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Pierre Ménard (IV) (Traducteur)
EAN : 9782081209077
429 pages
Flammarion (30/04/2008)
3.66/5   267 notes
Résumé :
Pour la jeune Pivoine, recluse dans les appartements des femmes et promise à un mari qu'elle n'a jamais rencontré, la vie est monotone.

Aussi, lorsque dans les jardins de la famille Chen, parmi les senteurs de gingembre, de thé vert et de jasmin, une troupe de théâtre vient jouer son opéra favori, Pivoine supplie ses parents de la laisser assister au spectacle. Sa mère, réticente par souci des convenances, est rassurée par son époux : les femmes regar... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (48) Voir plus Ajouter une critique
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sur 267 notes
À quelques mois de se marier, Pivoine obtient la permission de son père d'assister à une représentation de son opéra favori, le pavillon des Pivoines. Cette oeuvre est largement déconseillée aux jeunes filles chez qui elle est censée provoquer un mal d'amour fatal. Lors de la représentation, Pivoine s'éprend d'un jeune et beau poète. Mais elle est depuis son enfance promise à un époux qu'elle ne connaît pas. Toute la passion découverte dans l'opéra transcende Pivoine qui finit par mourir d'amour alors que le bonheur était à portée de sa main. « L'amour pouvait-il être assez fort pour survivre à la mort – non seulement une fois, mais à trois reprises ? « (p. 53)
Mal honorée par sa famille, Pivoine devient un fantôme errant. Toujours pleine d'amour pour son poète, Ren, elle décide de prendre en main son bonheur en accompagnant ses épouses successives. Et surtout, à travers elles et en devenant leur « soeur-épouse » elle espère que son grand projet de commentaire du Pavillon des Pivoines verra le jour. Les années passant, elle attend aussi que quelqu'un achève le rituel qui lui permettra d'accéder au rang d'ancêtre et achèvera ainsi sa longue et misérable errance.
Ce roman propose une réflexion assez intéressante sur l'éducation des filles : faut-il les former aux arts du ménage ou développer leur esprit ? D'aucuns sont partisans d'une femme-bijou, ornement de la maison : « Les filles doivent être aussi délicates que des fleurs. Il importe qu'elles marchent avec élégance et se balancent avec la grâce d'un lys : c'est ainsi qu'elles deviennent plus précieuses que des joyaux. » (p. 82) Ce sont souvent les mêmes qui voient d'un mauvais oeil les filles utiliser leur cervelle : « L'activité littéraire fait planer une lourde menace sur le monde des femmes. J'ai vu trop de jeunes filles perdre la santé et la joie de vivre parce qu'elles refusaient d'abandonner leur pinceau. » (p. 327) Réfléchir serait-il donc mauvais pour la santé mentale et physique des jeunes filles à marier ?
Avec une naïveté tout d'abord charmante, puis largement agaçante, l'auteure décrit les émois d'une jeune fille qui s'éveille à sa propre sensualité et à sa propre conscience. « Avais-je perdu ma pureté en rencontrant un inconnu et en acceptant qu'il m'effleure avec les pétales d'une pivoine ? » (p. 146) Charmant, n'est-ce pas ? Tout comme l'expression « le jeu des nuages et de la pluie » qui décrit l'acte sexuel. Mais après une dizaine d'occurrences, cela finit aussi par lasser. le roman est un peu trop policé. Ne serait-ce l'arrière-plan historique et culturel, le Pavillon des Pivoines serait presque à classer dans les Harlequins de moyenne catégorie !
Heureusement, Lisa See présente une histoire de la femme en Chine et cela donne un vrai souffle et un intérêt certain au texte. Les exemples de femmes qui ont refusé la réclusion domestique sont légion et il se fait jour l'émergence d'une conscience féminine politisée, en dehors des appartements privés. C'est ainsi que se développe une opposition à la dynastie mandchoue des Qing qui a renversé les Ming. L'occupant ne se méfie pas des femmes, qui plus est de celles qui ont les pieds bandés. « le combat des femmes qui écrivent consiste davantage à se libérer de ce qui entrave leurs pensées que des limites imposées par leur liberté de mouvement. » (p. 350) Loin de chanter uniquement les oiseaux et les papillons, les cercles littéraires féminins s'emparent des sujets politiques et sociaux. C'est ce que Lisa See dépeint avec talent en parallèle de l'errance de Pivoine.
