Martin Michaud

Écriture bof mais suspense aberrant mais qui vaut le coup.

Premier polar quebecquois,interessant mais bon pas extraordinaire non plus. On passe un bon moment,j'attends de voir le second prévu pour mai

Choisi par hasard en lisant le quatrième de couverture, qui m'a accroché. Et je n'ai pas regretté. Le suspense est bien mené et le style efficace, pas de temps mort.

Un reproche pourtant!

Habituellement quand un livre me passionne, je suis toute entière dedans, je vis l'histoire par procuration. Là je suis restée à l'extérieur, je n'avais pas assez d'éléments pour m'identifier à l'héroïne,

Et dans ce genre thriller, c'est quand même le principal intérêt de nous permettre de nous projeter dans un univers qui sort de l'ordinaire, sinon à quoi bon!

Il y a deux ans j'avais lu La Chorale du Diable que j'avais trouvé médiocre car il mettait trop de sexe. Cette fois-ci, le sexe est quasi inexistant sur les 166 pages que j'ai lu. Je ne sais pas si c'est le manque de sommeil que ce soit le soir après le travail ou le matin mais ne pas réussit à rentrer dans cette histoire. Le suspense est un peu trop tirer par les cheveux et tout les protagonistes que ce soit Leah, son mari le sénateur Patrick Adams et les autres ne sont pas crédible. Cela sent un mauvais film de série B joué V en après-midi. Surtout avec un prologue qui me semblait sortir du paranormal: "Abandonnant son sac à dos et sa veste sur la rive, il alliait se jeter à l'eau lorsqu'il vit deux silhouettes nimbée de vapeur émerger de la rivière"...

Du grand Martin Michaud

Un cadre familier, de l'action à volonté, un suspense de tous les instants et un rythme trépidant de thriller à l'américaine.
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Digne des meilleures séries américaines, avec sa dose de magouilles politicardes et de passions amoureuses, ce thriller se lit d'une traite. Vive le Québec livres !


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Un récit court... mais efficace!

Personnellement, j'ai adoré lire Michaud dans un autre style littéraire que ce à quoi on l'y connait. Les personnages sont attachants et je me suis surprise à avoir du mal à décrocher au début (j'avais donc hâte de savoir pourquoi Elias était autant sur ses gardes).

Cet auteur a vraiment une plume que j'adore!

Un livre dévoré en à peine une semaine. Sachant que je suis en pleine session d'examen, ce n'était peut-être pas le bon moment pour commencer la lecture d'un roman aussi enivrant. Difficile de se détacher de ce polar qui nous tien en haleine d'un bout à l'autre des 392 pages. Un thriller vibrant en plein cœur de la province du Québec. Chaque fois qu'un nouveau personnage fait son apparition, on n'arrive pas à s'imaginer quel sombre dessein pourrait lui arriver ou qui il représente réellement dans l'histoire. Qui pourrait deviner d'avance qui sont les victimes de ce tueur ? Un tueur psychopathe et pourtant .. Les personnages autres sont attachants. Je pense à Laurent, à Miles, à Victor, à Simone, à Mathilde, à Nadja ... À tous les personnages qui ont réussi à faire de ce livre un roman à lire et à re-lire. Mais surtout, je lève mon chapeau à monsieur Martin Michaud qui s'est permit de rêver grand et d'aller au bout de son rêve d'écrire un roman qui est assez complexe au premier abord. Il ne faut pas avoir peur de ne pas comprendre ce qui se passe, car c'est au fils des pages que l'on comprends la véritable définition des mots: vivre et croire.

Crimes à la librairie est une anthologie thématique qui regroupe 16 nouvelles d'auteurs de polars québécois qui ont transformé ces paisibles lieux de culture que sont les librairies en autant de scènes de crimes.
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Complètement sous le charme...comme à chaque fois! Martin Michaud est un auteur fantastique qui par sa plume, parvient à me garder en haleine du début à la fin. J'avais peur en commençant ce livre car son fidèle agent Lessard, je le savais, n'allait pas fait parti de l'intrigue. Mais combien j'ai pu être naïve de croire, ne serait-ce qu'une seconde que mon appréciation en serait affectée. Cette histoire m'a jeté par terre... Martin, je te l'ai déjà dit, tu en mon numéro 1!!! À lire les amis!!!!!!

