Matthew J. Kirby

Ce livre m'a complètement embarqué du début à la fin. Peu de temps morts et de l'action a juste dose. Les personnages sont intriguants et tourmentés pour certains. L'effet de groupe dope l'histoire au bon moment et le mélange de récit historique / fantastique fonctionne super bien. Je ne connaissais Assassin's Creed que de nom car je suis pas trop jeux violents mais j'ai apprécié découvrir cet univers à travers la lecture, de plus c'est un livre destiné a un public ado donc la violence y est très largement mesurée. Bref une belle découverte en ce qui me concerne.

oui avec l idée qu on a du jeu vidéo je me pose la question desavoir qu en til de l image que le livre nous inspirera

Extrait :

Dernier tome de la trilogie Last Descendants, la chute des dieux vient conclure l’histoire de Owen et les autres. Ils se retrouvent cette fois-ci chez les vikings, et la course pour le dernier morceau du trident continue… Comme vous pouvez le deviner dans le synopsis, c’est Isaiah qui finira par avoir tous les morceaux, mais pas pour longtemps. Car, pour la seconde fois, templiers et assassins vont peut-être devoir œuvrer main dans la main…



Un peu comme avec Desmond, les jeunes se retrouveront dans un espace particulier, lié au phénomène d’ascendance. C’est dans les divers lieux de cet espace qu’ils vont avoir des défis à relever, afin notamment, de devenir insensible aux divers effets du trident. Un avantage certains, et surtout, nécessaire pour arriver à vaincre Isaiah, qui est désormais capable de manipuler des groupes entiers facilement. Ils également les seuls à pouvoir obtenir cet effet, et donc, possiblement à pouvoir l’arrêter (et oui, c’est encore aux gosses de se taper le sale boulot).



[...]



En bref, ce dernier tome conclu l’intrigue avec une nouvelle perspective autre que la dualité habituelle. Malgré tout, certaines choses auraient dû être un peu mieux travaillés.
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livre génial rien a rajouter

Ce roman est à destination d'un public "young adult" mais n'en demeure pas moins intéressant. Il est cohérent avec l'univers d'Assassin's Creed, le jeu vidéo.

Nous découvrons de nouveaux personnages au travers d'une intrigue originale. Un professeur d’informatique participe à une expérience avec ses lycéens. Ils sont transportés à l’époque de la guerre de Sécession où ils se retrouvent avec la Confrérie des Assassins et de l’Ordre des Templiers.

Le premier tome de la trilogie Assassin’s Creed, Last Descendent, est librement inspiré du jeu vidéo. On retrouve l’univers du jeu avec des reliques issues de civilisations anciennes qui ont un pouvoir considérable (fragments d’Eden) et le combat entre Assassins et Templiers. Mais les personnages, avec des origines différentes, sont inédits.

Owen souhaite explorer le passé grâce à Animus, une machine permettant d’accéder à la mémoire des ancêtres, pour découvrir la vérité sur son père mort en prison après avoir été accusé d’avoir tué le gardien d’une banque qu’il aurait attaqué. L’auteur, qui a fait des études de psychologie et d’histoire, nous plonge dans les émeutes de 1863 à New York. C’est un évènement méconnu qui a eu lieu pendant la guerre de Sécession et qui pose des questions toujours d’actualité : le contrôle du pays par les plus riches, les tensions raciales.

Ce roman aborde également le thème de notre lien avec le passé et du libre arbitre.

Pas besoin de connaître le jeu vidéo pour lire ce livre.

Les six descendants ont été séparés dans ce second tome de Last Descendants : La tombe du Khan. Owen et Javier se cachent avec un Assassin, tandis que les quatre autres sont aux mains d’Abstergo. Natalya est d’ailleurs proche de la découverte d’un nouveau fragment d’Eden, mais les adolescents savent-ils vraiment à quel camp se vouer ?



Comme je l’avais supposé dans ma précédente critique, ce tome est un peu plus prenant que le premier, qui posait essentiellement les bases de l’univers Assassin’s Creed (autrement dit, pas la partie la plus passionnante quand on connaît déjà la franchise).



