Luke Pearson

Les multiples postures de cette petite héroïne à la fois tendre et rouspéteuse sont amusantes, les lecteurs souriront des dialogues aux illustrations, avec l'impression parfois d'être dans un petit dessin animé caustique.
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C'est toujours un plaisir de retrouver la petite Hilda, jeune fille intrépide aux cheveux bleus, et son univers si riche.

Ce cinquième tome est graphiquement fidèle aux précédents, plein de couleurs et avec une multitude de petits détails, un vrai plaisir pour les yeux.

L'histoire est teintée de fantastique avec des créatures diverses et des mondes parallèles, vers lesquels Hilda aime bien aller se balader.

Il y a aussi des thèmes annexes qui sont évoqués comme la sensibilisation au danger ou l'importance de communiquer avec ses parents, ce dernier point étant difficile pour Hilda.

Une série vraiment sympa, j'ai déjà hâte de découvrir la nouvelle histoire, qui paraîtra en anglais en 2019...

Hilda petite fille aux cheveux bleus, débrouillarde, ayant une âme d'aventurière, vit seule avec sa mère et adore camper sous sa tente. Elle part à travers sa campagne avoisinante pour trouver l'inspiration pour dessiner au plus près de la nature, ...accompagnée de son amie Brindille, elle va rencontrer quelques drôles de trolls.



Ce personnage de petite fille sympathique est très attachante, altruiste, elle porte en elle des valeurs nobles, l'amitié est à l'honneur .. Notre vie est peuplée de petits êtres magiques qui veillent "au grain".... bravo!Merci Hilda pour ce petit moment féérique dans ce "monde de brutes"!



Belle bande dessinée à la reliure soignée, qui plaira beaucoup aux " petits" et aux grands !

ette bande-dessinée est le premier tome d'une série d'aventures de Luke Pearson qui a pour héroïne la jeune Hilda. Cette jeune fille est un des éléments que j'ai préféré dans cette histoire. J'ai beaucoup apprécié son dynamisme et sa témérité pour sauver sa maison.







L'histoire est intéressante et cette rencontre entre plusieurs individus qui vivent au même endroit malgré des tailles différentes entraînent des situations plutôt amusantes et montre à quel point tout est subjectif ! En revanche, j'aurais préféré que l'histoire des géants soit mieux exploitée parce que je l'ai trouvée un peu rapide et sans véritable intérêt.







J'ai beaucoup aimé les dessins de Luke Pearson et en particulier ses couleurs. Il y a un petit côté vieilli dans celles-ci qui m'a beaucoup plu et qui s'accordent bien avec le grain du papier mat. Là aussi, j'ai aimé le personnage d'Hilda, son style d'abord et les multiples expressions que le dessinateur donne grâce à un visage plus large que le corps.
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Loin des yeux, loin du coeur dit le dicton. Ce titre est à lire à deux niveaux: celui de la séparation d'un couple qui n'arrive plus à communiquer et celui du monde invisible où il se passe des choses extraordinaires.



La coexistence entre ces deux mondes fait toute l'originalité de cette bd. Cependant, c'est mal agencé. Ce n'est pas très crédible. Il manque quelque chose dans la mise en scène pour que cela passe véritablement. Bref, il faudra une haute dose d'imagination.



Ceci dit, le travail de l'auteur ne m'est pas étranger notamment avec Hilda. On retrouve son univers si particulier. Cette fois-ci, il s'adresse à un public plus adulte. Le thème ne sera guère réjouissant surtout pour ceux qui vivent en couple. Mais bon, il faut bien passer par là.

L'auteur qui est un jeune talent britanique nous emmène dans un monde aux consonnances un peu étranges qui rappellent un peu Le voyage de Chihiro ou encore Mon voisin Totoro. Une jeune fillette vit avec sa maman dans une maison isolée dans la campagne au milieu d'un monde peuplé d'animaux bien étranges. Or dans cette étrangeté, il y a encore plus farfelu à savoir des êtres minuscules qui ont construit leur royaume invisible à l'emplacement même de la propriété. Un conflit s'en suivra et il faudra bien le résoudre.



La moralité de l'histoire voulue par l'auteur est que la tolérance et le respect finissent toujours par payer. Si seulement, c'était vrai dans la vie de tous les jours ! Cependant, une lecture aux plus jeunes ne peut leur faire de mal car les valeurs véhiculées par ce récit sont justes.



Il est vrai que l'univers enchanteur est un peu décalé et que les amitiés sont marginales. On notera également l'absence du père. La menace vient de l'extérieur qu'il faudra apprivoiser.



Au final, il n'y aura rien de véritablement transcendant. Néanmoins, le récit se laisse lire agréablement. A retenir : l'idée d'un monde où tous vivraient en harmonie.

Un deuxième tome des aventures d'Hilda à la hauteur du premier.