Pour un auteur québécois, je le vois en calibre international. Il est franchement bon dans le genre policier.
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Sachez-le, on vient de couronner un nouveau maître du polar québécois. Effectivement Martin Michaud fait un tabac à chaque rentrée et son tout dernier ne fait pas pâle figure face à la critique dithyrembique de ses deux premiers romans. Encore plus sur Regardslittéraires.TV!
Lien : http://regardslitteraires.tv..

Bio de l’auteur



Martin Michaud a quarante-deux ans et habite à Montréal. Ses deux premiers romans, Il ne faut pas parler dans l’ascenseur et La chorale du diable, ont obtenu un succès littéraire fulgurant et lui ont valu d’être reconnu comme l’un des meilleurs écrivains de romans policiers Québécois. Il revient en force avec Je me souviens, la troisième enquête du personnage qu’il a popularisé, Victor Lessard.



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Extrait :



- Écoutez, je n’ai pas été un de ses médecins traitants… Mais, pour en avoir déjà parlé avec des collègues, si ma mémoire est bonne, Laporte, c’était une de ses lubies. Lortie prétendait avoir participé à l’opération. Ce qui est faux, évidemment : les felquistes impliqués, on les connaît tous depuis longtemps. Vous voyez, ça, c’est un bon exemple de délire mégalomaniaque : une surestimation de soi qui n’est pas conforme à la réalité. Les inscriptions que vous avez vues sur les cartons sont donc probablement le fruit de ses délires.



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Mon avis : Première partie



Martin Michaud a su me charmer avec son premier polar : IL ne faut pas parler dans l’ascenseur, par contre, je n’ai pas réussi à terminé son second : La chorale du diable, peut-être si je le relisais aujourd’hui que se serait différent, qui sait ?



Celui dont il est question aujourd’hui, j’ai adoré.



Je me souviens est une troisième enquête de Victor Lessard, cet enquêteur formidable.



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Extrait :



Le sergent-détective tourna l’écran dans leur direction. Sur le site de la faculté de psychiatrie de l’Université McGill, il avait accédé à une page consacré aux recherches menées par Judith Harper. Là, parmi la liste de ses publications, deux titres avaient attiré son attention : …



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Mon avis : Deuxième partie



L’histoire de ce polar est super. Nous retrouvons encore une fois Victor Lessard sur cette enquête policière avec ça comparse Jacinthe Taillon, surnommé affectueusement “La grosse Taillon”.



Une histoire relativement sanglante puisque deux des principaux meurtres de l’enquête est fait avec une arme du Moyen Âge transperçant le cou des victimes.



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Extrait :



Alors qu’il voguait encore de torpeur en torpeur, on avait dessanglé Nathan Lawson du lit pour lui fixer dans le cou un collier muni d’une tige aux pointes acérées qui, pénétrant la chair de son thorax et de sa gorge, sous le menton, lui maintenait la tête vers l’arrière à un angle de quarante-cinq degrés, rendant sa déglutition pénible et l’empêchant de respirer normalement.



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Mon avis : Dernière partie



Les indices sont placer aux bons endroits et de façon à se que l’ont soupçonne les mauvaises personnes tout au long du roman.



Nous voulons connaitre la suite du polar lors de la lecture tout en aillant pas le gout de le terminé.



Nous réussissons même à s’attacher la personne qui fait les meurtres, faut le faire de la part de l’auteur de réussir à rendre cette personne attachante.



Je n’ai pas trouver de longueur du tout en le lisant.



À tout ceux qui n’aiment pas les policiers, vous ne pourrez pas ne pas aimer Lessard, Taillon, le Gnome, Delaney et Le Kid.



Vous trouvez que je vous en dis pas assez ? C’est de valeur, mais c’est tout se que vous aurez, vous en savez déjà trop, et Lessard pourrait devoir enquêter sur moi si j’en divulgue trop, alors…