Il y a pourtant ce corps dont on ne fait pas grand-chose quand on est écrivain et qui pourtant vous rappelle à l'ordre, se plaint, vous envoie ses signaux, crie bien fort qu'il voudrait qu'on s'occupe de lui, de l'intérieur mais aussi de l'extérieur, de son enveloppe. C'est encombrant, mais c'est comme ça.