Hilda est une petite fille pleine de vie et de caractère, on prend plaisir à suivre ses péripéties dans son monde peuplé de créatures diverses et variées.

Le propos est positif et empreint de tolérance, et il y a matière à réflexion pour les plus jeunes d'entre nous.

Le dessin est mignon et fourmillant de petits détails.

Une série réussie.

Derrière une étagère, au dessus de l'étagère, en dessous, entre deux coussins de canapé,

on ne s'imagine pas l'espace inutile qu'il peut exister et le nombre de portes vers l'ailleurs qu'il peut y avoir. Saviez-vous que là, enfin, ici, dans un lieu qui se trouve entre vos murs habitent des Nisses ? On ne les voit pas toujours mais ils sont là.

Dans le petit monde de Hilda, on peut se trouver à habiter près ou sur l'habitation d'une famille de Trolls, on le sait à présent et les Trolls, si tu casses leur maison, c'est très rancunier.

Pour ce qui est de casser, un Nisse de maison, vous savez, ceux dont on parlait, ces créatures toutes poilues qui prennent soin d'un intérieur, et bien c'est les meilleurs !

Il vous diront que non, qu'ils sont innocents mais tous les habitants, en tout cas, ne les voient plus en peinture, du jour au lendemain devenus de vraie calamités poilues de chez soi chez nous. Tous unanimes à exclure les Nisses casse-pieds d'un côté, tous unanimes à ruminer que c'est pas vrai de l'autre !

Le poil a beau donner l'air de tenir chaud, à celui qui grelotte dehors sur le sol, Hilda aurait bien donner un bon chocolat chaud mais sa maman l'en dissuade. Ben oui, vous savez ce qu'on dit.

Pourtant, faire cette bonne action, si tant est qu'on puisse ranger cela dans « s'occuper d'un animal sauvage » ou quelques chose d'approchant, permettrait peut-être à Hilda de gagner quelques malheureux badges de Scouts des Moineaux. Pour l'instant, la pauvre enfant bien trop rêveuse ne se montre pas la plus douée et son animal Brindille ne compte pas pour ces bonnes actions.

On dit qu'il y a un gros chien noir qui rode. Les chocottes monstrueuses montent dans le creux des petits ventres de chacun. C'est qu'il a pas l'air commode le cabot géant !

Hilda voit là le moyen absolu de pouvoir gagner ses galons de scout.

Un énorme chien noir à trouver, un Nisse à aider, ça devrait marcher comme sur des bottines.



: Un autre épisode des aventures oniriques de la petite Hilda tout aussi doux, succulent et drôles que les autres. Nous apprécions vraiment cet univers à la mythologie rupestre rappelant celle nordique et magique des Moomins de Tove Jansson et dont la poésie et l'humour se trouve assez proche des réalisations animées du japonais Miyazaki.

Avec une facilité qui semble légèrement déconcertante, Luke Pearson propose une histoire à tiroirs avec sa bande-dessinée, une complexité fine, discrète qui se déguste et laisse apparaître les différentes histoires-l'énigmatique affaire des Nisses, Les apparitions du chien noir et la quête de la petite Hilda à vouloir se montrer digne de sa maman, scout émérite au même âge- .

Autour de tout cela, une petite fantaisie enfantine très drôle est déployée, les dessins sont irrésistibles, l'imagination séduit-les passages dans les univers des Nisses en tête puis les personnages d'une belle originalité-, ramène les grands à l'enfance, maintient les plus jeunes le temps d'une lecture très agréable.

L'auteur suit le même shéma narratif que pour son histoire du « Géant de Minuit » avec une histoire principale à laquelle se greffe une seconde qui va poser l'intrigue principale et enfin, un troisième sujet qui apporte la lumière à l'affaire qui soucie notre petite héroïne aux cheveux bleus.

Nous ne nous lassons absolument pas de découvrir ses aventures, toute la famille en prendra son parti tellement l'humour et la tendresse se logent à tous les niveaux.

A partager ! Un vrai coup de cœur !

Pour Hilda, le temps des promenades dans les vastes étendues vertes et mystérieuses des montagnes de son enfance est révolu. En compagnie de sa maman, la voilà maintenant installée dans un petit appartement calé au milieu d’un paysage urbain dont elle ignore tout. Mais la petite Hilda est pleine de ressources et elle compte bien profiter de l’après-midi qui s’offre à elle pour en découvrir un peu plus sur son quartier. Cela tombe bien, car ce soir, c’est la fête annuelle de la ville, la Parade des oiseaux. La première chose qu’elle va apprendre, bien malgré elle, c’est que les jeux et les occupations des enfants des villes ne sont pas dignes d’un grand intérêt. Elle va même rapidement préférer écouter son coeur et venir en aide à un étrange corbeau amnésique.



