AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Natasha Preston (61)


Ma mère avait raison : plus on reste longtemps avec un mec, plus il devient dégueu. Je n’aurais pourtant échangé Lewis pour rien au monde : c’est important d’accepter la personne qu’on aime telle qu’elle est, avec son désordre et tout le reste.
Commenter  J’apprécie          404
Son visage était cramoisi et son regard si froid qu’il ressemblait à un cadavre. Il devait être mort à l’intérieur pour commettre de pareilles atrocités. 
Commenter  J’apprécie          360
Quand quelqu’un meurt, on peut lui faire les deniers adieux et accepter son départ. Ce n’était pas le cas : nous ne savions ni où elle était ni ce qui lui était arrivé. Nous n’avions aucune réponse, rien ne pouvait avoir de fin.
Commenter  J’apprécie          310
J’avais l’impression que ce qui s’était passé la veille était un cauchemar. Était-ce vraiment arrivé ? Parfois, quand je pensais trop à un truc, il me semblait irréel. Quand un événement était trop choquant, il perdait aussi de sa réalité.
Commenter  J’apprécie          260
Ne pas pardonner, c'est une chose. Tuer, c'en est une autre.
Commenter  J’apprécie          250
Tout ce qui me terrorisait avant me semble bête désormais. Une fois qu'on a vécu son propre film d'horreur , on est blindé.
Commenter  J’apprécie          230
Ma grand-mère se trompait tout de même : une tasse de thé ne pouvait pas tout régler. Ça ne s’appliquait qu’en temps normal et il n’y avait pas grand-chose de normal ici.
Commenter  J’apprécie          220
Elle avait une beauté naturelle, qu’elle acceptait telle quelle au lieu de se couvrir de maquillage. Quand les femmes comprendraient-elles que tous ces artifices leur donnaient des airs de putes ?
Commenter  J’apprécie          200
La solitude est pire qu'une maladie mortelle. Chaque jour qui passe, on s'efface un peu plus.
Commenter  J’apprécie          200
- Je peux te parler d'un truc ? […]
- J'accuse Aaron dans la cuisine avec un couteau, a-t-il plaisanté.
Commenter  J’apprécie          180
- Tu dois laisser tes cheveux naturels.
Comme si je pouvais passer au magasin m’acheter une colo !
- Il n’aime pas quand ils sont trop arrangés. Et tu dois te maquiller très légèrement : vas-y mollo avec le mascara.
J’avais envie de vomir. On me disait à quoi je devais ressembler ? On ne m’avait jamais parlé de ça.
Rose est revenue dans la chambre et s’est mise au travail. Elle a refait son lit et a redonné forme aux oreillers. Je l’ai regardée passer les mains sur la housse de couette, pour l’aplatir. Je me suis demandé si je ferais comme elle dans trois ans. Non. Il n’était pas question que je reste ici plus de trois jours. On était à ma recherche. La situation n’était que temporaire. Bientôt, la police nous découvrirait. J’en étais sûre.
Commenter  J’apprécie          120
- C'est quoi son problème ?
Iris a haussé les épaules.
- Trois ans d'enfermement dans cette cave, c'est long.
Trois minutes, c'était déjà trop long.
- Il faut qu'on se serre les coudes.
Ce n'était pas la première fois qu'elle disait ça. Je me demandais si elle répétait la formule pour tenter de se convaincre. En quoi se serrer les coudes nous aiderait-il ? Cela nous permettrait de nous retrouver chez nous par magie ? La réalité m'a frappée durement. Non. Elle ne parlait pas d'évasion... juste de survie. Nous n'étions pas sur la même longueur d'onde. Ce constat m'a fendu le cœur.
Commenter  J’apprécie          70
Il a souri en montrant ses dents trop blanches et trop bien alignées. Tout en lui était impeccable : sa peau, ses cheveux, ses vêtements, repassés avec soin, ses maudites dents.
L'image du loup déguisé en agneau lui allait comme un gant.
Commenter  J’apprécie          70
Les gens se disaient libres, alors qu’ils étaient gouvernés et contraints par un tas de lois. Ils travaillaient plus de quarante heures par semaine et, malgré ça, beaucoup avaient du mal à joindre les deux bouts. Ils étaient obligés de donner une partie de leur salaire à l’État et suivaient les lignes de conduite que leur imposait la société. Pour moi, c’était l’opposé de la liberté, mais eux étaient persuadés du contraire. Ils étaient convaincus que leur voix comptait, même s’ils ne l’utilisaient que pour élire des politiciens qui leur mentaient. Ça n’avait aucun sens. Démocratie. Liberté. Mon œil.
Commenter  J’apprécie          60
Il était trop calme et maître de lui. Je savais que, d’une seconde à l’autre, il se lâcherait. Un peu comme quand un chien joue avec un ballon de baudruche; on sait que ça va péter, même si on ne sait pas quand.
Commenter  J’apprécie          63
- Comment était votre soirée ?
Déprimante et ennuyeuse à périr... comme toutes les autres.
- Très bien, a répondu Rose. Nous avons regardé quelques comédies romantiques.
Dans ce maudit sous-sol, même Saw et Massacre à la tronçonneuse ressemblaient à des comédies romantiques, si on les comparait à des journées enfermées sous la vigilance de ce malade de Trèfle.

Commenter  J’apprécie          60
❝ - Qu'est-ce qu'il attend de nous ?

- Je ne sais pas exactement, mais je crois qu'il cherche une famille. La famille idéale. Il choisit des filles, qu'il trouve parfaites, comme des fleurs.❞
Commenter  J’apprécie          50
"- Je n'ai aucun souvenir avant l'âge de quatre ans.
Il a haussé les sourcils.
- Comment ça ?
- Il y a eu un incendie chez moi et on a tout perdu. Mes parents nous ont sortis de la maison, Jeremy et moi. On a été hospitalisés parce qu'on avait inhalé de la fumée.
Quand je me suis réveillée, je le souvenais plus de rien."
Commenter  J’apprécie          40
Je me suis dit qu'on pourrait peut-être devenir frères, maintenant qu'on était capables de décider par nous-mêmes. Avant, c'était nos parents qui tiraient les ficelles et ils le faisaient souvent dans des directions opposées.
Commenter  J’apprécie          40
Rose m’a appelée à travers la porte fermée au moment même où j’entendais la serrure du sous-sol grincer. Prise de panique, je suis sortie pour rejoindre le séjour. Je e voulais pas qu’il me cherche, si je n’étais pas présente à son arrivée. Il a descendu les escaliers d’un air sûr de lui. J’étais à chaque fois estomaquée de constater à quel point il avait l’air normal. Les gens comme lui n’étaient-ils pas censés ressembler à des monstres ? Quelque chose dans son physique aurait dû le trahir – mais non, il était on ne peut plus ordinaire. Il nous a saluées d’un ton joyeux : – Bonjour, les fleurs.
Commenter  J’apprécie          40



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Natasha Preston (1085)Voir plus

Quiz Voir plus

Quiz sur l'histoire du Mysterieux cercle de Monsieur Benedict

Qui est vraiment Milligan

Un espion secret
Le pere de Kate
Milligan tout court

3 questions
27 lecteurs ont répondu
Thème : Le mystérieux cercle Benedict de Trenton Lee StewartCréer un quiz sur cet auteur

{* *} .._..