Dans son précédent roman, Fleur de neige, l'auteure avait décrit certaines traditions chinoises proprement féminines, comme le bandage des pieds et le langage secret des femmes. Ce roman fait la part belle aux traditions liées au culte des morts et aux esprits, frappeurs ou non. On découvre aussi la pratique d'une médecine ancestrale où l'écoute du corps passe aussi par l'écoute de l'âme. Même si le tout est largement romancé, le sujet reste intéressant en dépit de longueurs certaines dans le texte.
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Le Pavillon des Pivoines est un opéra composé en 1598 par le poète chinois Tang Xianzu. Il raconte l'histoire d'amour de Liniang et Mengmei, qui ne se connaissent pas mais se sont rencontrés en rêve et y sont tombés amoureux. A son réveil, Liniang comprend que ce rêve ne se réalisera jamais ; elle se laisse alors mourir, espérant retrouver son grand amour dans l'au-delà. A force de dévotion, Mengmei parviendra cependant à faire revenir sa bien-aimée dans le monde des vivants.
Or donc, le jour de ses 16 ans, la jeune Pivoine assiste à une représentation de cet opéra, cachée derrière un paravent avec les autres femmes de la maisonnée. Car c'est bien là la place des femmes dans les familles aisées de la Chine du 17ème siècle : confinées dans leurs appartements, à l'abri du regard des hommes, elles passent le temps à entretenir leur statut de femmes-objets, se limitant à broder, chanter, danser et pondre des enfants mâles.
C'est néanmoins à l'occasion de cet opéra que Pivoine rencontre furtivement un jeune et beau poète. le coup de foudre est instantané, mais tous deux savent que cet amour est impossible. Les choses auraient dû en rester là, mais Pivoine, trompant son ennui dans sa prison dorée en attendant son mariage arrangé, décide alors de se plonger dans l'étude approfondie du texte du Pavillon des Pivoines et entame la rédaction d'un commentaire. Réalisant combien sa vie et son avenir sont étriqués, comprenant qu'elle ne connaîtra jamais l'amour absolu, elle se jette dans cette tâche à corps perdu. Et l'expression est à prendre à la lettre, puisque, en proie au « mal d'amour », Pivoine ne s'alimente plus et se laisse dépérir, espérant, à l'image de Liniang, accéder ainsi à la liberté et à la félicité.
Racontées par Pivoine elle-même, la première partie du roman relate la courte vie terrestre de la jeune fille, tandis que les 2ème et 3ème parties décrivent comment, en tant que « fantôme errant », elle tentera de trouver l'amour, de comprendre les secrets familiaux et de poursuivre son commentaire du Pavillon des Pivoines à travers ses deux « soeurs-épouses ».

Ce roman est donc une fiction, mais dont les principaux personnages ont existé, de même que « le Commentaire des trois épouses », exégèse du Pavillon des Pivoines. Ces deux textes connurent un immense succès à leur époque, même si l'opéra fut censuré par les autorités en raison de son caractère lascif, et surtout parce qu'il envisageait la possibilité, pour une femme, de choisir son destin. Exaltant l'amour fou, cet opéra provoqua également le phénomène du « mal d'amour », qui toucha de nombreuses jeunes filles préférant se laisser mourir de faim et de désespoir plutôt que de vivre une vie cloîtrées dans les murs de leurs palais.

Le roman me laisse une impression mitigée. D'une part, il est très intéressant parce que bien documenté : on en apprend beaucoup sur les rites funéraires, sur l'histoire de la Chine à l'heure de la chute des Ming et de l'invasion mandchoue, et surtout sur la condition des femmes (les scènes de bandage de pieds sont particulièrement horribles). D'un autre côté, ce récit ravira les âmes romantiques prêtes à déverser des torrents de larmes à la moindre bouleversificante histoire d'amour contrariée. Parce qu'on n'est pas loin de l'eau de rose : raconté par une adolescente de 16 ans, désoeuvrée, exaltée et désespérée, c'est forcément lyrique, poétique et naïf, c'est-à-dire larmoyant, mièvre et agaçant. Les personnages sont caricaturaux et leurs destins tragico-tragiques à souhait. Ajoutez-y une bonne couche de fantastique et un happy end, et vous avez tous les ingrédients d'un best-seller. Ce qui, on le sait, ne rime pas toujours avec qualité littéraire.
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D'aucuns affirment que le Pavillon des Pivoines présente un intérêt bien moindre que Fleur de Neige. C'est très vrai, du moins du point de vue littéraire ; en effet, l'histoire oscille constamment entre lyrisme exacerbé, forçant les stigmates d'une Chine impériale dans laquelle l'univers masculin et l'univers féminin ne se retrouvent que sous la couette, et les mièvreries souvent agaçantes d'une adolescente partie à la découverte de sa sensualité.

