Marcos Jaén Sánchez

Très intéressant, même s'il faut parfois passer outre une écriture répétitive et parfois un brin mal tournée.

Mais ce n'est pas pour le style qu'on lit ces livres, bien sûr.



Ici on remonte aux origines de la mythologie nordique, création du monde, des humains.



En lisant ce tome 1 emprunté à mon fils, il m'a "sauté à l'esprit" qu'en fait, toutes les mythologies antiques sont relativement similaires. J'avoue que je ne connaissais pas trop cette partie-là, je suis davantage au courant des aventures de Thor et Loki, lol.



Bref, je m'instruis, et je vais continuer avec le tome 2 (les tomes sont peu épais).

Le premier numéro d’une série consacré à la mythologie grecque. Je suis souvent preneur de ces premiers numéros car ils sont souvent à des prix très démocratique et cela permet souvent de faire de belles découvertes. L’histoire du dieu des dieux grecques est ici expliqué dans les détails .C’est à dire depuis l’histoire de ces parents Cronos et Rhéa, et ensuite son combat pour la survie e texte est plaisant et permet de découvrir le champ très large de la mythologie grecque. Il y a aussi des illustrations additionnelles qui permettent de découvrir l’art de la période classique.

Au final une belle petite découverte pour ce premier opus de cette série acquis au prix dérisoire de 2€ seulement.

C’est Jaén Sachez, un auteur espagnol, qui a écrit sa version de l’Odyssée d’Homère. Ce livre fait partie d’une collection axée sur la mythologie. Les auteurs varient, mais c’est généralement Juan Carlos Moreno qui rédige un appendice du mythe dans l’histoire des arts. Pour en avoir une idée, cette collection compte un certain nombre de titres. Il y a par exemple : La fondation de Rome ; Zeus et la conquête de l’Olympe ; La malédiction d’Œdipe ; La tragédie d’Antigone ; Les sept contre Thèbes ; … . Deux journalistes du journal « Le Monde » ont contribués à l’adaptation de la collection pour le marché français.



Pour l’avoir lu, je peux vous dire que l’on retrouve de nombreux passage de l’Odyssée d’Homère, qui est le cœur de l’histoire. L’histoire a été par l’auteur, joliment nappée, enrobée de belle phrases qui peuvent faire le bonheur des lecteurs. Un exemple : « Ulysse s’assit à côté d’elle, mangeant des yeux les aliments parfumés qu’elle avait déposés dans son assiette. Voyant qu’il ne les touchait pas, elle en prit un morceau, elle bu une gorgée à sa coupe, coupa le pain et le gouta aussi. Même ainsi, elle ne pu convaincre son invité qu’elle ne lui voulait aucun mal. […]. L’estomac d’Ulysse protestait en voyant la délectation que lui procurait cette nourriture, si bien qu’il ne put résister si longtemps et se mit à manger. Voici bien longtemps qu’il n’avait pas gouté un plat aussi délicieux, préparé avec autant de soin. Quand il bu le liquide à la fois doux et corsé, à la saveur aussi délicate que profonde, il sentit le courage revenir dans son cœur, la vigueur dans ses membres, et il lui sembla se réveiller d’un mauvais rêve. Jamais, il n’avait gouté à rien de semblable, cette boisson semblait celle des dieux. » C’est ainsi que l’auteur décrit l’accueil que fait la Nymphe Calypso à Ulysse.



Le livre est divisé en six chapitres. Le dernier met en scène l’approche d’Ithaque et dans quelles conditions Ulysse retrouvera les siens après plus de vingt ans, dix à Troie et une dizaine en mer.



La mer se souleva, les vents était violent, le bateau démâta, il était question pour avancer de ramer à contre-courant. Pourquoi tout cela ? Par ce que les dieux s’opposaient à eux. Ils n’avaient pas offert d’offrande aux dieux comme ils le devaient. Les mortels et les dieux contrarient Ulysse et les siens dans leur progression. Heureusement Ulysse est fort, courageux mais surtout rusé.



La progression d’Ulysse et les siens. Ils devaient contourner le Péloponnèse pour arriver à Ithaque, mais des vents contraires les amenaient en Lybie terre des lotaphages, c’est-à-dire des mangeurs de lotos, petites cerises, couleur safran en grappe. Malgré les injonctions d’Ulysse des membres de l’équipage en mangèrent suite à quoi, ils ne savaient plus où ils étaient et qui ils étaient.



Ulysse et ses bateaux reprirent la direction du nord et accostait à l’ouest de la Sicile. Là, Ulysse perdra encore une partie de ses marins, car le géant Cyclope les croquait pour assouvir sa faim. De retour à sa caverne, le Cyclope ferma l’entrée de celle-ci par un lourd rocher. C’est grâce à une ruse qu’Ulysse et les hommes qui n’ont pas fait le festin du Cyclope purent sortir de la caverne.



