si près, et pourtant si loin.
« La fleur qui t’est destinée… »
— Reste avec moi, la supplié-je.
"…se cacher… »
Elle se glisse entre les couvertures, disparaît presque.
— Non ! Reste !
« Viens me chercher, mi lobo ! »
Sa voix, si chaude, si sensuelle. Pourquoi ne puis-je la retenir ?
— Ton nom, s’il te plaît.
« Fleur »
« Trouve-moi ! »
« Sauve-moi ! »
J’ouvre les yeux brusquement, comme si j’étais extirpé de mon rêve par je ne sais quelle force invisible. Mon cœur bat à tout rompre et je suis moite de sueur.
« Sauve-moi ! » …»
Aujourd'hui n'était qu'un avant goût, parce que je compte bien remuer ton monde, Iris Frasier, alors prépare-toi !
Tu fais partie de la famille. Ohana signifie famille et famille signifie que personne ne doit être abandonné ni oublié.
Il y a toujours un passage de film Disney pour illustrer un moment de vie. Disney, c’est la base !
« Je ne suis le père de personne, enfin, pas à ma connaissance. Je suis Kristjan Jólin, ROI Noël. À partir de maintenant, oubliez tout ce que vous pensiez savoir sur cette fête. »
- Tu n’as pas idée de ce qu’il se passe dans mon monde, Elskan Mín.
- Alors, raconte-moi.
Tu fais partie de la famille. Ohana signifie famille et famille signifie que personne ne doit Être abandonné ni oublié.
« Ensemble, ils forment un cercle que nul ne peut détruire. Ils seront un atout majeur pour la meute. »
Chapitre 2 :
Olivia
«…Je me laisse aller contre lui, étonnée par la facilité que j’ai à le faire malgré mon lien avec Amarog.
J’entends d’ailleurs un grondement prononcé provenir de derrière Mahigan, et sens l’aura ténébreuse de mon compagnon se répandre et se rapprocher.
— Lâche-la, bordel ! grogne-t-il à son frère.
— Tiens donc ! ricane Mahigan en reculant à peine son visage pour me regarder. Tu aurais donc dompté le chien fou de la meute !
Je secoue la tête en gloussant. Je ne pense pas vraiment que le terme dompter soit approprié.
— Il semblerait que nos âmes soient liées, mais le lien est étrange.
— Étrange ?
— Je ne saurais l’expliquer pour le moment, mais nos corps et nos loups ne semblent pas avoir réagi pleinement.
— Maintenant que tu le dis, il est vrai que nous n’avons rien senti à travers le lien. Dès que Teekon a été imprégné de Brynn, cela a été un raz de marée, même pour nous.
— Je pense que la situation est différente à cause de tout ce qui se passe.
— En tout cas, il n’a pas l’air ravi que je te serre contre moi.
— Le chien fou t’entend, le lover ! Lâche-la, ou je te casse la gueule. Et nous avons une stratégie à mettre en place !…»