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Critiques de Natsu Hyuuga (1180)
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 1

Premier manga pour moi, et c'est un succès.



Ca fait longtemps que je me dis qu'il faut que je me lance dans ce genre que je ne connais absolument pas.

Je me suis tournée vers celui-ci car je l'ai vu passé très souvent sur Instagram avec des avis élogieux ; et je comprends.



Il s'agit donc de l'histoire de Mao Mao enlevée afin d'être servante au palais impérial parmi les concubines de l'empereur. Elle était auparavant formée par un apothicaire. Exercer son métier lui manque. C'est alors qu'une "malédiction" s'abat sur tous les enfants de l'empereur. Mao Mao va donc, malgré elle, enquêter sur cette affaire - tout en faisant attention à un certain Jinshi qui montre un peu trop d'attentions à son égard.



Vous l'aurez compris, nous sommes donc sur un enquête, un complot et c'était bien ! On est pris au piège par l'investigation et surtout les dessins ! Les pages se tournent à une allure folle.



Gros point négatif pour moi vis à vis de tous les mangas voire aussi toutes les bandes-dessinées (on met tout le monde dans le même panier, ça c'est fait!) : ça se dévore en 1 heure ou 2!

Après avoir lu ce premier tome, j'avais besoin d'engloutir le second (que je n'ai pas), un peu comme du chocolat : quand on commence, on ne s'arrête plus.

Mémo à moi-même : pour le prochain tome des Carnets de l'Apothicaire, il faut que je pense à le savourer...
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 1

J’ai vraiment mais alors vraiment beaucoup aimé ce premier tome des Carnets de l'apothicaire. Je sais que tout le monde en parle, et en bien depuis sa sortie, et le manga me faisait de l’œil mais je n’étais pas encore décidée à franchir le pas. Après avoir fini The Witch and the beast, je voulais me lancer dans quelque chose de totalement différent, et ce fut totalement le cas.



Je ne savais pas à quoi m’attendre en commençant Les carnets de l'apothicaire. Je savais que l’on suivait une jeune femme douée pour les potions, poisons, remèdes au sein de la cour impériale, mais sinon, rien de plus. Et je ne m’attendais pas à ce ton plutôt léger et drôle. J’espère que cette ambiance perdurera car c’est indéniable un atout de poids pour moi. Entre le fait que Mao Mao se moque bien de toutes les futilités qui l’entourent et son obsession pour ses expériences, Jinshi qui manigance à tout va et ne peut pas résister aux regards dégoutés de notre héroïne, je n’ai pas pu m’empêcher de sourire durant toute ma lecture. Et cela fait un bien fou.



J’aime aussi la bienveillance du groupe dans lequel Mao Mao a atterri. Alors que l’on se retrouve avec l’une des concubines préférées de l’empereur, j’avais un peu peur de tomber dans un milieu où les jeunes femmes allaient se tirer dans les pattes ou se montrer mesquines, mais il n’en est rien. Et là encore, je trouve cela aussi rafraîchissant qu’adorable. Et j’ai l’impression aussi que notre jeune héroïne pourra s’épanouir tout en apprenant énormément, et j’ai hâte.



D’ailleurs, parlons un peu de notre héroïne. Je l’adore. Mao Mao sort carrément des sentiers battus. Elle est un peu une nerd bien avant l’heure. Drôle à ses dépens, intelligente, observatrice, elle ne se laisse pas démonter et a un côté pas rentre dedans non… disons qu’elle fait attention à ne pas faire de vague, mais son naturel revient vite au gallot et elle est naturelle. Encore une fois, c’est rafraîchissant.



Pour ce qui est de l’histoire, pour l’instant je pense que les mangakas ont voulu poser les bases. Avec quelques petites aventures, on apprend à connaître les différents personnages, l’environnement particulier dans lequel ils se trouvent, et aussi la place que va prendre Mao Mao. C’est très bien fait, surtout qu’entre l’ambiance et les différents événements, on se prend au jeu rapidement.



Le premier tome des Carnets de l'apothicaire a donc su totalement me convaincre. J’avais une petite appréhension car je suis toujours prudente avec les œuvres qui cartonnent sur la toile, mais là, j’avoue que ce n’est pas volé du tout. Vivement la suite.

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Les Carnets de l'apothicaire, tome 1

C'est la couverture, le titre énigmatique mais aussi la popularité grandissante de ce manga qui m'ont donné envie de le lire... Je l'ai donc emprunté à la bibliothèque sans vraiment savoir de quoi il en retournait.



L'histoire, c'est celle de Mao Mao, une jeune fille de 17 ans, initialement formée pour être apothicaire. Seulement, elle a été enlevée et doit maintenant travailler comme servante au palais. Alors qu'elle essaie de se fondre dans la masse, elle se retrouve obligée d'agir lorsque les princes nouveaux-nés meurent les uns après les autres... Elle est alors promue goûteuse d'une des favorites de l'empereur par le mystérieux Jinshi...



Je ne m'attendais pas à lire une intrigue aussi complète et complexe, pensant le livre destiné à un public un peu plus jeune. J'ai beaucoup aimé suivre Mao Mao dans ses mésaventures et ses enquêtes au sein de ce palais où les faux-semblants règnent.