Au nord de la Sicile, le roi Eole, sur son île flottante accueilli Ulysse et les siens. Au bout d’un mois, Ulysse annonça à Eole son désir de partir et lui demanda de favoriser son retour. Ainsi le roi, remis une outre à Ulysse, spécifiant : « Fait-en un bon usage car les vents qu’elle contient sont très violent. Tu ne l’utiliseras qu’en cas de nécessité. Voila Ulysse et ses marins voguant vers l’étape suivante qu’il s’était fixé. Impatient d’arriver à bon port, Ulysse ne voulut confier le pilotage du navire à personne. Neuf jours durant, 24 heures sur 24, il tenait les cordages qui actionnait les voiles. Lorsqu’il vit l’île de Céphalonie, derrière elle, Ithaque n’était plus qu’à un jet de Pierre. Il accepta de céder les commandes du navire. Il voulut prendre du repos. A peine c’était-il endormi que ses hommes se lancèrent dans une violente dispute. Ils ouvrirent l’outre qui vomit un ouragan violent qui les propulsa dans les airs.



L’étape suivante était leur séjour chez la magicienne Circée qui transforma des marins d’Ulysse en cochons.



Ce n’est pas tout. Il se passa encore une foule d’évènements mauvais ; des entraves à leur progression et des situations d’enchantements sur des îles, des rencontres et des accueils de jolie jeunes-femmes. Je n’en dirais pas plus. Je laisse aux lecteurs le soin de découvrir la suite.



Plusieurs choses m’ont plu dans ce livre dont :

- Un encadré contenant les personnages regroupés suivant qu’ils sont Ithaquiens, dieux, mortels, ou ennemis.

- Une carte où est fléché la progression des navires d’Ulysse

- De beaux dessins qui permettent de fixer en son esprit des étapes du voyage.



Ce livre, agréablement présenté, m’a permis de faire la connaissance de certaines divinités grecques, du monde d’Hadès et du devin Tirésias. Il ne faut pas perdre courage, il y a encore beaucoup à apprendre sur la mythologie grecque.

J'ai trouvé cet opus très inintéressant, très barbant voire consternant, sauf le dernier chapitre "le mythe à travers l'histoire". Sur ce dernier sujet, il faut quand même plutôt conseiller Paul Veyne (Les Grecs ont-ils cru à leurs mythes ?).

Autant dire que même si j'étais très nigaud, je n'achèterais pas à prix d'or les prochains numéros !!!

Un livre qui raconte l'origine d'Odin et ses premiers actes et la révélation du Ragnarok. J'avais bien aimé le premier tome sur Thor et celui ci suit le même chemin. N'étant pas un immense connaisseur de la mythologie nordique, je trouve ce genre de format très intéressant et agréable à lire. Comme toujours le petit dossier à la fin est tout aussi intéressant, nous expliquant les origines des différents dieux.

Un bon livre pour aborder la mythologie nordique.

J'adore lire les aventures d'Ulysse. Un personnage courageux, malin qui n'a peur de rien ou presque. Le passage que j'avais hâte de lire, c'était les sirènes, moment mythique, je trouve. Il faudrait que je trouve une BD, si elle existe, bien illustrée, ça pourrait me plaire.

Ce livre, deuxième de la série sur la mythologie nordique et ses légendes lancé par les éditioons RBA, commence avec un thème cher à Tolkien ; Yggdrasil : l'arbre qui abrite toute fome de vie... Et sans aller jusqu'à lire sa création du monde, il suffit de lire le seigneur des Anneaux pour savoir combien les arbres des forêts où vivent les Elfes ainsi que les arbres gardiens, défenseurs de la nature sont si cher à Tolkien... il n'y a pas de mystère la dessous... simplement l'influence des légendes nordiques et la campagne anglaise qu'il a découvert en débarquand d'Afrique du Sud avec sa mère et son jeune frère... Et oui... aimé Tolkien, c'est forcément aimer un peu ses sources d'inspiration, qu'il a si laborieusement étudier... Et si on n'aime pas la poésie, cette version des Edda en prose, peut être une piste... très pédagogique et très accessible...

ALors oui, vous aurrrez besoin de la représentation donné avec le premier volume, même si la chronologie donné en supément avec ce deuxième tome, sans pub derrière le poster, juste le fond de parchemin viellit identique mais vierge, que moi personnellement, j'aurai inversé pour un détail de réalisme supplémentare de tâches équivalentes qui conincident à travers le papier... mais ce n'est qu'un détail, la présentation est impécable, et nous transporte déjà dans l'oeuvre avant même d'ouvrir le livre, simulant par son impression le cuir en relief teinté de vert réhaussé par du jaune simulant les dorures... et toujours de magnifiques ilustrations décrites rapidement à la fin récit de la légende venu du fond des âges...

Mais le poster n'est pas la seule aide pour comprendre, puisqu'avant le récit vous avez de très cours arbres généalogiques ainsi qu'après un descriptif des principaux personnages.... et après le récit, une quizaine de page, l'essenntiel de se qu'il y a à savoir sur le pantéon des dieux nordiques... Bref, c'est très bien fait...

Quand à l'histoire elle même, elle ravira les passionnées de récits de création du monde... là encore, il y a s^rement un parrallèle à faire avec Tolkien... mais cela necessite de lire au moins le SIlmarillon... donc d'être déjà un lecteur avancé de Tolkien...

