Citations de Mapollo 3 (16)
C'est mal de se servir de sa liberté... pour rendre les autres malheureux !
Mimi est grave ! C'est le genre... à vraiment sauter du toit s'il lui prend l'envie de voler !
Je veux te dire qu’à trop persévérer, on en oublie qu’on a une vie à côté et comme en général, ces efforts ne mènent à rien on est voué à s’épuiser et à s’aigrir ! Puisque le génie est un don inné il est impossible de l’acquérir !
Montre-moi que tu peux réussir sans être un prodige ! Je le souhaite car j’adore ta musique.
Chaque duel opposera un membre de chaque équipe sur un même titre !
Je me sens hyper mal. C’est parce que mon souhait et le sien se contredisent.
A l’avenir, il va monter encore et encore sur les mêmes scènes que nous. A force de perdre sans cesse, il comprendra qu’il n’est pas à la hauteur et il lâchera l’affaire.
Être pianiste, c’est donner du plaisir au public même quand ça ne va pas pour toi !
Tu n’aimes jamais à moitié tout en rejetant violemment ce qui déplaît. C’est ta nature ! Énervante mais si chou qu’on a envie de t’aider. Je t’envie ! Ton charme repose sur la puissance extraordinaire de ton génie.
Je pense toujours... Que Mimin ne doit pas employer sa liberté... De la façon qui a blessé Furusu... Mais il n'y a rien de mal... À jouer librement du piano, pour y prendre plaisir !
Je déteeeste le piano !
...
Qu'est... Ce que... Je viens de dire ? Détester le piano ? Moi ?
...
Qu'est... Ce que... Je viens de dire ? Détester le piano ? Moi ?
... À ses yeux...La liberté, c'est sa fée... C'est moi... Et c'est aussi moi qui vait la tuer.
Je me demande comment il fait pour nous faire imaginer de telles choses rien qu’avec des notes !
C’est comme si c’était un film. Ce genre d’interprétation magistrale s’appelle de la « musique à représentation visuelle »
C’est comme si c’était un film. Ce genre d’interprétation magistrale s’appelle de la « musique à représentation visuelle »
En dépit de tout j’adore toujours le piano ! Je n’ai pas le temps de l’étudier en autodidacte. Je n’ai pas le droit d’en jouer à la maison. Pourtant, je ne peux pas m’en détacher. Le ciel me punit, ou quoi ?
Ce sourire n’est qu’une façade. Je ne suis pas en position de pleurer, c’est tout.
Si j’avais été comme mes frères et sœurs. Papa n’aurait pas détesté maman. Nos proches ne me haïraient pas et elle n’aurait pas été séparée de six de ses enfants.
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