Ce qui n’empêche pas ce roman de souffrir lui aussi de quelques longueurs. Beaucoup de simulations sont faites, et pas forcément les plus pertinentes. Certes, celle de Grace et de son ancêtre Masireh aura par la suite un impact sur sa relation avec son cadet, mais leurs liens fraternels n’avaient pas besoin de cela pour être développés, selon moi.



Je disais également, dans ma chronique initiale, que le trop grand nombre de protagonistes rendait l’attachement difficile, et… À ce niveau, je suis toujours partagée. Ils se distinguent de plus en plus les uns des autres, dévoilent une personnalité de plus en plus marquée, mais ce n’est pas suffisant, il manque toujours le petit quelque chose qui me permettra de les apprécier sincèrement.



Et en même temps, il n’y a aucun personnage détestable (enfin, sauf un). Quoique je continue à prendre ouvertement partie pour le camp des Assassins, le récit est tout sauf manichéen. Même l’attitude de Sean, qui a pourtant eu tendance à m’agacer, est parfaitement compréhensible. Sans doute, à sa place, aurions-nous tous agi de manière identique.



Il n’y a qu’Owen à qui, l’espace de quelques chapitres, j’aurais volontiers donné une ou deux claques pour l’inciter à réfléchir et se poser les bonnes questions. Quant à Victoria, elle n’a eu de cesse de m’intriguer tout du long, et j’ai hâte de la voir mise plus en lumière dans le troisième tome.



Les dernières pages promettent un final palpitant, et malgré les petits reproches que j’ai pu faire ci-dessus (auxquels j’ajouterai une certaine (trop) grosse coïncidence dans les plans des différentes factions), j’aime beaucoup cette saga. Elle est globalement bien rythmée, grâce à de l’action et un suspens bien dosés, je trouve les personnages intéressants à défaut de les prendre en affection, et surtout, l’univers d’Assassin’s Creed est exploité à la perfection (quel plaisir de retrouver Rebecca Crane !)



Une lecture que je recommande chaudement à tous les fans de la franchise, et même à ceux qui ne la connaissent pas, car indépendamment de son origine, c’est un récit d’aventure jeunesse très sympathique !
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Last Descendants est une trilogie jeunesse dérivée de la célèbre franchise de jeux vidéo Assassin’s Creed. Dans ce premier tome, Owen, bien décidé à faire la lumière sur le crime qui a conduit son père en prison, où il est décédé, sollicite l’aide de Monroe, un informaticien. Celui-ci découvre qu’Owen et son meilleur ami Javier descendent d’une lignée d’Assassins et/ou de Templiers, à l’instar de quatre autres adolescents.



Après le jeu, les novellisations des jeux et le film, c’est avec plaisir que je me suis plongée dans cette autre facette de la franchise, et j’en ressors satisfaite. Quoique sans grande surprise ni originalité, ce roman fait son travail.



Il sera parfait pour ceux qui veulent découvrir l’univers, notamment les plus jeunes, car moins chronophage que les jeux et moins rébarbatif que les novellisations qui calquent trop leur mécanique répétitive, ce qui n’est pas trop dérangeant quand on joue, mais qui le devient quand on lit…



Néanmoins, ceux qui, comme moi, sont déjà familiers de la franchise trouveront peut-être ce tome introductif un peu longuet, puisque les protagonistes y découvrent les bases mêmes d’Assassin’s Creed. La Confrérie des Assassins, l’Ordre des Templiers, la guerre millénaire qui les oppose, les fragments d’Éden, l’Animus, la mémoire génétique… Quand on connaît déjà, ce n’est pas le plus palpitant, or il faut du temps pour tout présenter, et par conséquent prendre son mal en patience jusqu’à ce que l’intrigue se lance véritablement.



Autre point négatif, je dirais qu’il y a trop de personnages. Les adolescents sont au nombre de six, six à faire une plongée dans l’Animus pour y incarner six de leurs ancêtres, qui ont un caractère, des pensées et des opinions propres. Autrement dit, on rencontre quasiment douze protagonistes (dix en enlevant Owen et Javier qui sont introduits d’entrée) simultanément. J’aurais préféré qu’il y en ait moins, et qu’on ait ainsi davantage de temps pour s’attacher à eux individuellement. Pour l’instant, à l’exception de Natalya, ils m’ont tous plus ou moins laissée de marbre.