Après lui avoir fait rencontrer les Géants de la Nuit, dans un premier album très réussi, Luke Pearson, jeune auteur anglais, poursuit son exploration du neuvième art en faisant vivre de nouvelles aventures, cette fois-ci urbaines, à sa jeune héroïne. Ce qui ne change pas dans ce deuxième opus, c’est la qualité et le soin qu’apportent l’auteur et son éditeur, Nobrow, à chacune des composantes de l’album. Le choix d’un grand format, un délicat dos toilé, du papier de qualité ou encore une impression soignée, tous ces éléments mettent merveilleusement en lumières les dessins et les planches de cette sympathique balade citadine. Si la forme est impeccable, le fond n’en est pas moins brillant, avec un scénario accessible aux jeunes lecteurs, de l’action et des images particulièrement vivantes. Un conseil donc, découvrez et faites découvrir cette belle série originale et son univers coloré !

En prévision d'une visite de l'exposition présentée au festival international de la BD 2020, "Folklorique enfance, fantastique enfance" qui honore entre autres cette petite héroïne de Luke Pearson, je me devais de faire connaissance avec Hilda, petite fille qui vit au milieu des montagnes et forêts, dans un pays de trolls. Hilda, petite aventurière, est curieuse de tout, elle dessine et elle adore dormir sous sa tente à l'abri des gouttes de pluie qui tambourinent sur la toile. Son univers est d'une grande tendresse et sérénité,que les couleurs douces et harmonieuses contribuent à créer. Du mystère entoure Hilda avec le bonhomme des bois, les trolls de pierre, les géants. Un découpage en grandes cases très ordonnées, un dessin qui va à l'essentiel, dont la grande expressivité d'Hilda, font de ce premier tome une jolie découverte de bande dessinée destinée aux enfants.

Encore un tome de très bonne qualité ce quatrième opus des aventures de la jeune Hilda, petite héroïne intrépide aux cheveux bleus.

Les illustrations sont toujours aussi riches et fourmillent de détails tous aussi mignons les uns que les autres.

Hilda est toujours aussi attachante, un brin espiègle mais mignonne, tout comme Brindille son petit animal de compagnie.

L'univers est quant à lui très riche et le côté fantastique bien dosé avec le réel.

Une série très sympa, à conseiller aux plus jeunes d'entre nous mais pas que...

Contrairement aux précédentes B.D. lues parce que "chipées" à mes petites-filles, celle-ci, j'en avais vu de bonnes critiques et j'ai donc souhaité découvrir cette série.

Pris ce volume au hasard de la bibliothèque ; tome 2 semble-t-il, bien que ça ne figure aucune part.

Et j'ai été surprise de voir qu'il semble plus connu sous le titre "Hilda et le géant de minuit", avec exactement la même couverture.

Le papier est épais et agréable, mais j'ai regretté l'absence de numéros de pages, je trouve ça très agaçant !



Pour ce qui est du contenu, une jolie histoire, une fillette sympathique et réfléchie, attentive aux autres.

Un parallélisme entre sa présence immense et un peu destructrice face aux petits elfes qui peuplent son voisinage, et la présence du géant face à elle.

De bons sentiments, une jolie morale, une fin un peu tristounette.

Mais ... je n'ai pas accrochée, je l'ai lu jusqu'au bout mais me suis un peu ennuyée.



Je devrais peut-être laisser tomber les B.D. j'ai décidément du mal à apprécier celles qui devraient l'être !
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Un nouveau tome d'Hilda que j'ai trouvé une nouvelle fois très réussi. Il y a beaucoup à lire dans ces pages, même si parfois le rythme haletant de l'histoire nous prend et l'on se met à tourner frénétiquement pour lire la suite.

Beaucoup de qualités comme toujours : des pages prises dans leur intégralité, voire avec la planche en regard, des couleurs toujours chiadées, un dessin clair, classe, qui se cartoonise avec le temps - ou alors c'est le Mickey de Tebo qui me fait dire ça ?

Etonné a priori d'apprendre qu'Hilda migrera sur Netflix en 2018, mais finalement pas tant que ça, l'univers fantastique se prêtant bien aux adaptations sur petit écran. De plus, le travail graphique très net de l'auteur plaide pour une transition réussie.



Très bonne série à conseiller dès 7~8 ans.

Hilda est de retour !!! Mais cette fois-ci, sa maman en a assez de ses sorties mystérieuses et de ses mensonges : la voici privée de sortie jusqu'à nouvel ordre ! Seulement voilà, lorsqu'elle ne court pas après les aventures, ce sont les aventures qui viennent à elle... Et il se pourrait bien que sa mère se retrouve embrigadée dans cette nouvelle affaire qui mêle terribles trolls, petits lutins, oiseaux magiques et bien d'autres créatures fabuleuses !



