À chaque saison éclate une guerre silencieuse dont l'issue est le règne et la domination d'une espèce sur les autres. On appelle cela la loi de la nature.
Le batracien ne dégoûte pas tous les animaux. Il est même vulnérable face à trois d'entre eux :
- L'aigrette équarrisseuse
- Le blaireau carnivore commun
- Le héron et pas tapon
- Des pancakes, au déjeuner ? On ne va quand même pas…
- Absolumineusement mon cher Tristan, tu as raison ! On ne va quand même pas s'empêcher de déguster ces excellentes mignardises juste parce que c'est le repas de midi, voyons ! Belle ouverture d'esprit !
La soirée joyeuse est l'occasion de fêter dignement ces bonnes nouvelles. Elle parvient même à faire oublier la mélancolie usuelle des dimanches soirs qui précèdent les lundis matis chagrins des retours en classe. (p. 29)
On n'est pas une famille décomposée, tu sais... Juste une famille recomposée ! Tant qu'on est là les uns pour les autres, le reste est comme un clapotis dans une flaque. (p. 20)