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4.38/5 (sur 401 notes)

Nationalité : France
Né(e) le : 11/01/1988
Biographie :

Amanda Bayle est une auteure de romance publiée par les Éditions Cyplog depuis 2013.

Originaire de l'Auvergne, elle s'inspire de cette région pour écrire et situe parfois l'action de ses livres en plein cœur du pays des volcans.

Elle travaille actuellement sur sa série de new-romance contemporaine, "Les joueurs du Ru", dont le premier tome, "Numéro 10", est paru en 2018.

Source : http://editions.cyplog.com/images/auteurs/photo%20amanda%20bayle.png
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Bibliographie de Amanda Bayle   (16)Voir plus

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Citations et extraits (99) Voir plus Ajouter une citation
- Il est parfois préférable de mourir auprès d'une personne qu'on aime de tout son cœur plutôt que d'affronter la vie totalement seul, murmura-t-elle
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Le courage, ce n'est pas seulement de foncer tête baissée sur les ennemis, murmura-t-elle. Le véritable courage, c'est d'avouer ses faiblesses à la personne que tu aimes en priant pour qu'elle t'accepte tel que tu es, avec tes points forts et tes failles.
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- Dois-je m’attendre à recevoir beaucoup d’autres Marjorie Little furieuses et malheureuses ? attaqua-t-elle immédiatement.

— Non.

Dans son coin Samuel ricana.

— Les autres ne sont pas assez courageuses pour venir jusqu’ici.

— Les autres ! s’écria Glynis en bondissant de son siège.

Brian foudroya son frère du regard avant d’affronter son épouse.

— Je suis un homme de trente ans Glynis, déclara-t-il d’une voix ferme. Tu ne t’attendais tout de même pas à ce que je me sois réservé pendant toutes ces années !

— Je pense que vous avez certainement beaucoup trop profité de votre célibat !

Samuel s’esclaffa dans son fauteuil.

— Là, elle n’a pas tort.

— Sam, tu n’as pas un cheval à aller vendre ? siffla Brian d’un air excédé.