N'attendez plus ! Ouvrez tous les albums (5 parus à ce jour) dont Hilda est l'héroïne car, c'est sûr, vous serez subjugué par la douceur du dessin, la richesse de ses couleurs, la structure du découpage et la maîtrise du mouvement. Quant au scénario : zéro faute ! Petits et grands apprécieront les traits d'humour, l'univers fantastique, l'invitation à l'imaginaire et le petit côté Miyasaki ! Alors, convaincu ?

A tout juste 29 ans, Luke Pearson a déjà derrière lui une expérience solide d’illustrateur auprès de magazines et de journaux aussi prestigieux que le New Yorker, le New York Times et le Guardian, mais aussi d’éditeurs vénérables comme Penguin Books. Sa série Hilda, qui compte déjà quatre tomes au compteur, est un petit bijou.



Mariant avec bonheur les fondamentaux du conte de fée nordique avec la narration décalée du cartoon (Hilda écoute la météo sur une radio en bois, elle et sa mère reçoivent tous les jours la visite d’un petit homme en bois taciturne et pour le moins dépressif, les trolls semblent bien moins dangereux que ne les décrivent les livres et se paument dans la forêt parce qu’ils sont trop grands pour voir leur chemin…), le dessinateur parvient à traiter avec beaucoup de justesse, et un second degré jamais envahissant, des peurs enfantines liées bien souvent à un imaginaire débridé. Servi par un trait tout en rondeur et une mise en couleur chaleureuse, Hilda et le Troll n’a qu’un seul défaut : il se termine trop vite ! Un conseil d'accompagnement musical: http://bobd.over-blog.com/2016/02/contes-d-un-notre-temps-hilda-et-le-troll-vs-le-geant-de-fer.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..

Ce tome de Luke Pearson reste adorablement fantaisiste et nous surprend par l'originalité de l'aventure proposée. Un tome peut en cacher un autre, différent, mais tout aussi divertissant, malin, tendre et drôle.
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Grâce au talent de Luke Pearson, on découvre le coucher du soleil sur une forêt de conifères. On hume l'air froid des fjords. On goûte à la chaleur réconfortante d'une maison en bois, quand dehors il neige. Bref, on est transporté très loin, au Nord, et on a hâte d'y retourner.
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Hilda vit dans un monde onirique où de curieux petits personnages, appelés Nisses, installent leur foyer dans les espaces non utilisés de nos maisons. Ils y sont les bienvenus dans la mesure où ils se font discrets et sont respectueux. Vous ne retrouvez plus une chaussette, un stylo ou un livre ? Ne cherchez plus, ce sont eux qui les ramassent pour les garder !



Hilda souhaite intégrer un groupe de scouts et devra faire ses preuves pour récolter les badges désirés. Alors qu'elle se rend chez les Scouts, Hilda rencontre un Nisse exclu de sa maison. Touchée, elle cherchera à lui venir en aide, en parallèle de son entraînement de scoutisme, et à réparer le terrible malentendu qui a causé cette exclusion. Mais voilà qu'un gigantesque et dangereux chien noir se rapproche dangereusement de la ville...



L'univers d'Hilda est assez amusant puisqu'il pourrait s'agir du notre mais avec quelques discrètes interventions de créatures imaginaires. On se demande alors, au début de l'histoire, s'il s'agit de l'imagination de la petite fille, qui n'en manque pas ! Mais sa rencontre avec les Nisses, intégrés à la population, nous confirme qu'il s'agit bien d'un monde dans lequel la magie existe.



J'ai beaucoup aimé l'univers de cette BD, poétique avec un brin d'humour, ainsi que les différents personnages que l'on rencontre. Le dénouement est un peu rapide mais le tout reste une jolie découverte, sélectionnée pour le festival d'Angoulême.




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Luke Pearson, a créé un univers fantastique et étrange, peuplé de créatures venues du merveilleux. Hilda n’est pas une enfant ordinaire et elle se plaît à vivre dans ce monde. Finalement, on découvre un joli conte, accessible à tous et au graphisme agréable.
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Hilda et sa mère habitent une maison isolée dans un pays imaginaire. Régulièrement des êtres minuscules et invisibles viennent les harceler pour les forcer à déménager.Une nuit l'un d'entre eux prend contact avec Hilda pour tenter d'apaiser la situation.

Voilà un univers très particulier qui ne séduira pas tous les lecteurs. le récit est constitué de deux histoires, les elfes et les géants, deux parties qui ne s'imbriquent pas toujours très bien mais qui forme une jolie fable sur la tolérance.

Si la fin du récit peut sembler paradoxale, pas de cohabitation possible entre les humains et les êtres féeriques, cette série jeunesse renouvelle néanmoins le genre et sait se démarquer par son ton poétique et son humours tout en finesse.


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