Et si l'on présente l'arbre des 9 mondes en détail au début, c''est parce que Odin observe les différents mondes grâce à ses deux corbeaux... qui pouurtant n''ont pas accès à tout... alors il va voir les moires... (certainement ajout tardif dans la légende, du au christianisme déjà fortement influencé par les Grecques via les Romains;, Tolkien voulant une mythologie plus épurée de ces symboles venues après pour découvrir l'origine de ses légendes.... hélas objectif si difficile à attendire...)...

Donc Odin va faire appel à de l'aide lui, un dieu.... qui est cependant mal reçu, ce jeune dieu ne semble pas avoir fait ses preuves, de l'avis des moires... Alors commence un récit plus ancien, la création du monde issu de la glace et du feux... qui rappelleont les sources chaudes d'Islande émergeant de la glace.... et le premier géant, première créature venant au monde...

Puis comment pendant la première assemblée des géants, bien plus tard, nait l'aîné de la 4 e génération des DIeux : Odin... Assemblée des géants qui marquent déjà un désacord... devant le père d'Odin... Car entre les géants et les géants des glaces, il y a discordes sur leurs origines et ce qui doit être fait d'une vache géante considérée omme leur origine pour les uns, comme du simple bétail pour les autres... et si l'on nous décrit entre temps l'éducation d'un Odin omniscient mais n'ayant pas de prise sur les choses... très vite, il devra affroter le premier géant des glaces pour prouver sa valeur... alors tout est là... est ce que ce premier combat aidera Odin à faire valoir que sa demande d'aide aux Moires, pour éviter que la partie du monde hors de son regard ne tombe dans le chaos... esst vraiment mérrité... Est-il le dieu qui a mériter un tel pouvoir... le contrôle complet du monde ou est-il perverti... je vous laisse découvrir la suite... Passionnant.... Et contrairement à la mythologie grecque, rien n'est sous le contrôle totale des dieux, ils doivent faire appels aux autres, et ne pas céder à de la colère divine sans fondement ou il devront en répondre... donc pas besoin d'avoir recourt à la philosophie grecque pour rendre cela plus perrtinent, moins dieux qui jouent à un jeux d'echec avec les pions que sont les humains (lire le banquet de Paton pour voir comment les phylosophes grecs veulent sortir de cette impasse, et nous font mieux aimer la mythologie greque...) . Mais il ne fauddrait pas croire que les Dieux de la mythologie nordique sont déourvu pour autant de ruse... parce qu'il s'agit ici du conte qui parle de la grande ruse d'Odin... qui lui vaudra la haine des géants... mais lui permettra de créer les humains.... en punissant l'orgueil des géants qui ne s'entendaient même pas entre eux... voulant soit sauver la première vache, soeur jumelle du premier géant des glaces, soit l'exploiter à des fins certainement peut avouable... Odin se joue d'eux....

A lire dès que l'on s'interressent à la littérature nordique, y compris dès l'adolescence....

Vous pouvez retrouvez ce livre en livre audio sur la chaine youtube : le plaisie de lire

et avec le lien si dessous


Lien : https://www.youtube.com/watc..

Odin et les neuf Mondes est le deuxième livre de la collection sur la mythologie nordique que je lis et j’ai beaucoup aimé. Je l’ai trouvé très intéressant.



J’ai trouvé que ce livre était vraiment très intéressant encore plus que Loki et la Prophétie du Ragnarök, car ici on s’intéresse vraiment aux origines de la mythologie nordique. Le livre retrace tout de l’origine jusqu’à la fin de la création des neuf mondes. On nous explique comment Odin est devenu “le Père de Tous'' et comment les différentes espèces : Géant, Vanes, Ases, Nain, Humain… on finit par vivre dans neuf mondes différents, séparés les uns des autres.



Dans le dossier de fin, sur le monde viking, on nous parle de comment le culte des différents dieux était répartie géographiquement, mais aussi de comment la mythologie nordique était un reflet de la société viking.



J’avais toujours eu du mal à comprendre comment on pouvait imaginer des Dieux mortels, car pour moi c’est contraire au principe d’un Dieu, mais ce dossier m’a aidée à comprendre comment les Vikings le concevaient et ça m’a bien éclairée. Alors, encore une fois c’était très intéressant.

Encore une fois, un volume très intéressant.

Le sujet est la naissance de la dynastie Yamato qui règne sur le Japon depuis 2680 ans.

Les Yamato sont les descendants de la déesse Amaterasu. (Dont nous connaissons l'histoire grâce aux précédents tomes.)

Les illustrations sont toujours aussi belles.

Quatrième tome de la collection "Mythes et légendes du Japon".



Ce tome-ci est centré sur la déesse solaire Amaterasu.

Son frère Susanoo lui cause bien des soucis.

Une belle leçon nous est donnée à la fin de l'histoire : nous sommes notre propre soleil, nous devons apprendre à nous aimer et à croire en nous.



Les illustrations sont magnifiques et la pastille à la fin du tome est très intéressante.