Mais passons outre le premier plan et notons que tout l'intérêt de ce livre, parfaitement documenté, reconaissons-le aussi, réside dans son arrière-plan historique et culturel : Lisa See nous transpose dans la Chine impériale, au moment où la dynastie des Mandchous s'impose avec d'autant de fracas qu'elle est détestée par le peuple.
Le rôle de la femme dans la société et la question de son émancipation sont au coeur de ce changement de dynastie. A ce propos, les trois soeurs-épouses de Ren sont une très belle métaphore des trois phases de l'amour : l'amour sensuel, l'amour physique et l'amour de la maturité. Les rituels liés aux défunts sont parfaitement rapportés et le lecteur perçoit les nuances des croyances ancestrales de cette Chine ancienne.

Ne perdons pas de vue, néanmoins, que, derrière ses origines chinoises, Lisa See reste un pur produit américain qui a su exploiter avec talent l'exotisme que succite cette région du monde pour tout occidental que nous sommes.
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Pivoine n'a que seize ans, mais elle sera bientôt mariée à un mari choisi par son père. Deux jours avant l'anniversaire de la jeune fille, la famille se prépare à une représentation du célèbre opéra chinois - "Le Pavillon aux Pivoines" et son père a pris des dispositions spéciales pour que les femmes puissent entendre le spectacle, je dis bien entendre, car elles seront à l'abri des regards, derrière un paravent, donc elle ne pourront pas voir grand chose. Ce spectacle est plutôt controversé, car de nombreuses jeunes filles ont été attirés par la mort à cause des émotions fortes engendrées par cette histoire d'amour. Soi-disant, elles peuvent subir la maladie ou même la mort d'un amour non partagé. Pendant le spectacle, Pivoine aperçoit un homme, un poète, et tombe follement amoureuse. Par amour, elle est prête même à enfreindre les règles.
À partir des traditions de longue date du culte des ancêtres, de la croyance aux esprits et des rôles sociaux stricts, Lisa See parvient à présenter une histoire qui célèbre le féminisme et les femmes écrivains qui sont presque oubliées aujourd'hui. J'ai eu un peu du mal à m'engager dans le roman à cause de cette profonde tradition que j'avais du mal à comprendre au début, de la condition de la femme à cette époque. J'étais irritée par les restrictions que Pivoine et d'autres femmes acceptaient si facilement.
Cette histoire portait sur beaucoup de choses. le thème général étant une tentative de célébrer l'éclat des femmes dans une société dominée par les hommes. Dans la Chine ancienne, comme dans la plupart des autres endroits du monde à cette époque, le contrôle appartient aux hommes. Les femmes sont beaucoup moins mises en avant. Elle raconte vraiment comment les femmes qui, selon cette culture, devraient être gouvernées par des hommes et ne pas penser et agir pour elles-mêmes, vont briser les chaînes qui les lient dans la vie, et même dans la mort.
D'un autre coté, c'est un ouvrage très intéressant qui nous raconte certaines coutumes et traditions de la culture chinoise du XVIIe siècle, tout d'abord le bandage douloureux des pieds, qui rendait les femmes plus intéressantes aux yeux des hommes. Il nous raconte aussi comment vivaient les femmes, mariées et célibataires, il illustre également comment les mariages étaient arrangés et organisés et nous introduit également aux rites et superstitions liés au culte des morts. le livre traite également de l'éducation des femmes, qui n'est souvent pas considérée comme aussi importante que celle d'un homme, même aujourd'hui ! Les femmes poètes en Chine existent depuis des siècles, mais elles n'ont pas été honorées de la même manière que les hommes poètes.
Si au début de ma lecture, je n'étais pas trop enthousiaste, j'ai fini par être passionnée par cette histoire d'amour (même si Pivoine et Ren ne se rencontrent que trois fois) / traditions chinoises/ lecture féministe.
Une histoire captivante avec des personnages complexes et Lisa See a un style d'écriture qui m'intrigue. À part le fait que j'ai passé un bon moment de lecture, j'ai aussi appris énormément des choses.
Une très belle découverte, je me laisserais tentée par d'autres romans de cette autrice!
