L’autre jour, j’ai fait du tir à l’arc à cheval (date de l’époque Kamakura). C’était bien plus difficile de monter à cheval que de tirer à l’arc ! Contrairement aux objets, ils ont une volonté propre et n’écoutent pas toujours ce qu’on dit. Cependant, à la fin, j’étais pleinement satisfait et je me suis bien amusé.
Une armée est comme la tête d’un serpent. Sa colonne vertébrale doit de se prolonger jusqu’à la queue. Pour avancer, elle a besoin d’un approvisionnement continue en vivres et en hommes.
Nos pires ennemis sont toujours près de nous.
Plus les hommes prennent de l'âge, plus ils sous-estiment la valeur de la vie.
La trahison ne se résume pas un acte isolé. D’autres petites trahisons suivent inévitablement la première. Et il n’est plus possible de faire marche arrière…
Il ne faut pas se contenter de suivre le fils de l’histoire, elle doit avoir de l’épaisseur.
Dans les guerres continentales pré-modernes, lorsque la différence de force est écrasante, il n’y a pas de place pour les négociations. Une destruction complète et des massacres font partie du quotidien de la guerre.
Au beau milieu d'une bataille, quiconque a des doutes sur le sens de celle-ci, n'est pas un général. Ce n'est rien de plus qu'un poète !
Il suffit d’un seul survivant pour l’emporter !
Les jeunes sont comme des oiseaux ! Mêmes en les entravant, ils finissent prendre leur envol.