Ce que j’ai davantage apprécié, c’est la volonté de cette saga de semer une certaine ambiguïté entre Assassin et Templier. Monroe constitue une sorte de faction neutre, qui ne prend parti ni pour l’un ni pour l’autre des deux camps, mais qui au contraire cherche à leur damer le pion. Évidemment, mon inclination naturelle me pousse du côté des Assassins, mais les adolescents, eux, sont dans le flou. On ne sait ni comment ils vont agir, ni pour quel côté ils vont opter, même si quelques prises de position s’esquissent dans les derniers chapitres. Je suis curieuse de découvrir les choix qu’ils feront par la suite, ainsi que les motivations de Monroe.



C’est donc un début de saga intéressant, malgré son aspect introductif qui ennuiera un peu les connaisseurs de la franchise. Pour cette raison, je pense que j’apprécierai mieux les prochains tomes. À présent que le décor est planté, on va pouvoir se focaliser davantage sur l’intrigue et l’action, qui tendaient à se précipiter un peu trop à la fin du livre. J’ai bon espoir que les suivants aient un meilleur équilibre.
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Extrait :

Petite chronique sur une trilogie que j’ai beaucoup appréciée, en commençant évidemment par le premier tome. L’univers d’Assassin’s Creed est très connu pour ses jeux vidéos, mais ses livres n’ont rien à leur envier ! Pour le moment, il n’y a pas beaucoup de sorties de ce côté là, surtout en format roman (même si dernièrement, il commence à y avoir du mouvement). Le but est clair, élargir le public ! Pour ma part, ça ne me déplaît pas vue que j’adore la licence (même si côté cinéma on pourrait avoir mieux).



Si vous connaissez un peu la série, vous savez déjà que généralement, l’intrigue tourne autour d’un objet d’Eden (créé par une ancienne civilisation, les Isu). Cette série ne fait pas exception, puisqu’elle tournera autour d’un mystérieux « poignard », dont on apprendra par la suite, qu’il y en a d’autres. Ses différentes parties permettront à l’auteur de nous faire voyager autant dans le présent, que dans le passé, à travers le globe et l’histoire !



Une fois encore, les Assassins et Templiers seront mis en opposition, mais pour une fois, il y aura également un troisième choix, celui où ni les Templiers, ni les assassins ne devront mettre la main sur la relique ! Je pense que ce petit ajout permet de bien définir la situation des deux groupes, qui ont beau avoir des but différents, restent loin d’être parfais. Cet ajout rajoutera sûrement un peu de piment à l’histoire, permettant d’offrir aux enfants une autre solution, de voir plus loin.



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En bref, j’ai littéralement dévorée ce premier tome au moment de ma lecture. Imaginez ma surprise quand j’ai appris qu’il y avait un second tome (et que celui-ci n’était pas encore sorti).
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Ce livre est très bien. On peut le lire facilement et tout comprendre sans avoir jouer au jeu vidéo.

Des ados sont recrutés dans différents lycée car ils sont les descendants soit des Templiers, soit des Assassins, par Monroe, un informaticien plus que bizarre...

Ce roman est le début d'un trilogie commandée par Ubisoft, pour mettre en version "livre ados" l'univers du jeu vidéo Assassin's Creed. Cette transposition avec des héros ados au lieu d'adultes est bien réalisée, on y retrouve tous les marqueurs du jeu vidéo: les Templiers, les Assassins, les morceaux d'Eden, la vision d'aigle, les voyages dans le temps...

L'écriture est fluide, simple, facile à lire. La narration est rythmée et efficace. Les aspects historiques risquent de perdre le jeune lecteur car ils concernent la guerre de Sécession et les émeutes de New York, des événements qu'un ado français connaît à peine et ne sait pas placer sur une frise chronologique. Mais bon, la cible première était l'ado américain d'où ce choix américano-américain pour accrocher les lecteurs cibles.

Je regrette qu'on retombe encore dans le schéma vendeur des livres pour ados: une trilogie avec un cliffhanger à la fin du tome pour susciter l'attente. C'est lassant.

Je conseille cette lecture aux ados, surtout les fans du jeu vidéo. Ils apprécieront, à n'en pas douter.