Ce moment de répit fut de courte durée. Une étreinte me serra le ventre, les jambes puis pour finir, le corps entier. J’essayai de ne pas lâcher la main de Luc. Une odeur âcre me monta aux narines. J’eus un drôle de ressenti, comme quand on monte un escalier dans le noir et que l’on pense qu’il reste une marche. Notre pied avance dans le vide et une sensation de chute nous saisit. Ce voyage me donna cette même impression mais celle-ci me sembla interminable. Je finis par perdre connaissance.
Je finis par lâcher Luc…