Pour toute réponse, Samuel leva son verre de bourbon dans la direction de son frère, un sourire insolent aux lèvres.
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— Tu n’as plus peur de l’eau ? Morgan . Je ferme les yeux et mon sourire s’élargit. Il a finalement abandonné la rouquine pour me rejoindre, et il se tient derrière moi, si près que je peux sentir la chaleur de son corps.
— Je suis terrifiée. Ma voix est à peine plus forte qu’un murmure.
— Alors, qu’est-ce que tu fais là ?
— Je t’attendais.
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- Là-bas !
Rolf l'avait suivi, et il venait de s'immobiliser juste à côté de lui en apercevant une petite forme humaine, recroquevillée le long d'un mur, frissonnante et haletante, sous l'un des seuls lampadaires allumés de la rue.
- Nom de Dieu... murmura Rolf. Ève...
À sa vue, la colère de Luderik s'envola. Il pouvait sentir sa souffrance, sa détresse, sa peur, même si elle se trouvait encore à plusieurs mètres de lui. En une fraction de seconde, il se trouva à ses côtés. Elle avait fermé les yeux, tremblait de tout son corps et elle était... trempée. Bordel, mais d'où venait toute cette flotte ? Ève était assise dans ce qui semblait être une immense flaque d'eau qui commençait à givrer sur le trottoir. Il l'agrippa par les épaules et la secoua.
- Ève ! Ève, ouvre les yeux ! Regarde-moi !
Aucune réaction en dehors de ses tremblements.
Ioan venait de les rejoindre :
- Elle est... mais qu'est-ce que…
- Il y a d'autres odeurs, d'autres personnes étaient ici, elles sont parties il y a peu de temps, je les sens, grogna Rolf.
Luderik ne sentait rien pour sa part, une seule chose comptait : ramener Ève chez lui. Il la prit dans ses bras et feula en voyant Ioan qui esquissait un geste dans sa direction. Le garou recula, prudent.
Le manoir était à plusieurs rues de là, mais Luderik se déplaçait vite, très vite. Il s'élança dans les artères sombres de la ville, Ève plaquée contre lui, toujours inconsciente et grelottante. Il maudit son corps de vampire incapable de produire la moindre chaleur pour réchauffer l'humaine. La température extérieure était en dessous de zéro degré et la jeune femme était trempée, en état de choc, faible, glacée...
Elle va mourir d'hypothermie...
Non ! Il ne voulait pas envisager cette éventualité. Ève était une battante, téméraire, elle voulait survivre, elle
allait survivre. Mais pourquoi s'était-elle enfuie ? Pourquoi l'avait-il laissée sous la surveillance de Ioan ? Pourquoi n'avait-elle pas compris que cette ville était dangereuse, qu’elle ne survivrait pas dans ses ruelles glaciales et plongées dans la pénombre ?
Les questions se bousculaient dans son esprit tandis qu'il progressait en direction de chez lui. Quand il atteignit le bout de sa rue, le sentiment d'urgence qui l'habitait depuis plusieurs minutes s'amplifia : la respiration d'Ève était tellement ténue qu'il l'entendait à peine. D'un coup de talon de sa boot, il fit presque voler en éclats la grande porte double du manoir. Un cri de femme l'accueillit, mais il n'y prêta aucune attention et se précipita vers la salle de bains.
Ève n'avait plus aucune réaction, elle ne tremblait même plus ! Luderik la déposa dans la baignoire avant de la déshabiller des pieds à la tête et d'attraper des serviettes propres dans l'un des placards pour l'emmitoufler dedans. Il frotta sa peau, devenue d'un blanc presque translucide, en prenant soin de ne pas la blesser, de ne pas appuyer trop fort, de contrôler l'Immortel qui grondait en lui. Il fallait la réchauffer avant tout, sécher ses cheveux, les enrouler dans un drap de bain et frictionner. C'est ce qu'il fit encore et
encore, jusqu'à ce que peu à peu, le sang se remette à circuler et sa peau reprenne une couleur moins cadavérique. Elle semblait respirer un peu mieux, un peu plus régulièrement. Il posa une main sur sa joue, mais il ne parvenait pas à déterminer si elle s'était ou non réchauffée, ses propres paumes étaient trop glacées, encore humides...
- Cynthia ! beugla-t-il.
Cette dernière le rejoignit au bout d'un temps infini, mettant un peu plus ses nerfs à l'épreuve.
- Touche-la, dis-moi si elle est froide.
Hésitante et visiblement apeurée, la jeune femme s'approcha doucement de la baignoire et plaqua une main sur le front d'Ève, toujours inconsciente.
- Elle est... tiède, pas vraiment chaude, mais pas glacée.
La réponse était vague et Cynthia n'attendait
que de s'enfuir de cette pièce. Il savait parfaite-
ment pourquoi : il devait faire peur à voir. Ses
crocs étaient longs et écorchaient ses lèvres à
chaque mot, du sang coulait sur son menton et il était conscient que ses yeux avaient viré à l'argenté. Mais il s'en moquait. Il se contrefichait de foutre la trouille à tout le monde.
- Reste avec elle, grogna-t-il en se levant.
Continue de frotter sa peau.
Avant qu'elle n'ait eu le temps de réagir, il avait quitté la pièce pour rejoindre la chambre et fouiler dans le sac d'Ève, à la recherche de vêtements chauds.
Bon Dieu, s'il ne l'avait pas obligée à mettre
cette putain de robe, il n'en serait pas là ! Cynthia
était agenouillée à côté de la baignoire quand il retourna dans la salle de bains. À sa vue, elle bondit sur ses pieds et s'écarta, terrifiée. Luderik entreprit d'habiller Ève. La jeune femme était nue devant ses yeux pour la toute première fois, mais peu lui importait, il ne la regardait même pas tout ce qu'il voulait, c'était la réchauffer. Il empila les couches de vêtements sur elle, la secoua pour tenter de lui faire reprendre connaissance. Sa respiration était redevenue plus régulière et ses pommettes se teintaient légèrement, mais elle n'ouvrait toujours pas les paupières et les battements de son cœur étaient encore faibles. Il l'enroula dans une grande couverture et la prit dans ses bras pour se rendre près de la cheminée. Là, il s'assit sur son fauteuil, Ève blottie contre lui.
Sa propre respiration était rapide, hachée et un feulement incontrôlable émanait de sa poitrine à chacune de ses expirations. La bête était lâchée et il aurait du mal à la remettre en cage, mais sa femelle avait failli mourir et il prenait soin d'elle à présent. Pourquoi s'était-elle enfuie ? Cette question tournait en boucle dans sa tête. Et cette flaque à ses pieds, immense... Pourquoi était-elle
trempée ? Pourquoi y avait-il de l'eau sur le sol ? Il ne pleuvait pas ce soir, il n'avait pas plu ces deux derniers jours, il n'y avait aucune raison pour qu'elle se trouve assise dans une flaque de ce genre…

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Chapitre 6 :

Gabriel

«… Alors, au lieu de lui présenter mon sourire charmeur, je me contente de la détailler des pieds à la tête. Mon examen dure assez longtemps pour la mettre mal à l’aise, néanmoins elle ne bronche pas et me fait face, de moins en moins aimable.

— C’est vrai que tu m’as insulté devant témoins, je me suis senti… humilié.

