Assise sur la chaise de la cuisine, elle contemplait le vide, de cet air triste et absent qu’elle arborait si souvent depuis quelque temps. Je vins m’asseoir devant elle, mais elle ne me vit pas, et je ne pus que constater mon impuissance à lui apporter du réconfort. Je savais pourtant si bien le faire par le passé. Ce temps était révolu, et si j’étais bien forcé de l’admettre, ce n’était pas le cas pour elle. Une lueur d’espoir passait encore parfois dans ses yeux lorsqu’elle regardait par la fenêtre, désireuse d’apercevoir une silhouette familière, ...
Agaçant. Frustrant. La lanière bleue ne bougeait pas d'un pouce. Le livre refusait qu'on lui déboucle sa ceinture.
le chien ne me répondit que par un regard triste et fatigué, dont ceux de son espèce ont le secret
Mais quand les femmes s'aiment entre elles, les hommes se sentent inutiles. Et l'inverse est vrai aussi. Tu es en train de devenir une femme libre, qui ne dépendra d'aucun homme, et qui n'obéira qu'à l'amour. Tu seras enviée, et donc détestée.
ça ne me surprend pas, Maman, lâcha Florian, non sans une certaine apathie, en se tournant vers elle.Quand un élève est maltraité par les autres, c'est lui qui doit changer d'école.
parce qu' une pensée commune évolue beaucoup moins vite qu'une pensée individuelle. Plus une idée est partagée par un grand nombre de personnes, plus elle est difficile à changer.
Je peux même affirmer que tu es purement hétérosexuel. Je m’agite sur toi comme un beau diable depuis un moment, et rien ! Pas la moindre petite érection de politesse, pas une goutte de sueur, pas même un petit tremblement dans la voix, rien de rien ! Tu es d’une frigidité cadavérique !
Je peux même affirmer que tu es purement hétérosexuel. Je m’agite sur toi comme un beau diable depuis un moment, et rien ! Pas la moindre petite érection de politesse, pas une goutte de sueur, pas même un petit tremblement dans la voix, rien de rien ! Tu es d’une frigidité cadavérique !
Je voulus lui apporter mon soutien, la marquer de mon affection en déposant mon odeur sur elle, mais en frottant le coin de ma bouche contre son mollet, je ne parvins qu’à lui passer au travers.
Wiklaa, la lune irisée, le regardait à travers la fenêtre, dont elle bouchait presque la vue, comme si elle s’était approchée pour mieux observer la scène.