C’est triste, mais tu dois te concentrer sur les personnes présentes dans ta vie, celles sur lesquelles tu peux compter. Pas sur celles qui te font faux bond à la première difficulté rencontrée.
La route sera longue, Ali, mais c’est comme ça. Tu peux trébucher et attendre que quelqu’un t’aide à te relever, ou bien décider que tu es assez forte pour te relever toute seule et pour continuer à avancer. C’est ton choix, Ali.
- Je pleure parce que j'aimerais que ma famille soit comme vous.
Voilà. C'est dit. C'est sur la table.
Adam s'approche un peu de moi et pose sa main sur mon bras.
- Tu nous as nous, maintenant, déclare-t-il.
Quand on commence à mentir, on s'enfonce un peu plus dans le sentier sinueux du mensonge, pour ne plus savoir ce qu'on a dit, à qui on l'a dit. Quand on commence à mentir, c'est difficile de revenir en arrière.
La route sera longue, mais c'est comme ça. Tu peux trébucher et attendre que quelqu'un t'aide à te relever ou bien décider que tu es assez forte pour te relever toute seule et pour continuer à avancer.
Ce serait mentir que de dire que je ne retire rien de positif de cette histoire. Elle s’est mal terminée, le temps s’est gâté mais je peux toujours essayer de danser sous la pluie.
Tu dois te concentrer sur les personnes présentes dans ta vie, celles sur lesquelles tu peux compter. Pas sur celles qui te font faux bond à la première difficulté rencontrée.
Suis-je donc censée ne rien dire, au risque de ne pas être écoutée ? À quel moment les choses changeront si personne ne met le doigt sur ce qui est injuste et inacceptable ?
Je suis en train d’apprendre que les gens sont mal à l’aise face à la mort. Ils ne savent pas comment gérer la situation. Et ils s’excusent, comme si c’était leur faute.
J’ai appris à aimer que rien ne se passe comme prévu parce qu’au moment où on lâche prise sur les évènements, tout devient possible. Il n’y a plus de limite.