Savez-vous quoi, madame Dieudonné ? Des fois j'aurais envie d'arrêter de prendre mes médicaments. De sauter volontairement d'un monde que je trouve ridicule à un autre qui me rend malade, qui me rend fou, mais qui a la grande qualité de me faire vivre des choses que personne d'autre que moi peut imaginer. (p. 51)