Et pourtant j’ai su, ce soir-là, que l’amour décidément ne meurt pas, si les astres s’éteignent …/…J’ai su que son visage ne changerait jamais, ni le son de sa voix, ni son regard tendre et moqueur, ni la cadence de son pas à mes côtés, jusqu’à la fin des temps, et qu’il ne fallait pas vieillir pendant ce temps-là. LJ – L’astre mort p.183