Citations de Margherita Gabbiani (124)
Beaucoup d'hommes disent vouloir une femme qui prend les devants et qui exprime ses envies au lit, mais dans la réalité, quand ils en rencontrent une, ils ne savent pas comment gérer.
Mes doigts se sont entrelacés aux siens comme s’ils en étaient le prolongement parfait. Pour la première fois de ma vie, je me sentais enfin entière. Notre amour était le ciment qui comblait chacune de nos brèches, j’en étais certaine à présent. Tant que nous serions ensemble, tout irait bien.
Petite brune faussement intello ? Est ce qu’il parle de moi, là ? Et ça veut dire quoi au juste « faussement intello » ?
— [...] Vous êtes condamnée à ne jamais faire votre deuil, ne jamais trouver la paix... Finalement, en mandissant Lilith, vous vous êtes maudite vous-même.
Ainsi va le monde aujourd'hui on pardonnera à un måle ses défauts physiques s'il les compense par son intelligence, son argent, ou son pouvoir. Mais aussi belle, intelligente, puissante soit-elle, on ne pardonnera pas à une femme son IMC s'il dépasse la norme socialement acceptable. On préférera dire d'elle qu'elle s'est laissée alter, qu'elle s'est negligée, qu'elle ne fait pas d'efforts
Evie, l’amour ne nous rend pas vulnérables. Au contraire. Il nous rend plus forts que tout le reste.
Nous sommes des êtres imparfaits de nature et notre beauté réside dans notre constante recherche d’un futur meilleur.
Dans la vraie vie, il n’y a pas de super-héros ou de méchants. Il n’y a que des personnes comme nous, qui tentent tant bien que mal de s’en sortir avec les cartes qu’on leur a distribué.
Tu te souviens, quand tu m’as avoué que tu n’étais pas parfaite ? Je n’ai jamais voulu que tu le sois. La perfection, ça ne m’intéresse pas, ça n’existe pas d’ailleurs. Ce n’est que notre perception du monde qui nous dicte ce qui est bien ou pas.
Je ne veux pas livrer mon âme cabossée à quelqu’un d’autre, si je n’ai pas la certitude absolue que cette personne en prendra soin.
Avec le temps, j’ai l’impression que ma mémoire ressemble à une pièce de monnaie : pour chaque souvenir, je peux choisir quelle face je préfère conserver.
Laisse-moi écouter tes silences, donne-moi accès à la clé de ton âme.
Ainsi va le monde aujourd’hui : on pardonnera à un mâle ses défauts physiques s’il les compense par son intelligence, son argent, ou son pouvoir. Mais aussi belle, intelligente, puissante soit-elle, on ne pardonnera pas à une femme son IMC s’il dépasse la norme socialement acceptable. On préférera dire d’elle qu’elle s’est laissée aller, qu’elle s’est négligée, qu’elle ne fait pas d’efforts.
Toute cette histoire avec Adam me laisse perplexe. Il a été comme une sucrerie longtemps convoitée. Ce genre de bonbon trop sucré qui, une fois dégusté, laisse un goût écœurant en bouche.
Avec Gabriel, c’est autre chose.
Je suis là, prête à tromper mon fiancé, à foutre en l’air mon avenir et cinq ans de relation, tout ça pour… quoi? Un frisson d’un soir, une passion éphémère?
C’est le cliché même du bad boy tombeur qui aime avoir toutes les filles à ses pieds.
Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse.
Je n’ai qu’une certitude : ce que j’ai aujourd’hui ne me suffit pas. Ne me suffit pas? Je ne saurais le dire. Mon âme tourmentée et coupable est à la recherche de plus, bien plus ce que Jean – ou même Adam – peut m’offrir.
Je veux qu’elle en sache plus sur moi, comme je veux connaître chaque chose d’elle. Chaque parcelle de son corps, chaque nuance de sa personnalité. Je veux être celui qui lira en elle comme dans un livre ouvert.
Je sais qu’une relation, ça évolue avec le temps. Ça ne peut pas toujours être aussi intense qu’au début, mais ça me manque, tu sais ? Cette impression d’être tellement désirable aux yeux de quelqu’un.