Il est facile de réduire les parents à ce seul rôle, de penser que leur existence a toujours tourné autour de la vôtre. Mais, avant d'être des parents, ils sont simplement des êtres humains s'efforçant d'affronter la vie du mieux qu'ils peuvent, avec leurs propres déceptions, leurs propres rêves. Et pourtant, nous attendons d'eux qu'ils se montrent infaillibles.
Mais le secret d'une belle mort, c'est de vivre une belle vie. Mettre son cœur à nu.
Le laisser se briser. Prendre des risques. Commettre des erreurs.
Promets-moi, gamine, que tu vas t'autoriser à vivre.
J'ai toujours été la femme, la mère ou la fille de quelqu'un avant d'être moi-même. Comme si je n'avais pas vécu ma vie en tant qu'individu. Que j'avais gâché ce qui m'a été donné à la naissance.
«Si tu parles à un homme dans une langue qu'il comprend, ça lui monte à la tête. Si tu lui parles dans sa langue, ça descend dans son cœur». Nelson Mandela
Le chagrin, c'est juste de l'amour qui cherche un endroit où se poser.
Le langage corporel des humains est très instructif - souvent, il en révèle bien plus que leurs paroles.
En étudiant ce que ces gens jugeaient essentiel avec le recul de toute une vie, et en reliant les points, peut-être arriverais-je à trouver ma propre voie.
Les messages d'amour parviennent toujours à leur destinataire, même quand il est inconscient.
La vérité, c’est que le chagrin ne disparaît jamais. Quelqu’un m’a dit un jour que c’était comme si on devait traîner un bagage pour la vie : au début, c’est une grosse valise et, au fil des années, il peut se réduire à la taille d’un sac à main, mais il est toujours là. La métaphore est un peu étriquée, mais elle m’a aidé à comprendre que je n’étais pas obligé de me remettre complètement de mon deuil.
- Cela dit, j’ai de la chance, a repris Sebastian, en faisant glisser son pouce sur le bord de son verre. En dehors de mon grand-père, c’est la première fois que je suis confronté à un deuil dans ma famille… Est-ce que ça devient plus facile avec le temps ?
- J’aimerais te répondre par l’affirmative, mais ma mère est morte il y a quinze ans, et j’en souffre encore.
- La vérité, c’est que le chagrin ne disparaît jamais. Quelqu’un m’a dit un jour que c’était comme si on devait traîner un bagage pour la vie : au début, c’est une grosse valise et, au fil des années, il peut se réduire à la taille d’un sac à main, mais il est toujours là. La métaphore est un peu étriquée, mais elle m’a aidé à comprendre que je n’étais pas obligé de me remettre complètement de mon deuil.