François alimentait notre couple en pornographie. Je préférais la littérature érotique, lui satisfaisait ses fantasmes avec des images de femmes, de partouzes, de lesbiennes, et même de paysannes s'accouplant avec des animaux.
C'est le premier amant qui coûte. Profites en ! Tu n'as de compte à rendre à personne. Ton corps est à toi, pas à ton mari. Fais en ce que tu veux et cesse de te sentir coupable.
Quand je repense a ces jeux, qui se sont prolongés deux années de suite,à la frustration, que je ne ressentais pas comme telle alors, je comprends à quel point ils expliquent ma recherche actuelle du plaisir, et mon besoin de rapports qui ne se résument pas à une simple pénétration. Il me le fallait il me le faut encore, des situations scabreuses, des endroits insolites des scénarios, la présence de voyeurs, de plusieurs partenaires...