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Après avoir lu Fleur de Neige, de Lisa See, je me réjouissais de lire le Pavillon des Pivoines. le début du récit m'a enchantée, même si à certains moments je lui trouvais certaines longueurs. Pivoine est une jeune Chinoise passionnée par la lecture d'un opéra, le Pavillon des Pivoines, mais enfermée par sa condition de femme dans la société chinoise rigide du XVIIème siècle qui l'empêche de vivre ses passions comme elle le voudrait. Elle est sur le point de se marier, avec un homme inconnu qui lui est destiné depuis sa plus tendre enfance, tout en étant tombée amoureuse d'un jeune homme rencontré par hasard lors de festivités organisées pour ses 16 ans. Les événements vont faire en sorte que les choses ne vont pas se dérouler comme prévu. Et très vite dans le récit intervient le monde de l'au-delà, des ancêtres et des fantômes errants. A ce moment-là de la lecture, j'ai ressenti une certaine déception à ce qu'on quitte le monde réel. Cela dit, cette déception a très vite été effacée car, par son évocation de ce monde de l'au-delà, Lisa See nous fait découvrir les croyances et usages chinois très codifiés de l'époque, qui sont d'une étonnante richesse. Une très belle lecture, même si j'ai nettement préféré Fleur de Neige.
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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Le caractère qui signifie ''amour maternel'' est composé de deux éléments : l'''amour'' et la ''souffrance''. J'avais toujours cru que cela correspondait au sentiment que les filles éprouvent à l'égard le leurs mères, quand celles-ci leur infligent ces terribles douleurs au moment du bandage. Mais en voyant les larmes de ma deuxième tante et le courage que manifestait ma mère, je compris que cette souffrance était d'abord la leur. Une mère ne cesse de souffrir : en mettant sa fille au monde, en lui bandant les pieds et en lui disant adieu alors qu'elle la quitte pour aller se marier.
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Je ne vis pas pas davantage entrer le palanquin qui devait me conduire dans la demeure de mon mari. De sombres pensées commencèrent à s'insinuer en moi, proliférant comme une vigne folle. Avec une tristesse infinie et un désespoir glacé, je compris que je n'allais pas être emmenée chez Ren. Selon la coutume relative aux filles qui sont dans l'incapacité de se marier, ma famille m'avait déposée ici dans l'attente de ma mort.
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J'avais la nostalgie de la propriété de la famille Chen. L'odeur du gingembre, du thé vert, du jasmin me manquait - tout comme celle de la pluie d'été. Après avoir perdu l'appétit pendant de si nombreux mois j'avais brusquement envie de racines de lotus braisées à la sauce de soja, de canard laqué, de crevettes translucides et de crabes du lac. Je regrettais le chant des rossignols, les conversations des femmes dans les appartements intérieurs, le clapotis des vagues qui venaient mourir sur la berge. Je regrettais le contact de la soie sur ma peau et la douceur de la brise qui passait par ma fenêtre ouverte. Je regrettais l'odeur de l'encre et du papier et les livres dans lesquels je me plongeais pour accéder à un autre monde. Mais par-dessus tout, je regrettais ma famille.
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« Le combat des femmes qui écrivent consiste davantage à se libérer de ce qui entrave leurs pensées que des limites imposées par leur liberté de mouvement. » (p. 350)
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« J'adorais les livres. J'aimais les soupeser entre mes mains, sentir l'odeur de l'encre, le contact du papier de riz... Ne plie pas les coins pour marquer tes pages, me rappela mon père. Ne gratte pas les caractères avec tes ongles. N'humecte pas tes doigts avant de tourner les pages. Et ne te sers jamais d'un livre comme oreiller. »
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Videos de Lisa See (8) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Lisa See
« Inspirée par des faits réels, Martha Hall Kelly a tissé l'histoire de trois femmes durant la Seconde Guerre mondiale, une histoire qui montre le courage, la lâcheté et la cruauté de ces années. Cette part de l'Histoire ? et de l'histoire des femmes ? ne doit jamais être oubliée. » Lisa See, auteure de Filles de Shanghai
« Un roman qui met en lumière les souffrances de ces femmes, et de tant d'autres. J'ai été émue aux larmes. » San Francisco Book Review
À New York, Caroline Ferriday travaille au consulat français. Mais lorsque les armées hitlériennes envahissent la Pologne en septembre 1939, c'est tout son quotidien qui va être bouleversé.
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Un premier roman remarquable sur le pouvoir méconnu des femmes à changer L Histoire à travers la quête de l'amour, de la liberté et des deuxièmes chances.
Plus d'infos sur le livre : http://www.editionsleduc.com/produit/1393/9782368121931/
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