Citations de Mark Frost (56)
(...) il est plus facile d'éviter le premier pas sur le chemin de la ruine que de résister aux milliers d'autres qui suivent inéluctablement.
Un complot exige le secret; or la nature humaine étant ce qu'elle est, plus de gens s'en mêlent, moins le secret est préservé.
Alors même que nous nous congratulons de notre raffinement, la misère et la souffrance accablent les hommes à un jet de pierre de ces fenêtres. Comment ne pas s'interroger ? Nos réussites comptent-elles pour rien si tant d'hommes ne peuvent encore en bénéficier ? Quelle valeur accorder à notre passage dans cette vie ? Quel héritage - si héritage il y a - notre époque lèguera-t-elle aux générations futures ?
Il émanait de cette mélopée, impossible à transcrire sur une portée à l'aide des signes conventionnels de la musique classique, une puissante expressive traduisant d'indicible souffrances, exposant à nu la blessure d'une chair déchiquetée et meurtrie.
" - N'oublies jamais de te rappeler, dit-elle d'une voix proche du murmure, ce qui te rend heureux. Et rappelle-toi toujours d'oublier... ce qui te rend triste."
Le génie du mal rôde dans ce monde et j'avais vécu sous son ombre.
Elle ne pouvait voir le visage du garçon.
Celui-ci courait comme un dératé sur un chemin de montagne, poursuivi par des ombres noires ténues. Leur intention était claire. Ce garçon se trouvait en grand danger. Il avait besoin d'aide.
Elle ouvrit les yeux.
Les rideaux claqués contre la fenêtre obscure. Un air glacial entrait par une fissure du châssis. Elle était trempée de sueur, son cœur cognait fort dans sa poitrine.
Un simple rêve ? Non. Elle ignorait qui était ce garçon. Ce qu'elle savait, en revanche, c'est qu'il existait bel et bien et qu'il courait droit vers elle.
(...) il vaut mieux passer pour un imbécile en se taisant que de dissiper le doute en ouvrant la bouche (...)
Mais que sont nos vies, en réalité, sinon des contes que nous nous disons à nous même afin de chercher un sens à la difficulté d'être?
-Votre fils a-t-il franchit la ligne ?
La jeune femme fit signe d'incompréhension,
-Je ne sais pas.....Nous ne sommes pas sur.....Un sanglot l'interrompit.
Avant de se replonger dans les élucubrations d'Elena Blavatsky, le docteur Doyle nota mentalement de nettoyer et recharger son revolver.
Règle n° 25 : Ce qu'on te dit de croire n'a aucune importance. Ce qui compte, c'est ce que tu choisis de croire. Ce n'est pas l'encre ni le papier qui comptent, mais la main qui tien le stylo.
Avant de se replonger dans les élucubrations d'Elena Blavatsky, le docteur Doyle nota mentalement de nettoyer et recharger son revolver.
En effet, Jack. Quand je vois autour de moi cette salle luxueuse, cette foule élégante, quand le pense aux mets délicats dont nous venons de nous délecter, je suis tenté de me dire : voilà ce que la civilisation nous offre de meilleur, la fine fleur de ce que produisent l'éducation, le progrès des sciences et l'évolution sociale. Et pourtant, ces plaisirs sont éphémères, illusoires. L'échantillon d'humanité que nous avons sous les yeux ne représente qu'une infime proportion de la population de la terre. Alors même que nous nous congratulons de notre raffinement, la misère et la souffrance accablent les hommes à un jet de pierre de ces fenêtres. Comment ne pas s'interroger ? Nos réussites comptent-elles pour rien si tant d'hommes ne peuvent encore en bénéficier ? Quelle valeur accorder à notre passage dans cette vie ? Quel héritage - si héritage il y a - notre époque lèguera-t-elle aux générations futures ?
Tout en nous "émerveillant" sur notre existence, nous éprouvons également la peur que la vie ne soit qu'une plaisanterie dénuée de sens, un exercice morbide et extravagant, un mensonge de tristesse et de souffrance illuminé par quelques flashes et rendu supportable seulement par des moments de camaraderie et de joie éphémère. Au cours de notre vie, tandis que nous luttons pour accepter et comprendre les raisons pour lesquelles nous sommes condamnés à cet étrange destin, le temps n'est plus notre allié. Contrairement à la supposition inconsciente de notre jeunesse : il devient notre bourreau. Il nous fait parfois l'effet d'une blague cruelle faite à nos dépens et sans notre consentement.
— Quelle est la cause d’une telle altération ?
— Une explosion ectoplasmique, dit-elle sans hésiter. L’irruption d’une entité venue de l’autre côté. Petrovitch m’avait appelée pour le constater. Très inquiétant. J’avais d’abord cru qu’ils visaient Petrovitch, indirectement en tout cas. Vous avez eu de la chance de n’être pas chez vous à ce moment-là, docteur. Continuez, je vous prie.
— Que pouvez-vous me dire de la Fraternité de l’ombre, madame Blavatsky ?
Je suis trop sensé pour trembler devant l’hypothétique présence de monstres venus d’un improbable au-delà démoniaque…
Règle n° 65 : pour déterminer qui est le plus gros débile dans un groupe, repère qui est le premier à se vanter de son intelligence.
Règle n°17: Commence chaque journée en te disant que c'est bon d'être en vie, si ça ne marche pas dis le à voix haute.
Règle n°18: Si la règle n°17 ne fonctionne pas pense à tout ce qu'il y a de positif dans ta vie.
En effet, Jack. Quand je vois autour de moi cette salle luxueuse, cette foule élégante, quand le pense aux mets délicats dont nous venons de nous délecter, je suis tenté de me dire : voilà ce que la civilisation nous offre de meilleur, la fine fleur de ce que produisent l'éducation, le progrès des sciences et l'évolution sociale. Et pourtant, ces plaisirs sont éphémères, illusoires. L'échantillon d'humanité que nous avons sous les yeux ne représente qu'une infime proportion de la population de la terre. Alors même que nous nous congratulons de notre raffinement, la misère et la souffrance accablent les hommes à un jet de pierre de ces fenêtres. Comment ne pas s'interroger ? Nos réussites comptent-elles pour rien si tant d'hommes ne peuvent encore en bénéficier ? Quelle valeur accorder à notre passage dans cette vie ? Quel héritage - si héritage il y a - notre époque lèguera-t-elle aux générations futures ?