Car cet homme était à l’évidence une bête féroce. Même son regard rappelait celui des prédateurs nocturnes ; sa mâchoire semblait celle d’un carnivore. Cependant, Marbourg transformait son agressivité en une manipulation verbale aussi subtile que funeste. Chaque mot qui sortait de sa bouche était un piège, chaque geste un coup de griffe. Il encerclait ses victimes avant de leur enfoncer ses crocs dans la gorge…
Troisième partie. Chapitre 25