Je ne vis pas pas davantage entrer le palanquin qui devait me conduire dans la demeure de mon mari. De sombres pensées commencèrent à s'insinuer en moi, proliférant comme une vigne folle. Avec une tristesse infinie et un désespoir glacé, je compris que je n'allais pas être emmenée chez Ren. Selon la coutume relative aux filles qui sont dans l'incapacité de se marier, ma famille m'avait déposée ici dans l'attente de ma mort.