Elle serre les dents et m’adresse un regard faussement contrit.

— Une fois encore, je m’en excuse.

Et une fois encore, je sais qu’elle n’est pas sincère.

— Si les collègues n’avaient pas assisté à ça, les choses seraient différentes.

Clémence ne peut s’empêcher de lever les yeux au ciel.

— Ce n’est pas non plus la fin du monde ! Je ne t’ai pas frappé, que je sache.

Je retiens un sourire.

— Tu ne devrais pas minimiser l’effet de tes paroles sur moi.

— Comme si on ne t’avait jamais traité de connard… marmonne-t-elle.

Hum, j’ai l’impression que Clémence l’Hystérique n’est plus très loin. Je constate qu’elle a une bien piètre opinion de moi.

— Jamais dans le cadre de mon travail.

Elle soupire.

— Écoute, je suis désolée, je ne vois pas ce que je peux dire ou faire de plus. Si je pouvais remonter le temps, je ne me comporterais pas de la même façon, je peux te l’assurer.

— Tu me frapperais ?

Je vois la commissure de ses lèvres trembler, comme si elle retenait un sourire amusé.

— Peut-être.

J’essaie d’avoir l’air fâché ou ennuyé par la situation, mais c’est de plus en plus difficile. Mme Placide s’avère avoir finalement un caractère et cela me surprend. J’ai envie de la piquer, non, de l’emmerder. Je tire une autre taffe sur ma clope.

— J’imagine que tu crains … »
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Lorsque ses yeux suivirent la ligne de son cou pour plonger dans son décolleté, elle sentit son visage s'enflammer. Elle remonta la main quelle avait posée sur son épaule jusqu'à son cou.
- Regardez-vous toutes vos cavalières avec autant d'intensité, M. Covington ? souffla-t-elle d'une voix légèrement rauque.
Brian raffermit la pression de sa main sur sa taille et se pencha légèrement vers elle.
- Seulement celles que je veux mettre dans mon lit.
Glynis s'efforça d'ignorer les picotements qui se manifestaient dans son ventre et prit un air réprobateur.
- J'imagine qu'elles doivent être nombreuses.
Un sourire impudent apparut sur le visage de Brian.
- Ces derniers temps, celle qui m'obsède est la seule et unique qui refuse obstinément d'y entrer.
Le coeur de Glynis rata un battement.
- Peut-être a-t-elle compris qu'elle perdra tout attrait à vos yeux dès qu'elle aura cédè à vos avances.
Brian se redressa d'un coup, il avait l'air réellement surpris par cette réponse.
- Je ne vois pas comment une telle chose pourrait se produire.
Glynis retint un éclat de rire devant sa mauvaise foi.
- Vous vous êtes pourtant lassé de toute les autres, fit-elle remarquer.
De nouveau, le regard de son mari se fit brûlant tandis qu'il se posait sur ses lèvres.
- Mais aucune d'entre elles n'était toi, mon ange.
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Chapitre 2 :

«… Malgré tout, elle était convaincue que son plan de ce soir allait fonctionner.

— Et pourquoi nous demander de l’aide, à nous ? Il y a beaucoup d’autres créatures sur cette planète. Pourquoi les loups ? la questionna Kane.

Impossible de lui donner la véritable raison qui l’avait poussée à traverser tout le continent à la recherche d’une meute de garous, ce serait trahir une fois de trop sa sœur, alors elle mentit.

— Parce que vous êtes les seuls à avoir accepté, et parce que j’ai une contrepartie à offrir.

Ce n’était pas entièrement un mensonge et Ioan en était conscient. Elle lui avait promis que, s’il l’aidait à sauver sa frangine, elle retrouverait la sienne, disparue depuis plusieurs siècles. Son second était-il au courant de leur arrangement ?…»
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Ève glissa sa main dans la sienne et il baissa les yeux vers elle. Elle semblait à la fois épuisée et ravie. Elle pouvait se réjouir, car en vérité, elle lui avait certainement sauvé la vie pour la seconde fois. La sorcière d’Olrik était très puissante : avec ses tours de magie et ses sortilèges… il ne savait pas s’il aurait pu la combattre. Malgré tout, il ne pouvait s’empêcher d’en vouloir à la jeune femme d’avoir risqué sa vie pour lui.
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- Je vous ai mal jugée, déclara-t-elle faiblement au bout d'un moment. Je pensais que vous n'étiez rien de plus qu'une innocente un peu sotte qui se serait laissé charmer par Brian et piéger dans un mariage d'intérêt. En réalité, vous êtes réellement jeune et innocente, naïve aussi certainement, mais loin d'être sotte et je doute que ce soit vous la piégée, dans ce mariage.
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