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Critiques de Linda Jaivin (10)
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Mange-moi

Ah les plaisirs de la bouche ! Mange-moi est un roman dit érotique mais, bien qu’il y ait des scènes de sexe, je ne suis pas convaincue de ce classement. J’y ai plutôt vu un simple exercice de style, le roman dans le roman, qui est qui, l’auteur-personnage du roman- est-il celui ou celle que l’on croit, invente-t-il, vole-t-il des histoires pour les mettre à sa main…? Et sous cet angle, je me suis bien amusée parce que l’histoire, les histoires…de cul, oui c’est de cela aussi qu’il est question mais pas que, est bien menée, légère certes, mais vive et drôle. L’histoire, c’est aussi le portrait léger d’un groupe friqué de jeunes femmes, courant des années 90 où il était important de mettre la question du préservatif sur la table (la question pas le préservatif… toujours utile) et d’examiner les fantasmes les plus courus. C’est aussi une description des liens d’amitié entre ces jeunes femmes, amenée avec le sourire. Mais surtout, il est question de mets, d’aliments, du début à la fin. La nourriture, le fondamental de toutes les relations humaines. On se retrouve pour papoter autour d’un café au lait entre copines, on déjeune pour se raconter la nuit passée (à se faire dévorer)… la vie c’est aussi la cuisine, la mangeaille.

Alors ce titre et cette couverture ? il ne s’agit pas uniquement de nourriture charnelle épicée (seriez déçus, c’est assez convenu), mais c’est un ensemble de bonnes choses que Linda Jaivin met en avant : l’amitié se construit aussi autour d’une table.

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Mange-moi

Une très grande déception.



La quatrième de couverture laissait présager une histoire loin des clichés habituels de la chicklit et des passages comiques.

Au lieu de ça, en dehors de quelques moments où j'ai quand même un peu souri - merci à ce fabuleux procédé littéraire qu'est l'exagération - , plus vulgaires que drôles en fait, beaucoup d'ennui tout de même…

Le fait de passer sans arrêt du coq à l'âne a rendu cette lecture d'autant plus laborieuse.



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Mange-moi

Quatre jeunes filles parlent sans tabou de leur vie sexuelle et l'une d'elle se sert de ces confidences pour essayer d'écrire un livre...

Navrant !
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Mange-moi

Le problème avec les livres érotiques est que si on n'a pas les mêmes fantasmes que l'auteur, on peut vite s'ennuyer surtout s'il n'y a pas d'histoires. Mange-moi est une succession de scènes érotiques très crues, parfois amusantes, mais sans lien entre elles.

L'histoire est très creuse et les personnages ne sont que des silhouettes à peine caractérisées.

Passé le premier chapitre plutôt surprenant, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent. Une vraie déception.
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Les Envahisseuses

Avec le résumé du livre, je ne m’attendais pas à des miracles, mais je croyais quand même que ce serait meilleur que ça. Ce livre n’est qu’une tonne de prétextes pour parler de sexe, dans toutes les conditions, pour ne pas dire, dans toutes les positions – avec des extraterrestres qui changent de forme, celles-ci sont multipliées. Bref, une déception plus ou moins prévisible.
Lien : http://www.libellul.com/?p=464
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Un accro dans la toile

Eh bien ce livre, je m'y suis lancée avec de sérieux doutes. Il faut avouer que les petites maisons d'édition ont de quoi effrayer : leurs couvertures sont souvent, sinon moches, du moins très peu attrayantes. Celui-ci n'a pas dérogé à la règle et je peux donc me remercier de l'avoir sélectionné au vu du contenu et non de l'emballage. C'est un sacré handicap que de paraître chez un petit éditeur car ces livres on n'en parle pas, ils franchissent nos frontières dans l'anonymat le plus total.



Alors, de quoi parle ce livre?

Miles Walker est ligoté sur une chaise, dans un bateau... il ne lui reste que 4 heures à vivre... 4 heures pour repasser sa vie... 4 heures pour essayer de s'en sortir.

Miles Walker est un artiste, avec ses fulgurances créatrices mais aussi ses liens avec les galeristes et les médias, les corruptions.



Voilà pour l'entame et on peut dire qu'on est tout de suite dans le bain. Après Pince-mi et Pince-moi sont dans un bateau, voici la version revisitée avec un Miles prisonnier à son propre piège qui, à force d'approcher les sommités, se voit contraint de boire la tasse (et pas de thé, ah ça non !). Et l'"ennemi" n'est peut-être pas celui qu'on croit !

Car Miles est, comme il se qualifie, un Art hero. Il est celui qui ne doute jamais de son talent même si peu de gens le portent aux nues.

Pour le contexte spatio-temporel, laissez-moi vous dire que nous sommes dans un pays tout à fait dans la continuité de l'Australie actuelle avec des lieux identique, une végétation omniprésente et des gens aux personnalités bien "barrées". Nous sommes en fait dans ce qui est désormais appelé le Strayer (une consonance assez similaire), un petit pays isolé de tout qui se suffit à lui-même.



En place c'est le Clean State, parti qui prône la dissolution de tous les arts et le boycott de la culture. Sont fortement réprimandés tous ceux qui ont recours aux livres, représentations de théâtre, qui assistent à un quelconque vernissage. Autant vous dire que Miles est une cible directe du gouvernement, d'autant plus qu'il continue à peindre au grand jour. Ses amis, Maddie et ZakPoint, sont artistes eux aussi mais restent dans l'ombre, il sont la rebellion silencieuse. Quant à l'écervelée Destiny Doppler, Premier Ministre et porte-parole des lavages d'esprit, elle se place comme le bouc émissaire mais c'est elle qui a le pouvoir, elle qui exécute, elle qui fait régner la "terreur".

Vous allez me dire : mais quel lien avec le baillonnage de Miles auquel on assiste dès l'incipit? Par les flash-backs on revient sur cette période très officiellement appelée la Tourmente. On comprend comment le petit pion Miles s'est vu déchoir de son piédestal et comment il en est venu à être menacé même par ses amis.



Un livre tout à fait atypique qui m'a plus d'une fois fait sourire. Certaines tournures ou traits d'esprit m'ont particulièrement charmée. J'ai aimé le ton très libéré de Jaivin qui s'est créé son monde imaginaire où elle met en scène toute une galerie de personnages hauts en couleur. On sent que l'auteur maitrise son sujet (l'Art) et ici elle pointe des problématiques bien actuelles telles que la disparition des individualités au profit d'une masse commune. La culture est particulièrement passée au crible dans cette chronique d'un autre temps et on sent que derrière toutes les abstractions le message est de continuer à ressentir et apprécier même ce que l'on ne comprend pas.

Tout à fait surprenante cette lecture ! Une belle immersion dans le monde de l'Art, celui dont on ne cerne même pas les limites.
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Une soirée entre filles

J'Ai bien apprécier...

Un genre de livre que je conseillerais à une fille célibataire entre 25 et 35 ans!

Rigolo et rafraîchissant!
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Une soirée entre filles

Recueil de nouvelles écrites par différents auteurs. Certains sont bonnes, d'autres moins. Pas mal dans l'ensemble
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Une soirée entre filles

pour une soirée au lit en célibataire, rafraîchissant le format en nouvelles !
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Mange-moi

Livre olé olé qui n'apporte rien de particulier aussi bien sur l'histoire que sur la qualité d'écriture. Déçue
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