... Vous avez admis que le con n'est pas un mal mais seulement une souffrance, et que c'est sur ce terrain que vous devez lutter ; et en passant de la faute (du con) au défi (pour vous), vous avez recentré votre attention -- c'est-à-dire que vous ne pensez plus à ce que le con ou la conne vous font perdre (votre temps, votre patience, votre sang-froid, votre confiance en vous, votre joie de vivre...) mais à ce qu'il/elle vous invite à trouver, c'est-à -dire les moyens de faire preuve ici et maintenant de patience, de sang-froid et de joie de vivre. (p57-58)