Je n'ai pas du tout aimé le personnage de Jinshi et sa façon intolérable de se comporter avec Mao Mao, mais je dois bien avouer que j'ai envie d'en savoir plus sur lui et sur ce qu'il recherche !



Je ne m'attendais pas à apprécier autant cette lecture : l'histoire est prenante et intéressante et les illustrations sont chouettes. Cela faisait longtemps que je n'avais pas été aussi emballée par une série de mangas ! Je suis assez impatiente de lire la suite !
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 7

J'ai passé un très bon moment avec le tome 7, même si le rythme ralentit un peu une fois l'attentat déjoué par Mao Mao qui, blessée, doit se reposer.



Ici, on en apprend un peu plus sur Gaoshun et Jishin (mais pas assez pour que le jeune homme ne reste pas un total mystère au comportement souvent ambigu).



Dans la deuxième partie, Mao Mao doit rassembler toutes ses ressources pour relever plusieurs défis : créer des roses bleues, battre Lacan (son père biologique) au xiangqi...



"Les carnets de l'apothicaire" me plaisent toujours autant, tant pour l'intrigue qui gagne en complexité que pour les dessins toujours aussi élégants et fins (et cette couverture toute en bleus...). Je vais de ce pas lire le tome suivant...

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Les Carnets de l'apothicaire, tome 3

Un tome un petit peu différent des deux autres qui se consacrent plus à des enquêtes qu’à la vie de la cour. J’en suis pourtant friande mais pour le coup, je me suis rendue compte que c’était vraiment la vie quotidienne de Mao Mao en tant que dame de compagnie qui me plaisait le plus dans Les carnets de l’apothicaire. Attention, c’était encore un très bon tome, mais je n’y ai pas trouvé le même entrain.



La première partie est toujours consacrée à l’incident survenu lors de la fête en l’hommage des concubines et qui visait la plus jeune d’entre elles. On voit combien le sens de l’observation et de la déduction de Mao Mao sont assez impressionnants. Même si plus tard on voit qu’elle a encore des choses à apprendre, pour son âge, elle est déjà extraordinaire. Et elle devient un atout plus que majeur au sein de la cour, ce qui je l’espère lui rendra service plus tard.



La seconde partie est celle qui m’a le moins plu. Déjà parce que l’on sort de la cour intérieure, puis parce qu’on découvre où Mao Mao a grandi et je ne sais pas… il y avait comme une sorte de malaise. Ses « proches » ne me semblaient pas digne de confiance et donnaient plus l’impression de se servir d’elle. Cela n’a pas l’air de la tourmenter mais il est difficile de voir un personnage que l’on aime beaucoup ne pas être bien traité. Je ne sais pas si c’est un détail qui sera exploité par la suite, mais je n’ai pas vraiment hâte… L’enquête par contre était intéressante dans le sens où comme on lit les pensées de Mao Mao, on arrive à suivre son raisonnement et à comprendre pas mal de choses grâce à elle. Ça a un côté assez fascinant.



J’ai aussi beaucoup aimé l’attitude de Jinshi. Je pense que contrairement à ce que peut penser son garde du corps, il ne voit pas Mao Mao comme un jouet. Certes il la trouve fascinante car elle est totalement indifférente à ses charmes et que ses dons sont assez impressionnants, mais je commence à me demander s’il n’y a pas plus. Quand on voit l’attitude de Gyokuyo, franchement, cela va dans ce sens. J’adore voir la concubine rire de ce qu’elle comprend et qui échappe aux autres. Elle est adorable. Du coup, je ne sais pas si Les carnets de l’apothicaire se veut être une romance, d’un certain côté, mais j’espère que ça sera le cas. Je pense que cette relation pourrait être très intéressante, surtout si comme je le soupçonne Jinshi pourrait bien être le petit frère de l’empereur. De quoi causer des problèmes, mais des problèmes plus qu’alléchants.
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 1

Mao Mao, 17 ans, a été enlevée et est devenue servante à la Cour Intérieure du Palais impérial. Afin de ne pas se faire repérer, elle cache son instruction et ses talents d'apothicaire. Mais dans cette sorte de harem où les femmes sont destinées à donner des héritiers au trône, la concurrence, les complots et les coups bas entre les concubines peuvent atteindre des extrêmes. Et lorsque des nourrissons décèdent de mort suspecte, Mao Mao ne peut s'empêcher d' enquêter.



Adapté d'un roman, ce seinen historique nous entraîne au coeur du Japon impérial, dans le quartier ultra sécurisé des concubines de l'Empereur où seuls les Eunuques et hauts fonctionnaires mâles peuvent pénétrer. Conditions de vie des servantes, des dames de compagnie et des concubines, nous découvrons un lieu où tous les coups sont permis et où le talent de Mao Mao va être vite repéré par le troublant Jinshin, un personnage énigmatique que l'on a du mal à cerner.

Mais Mao Mao, personnage attachant, a un fort tempérament et est bien décidée à ne pas se laisser manipuler. Intrigues ou solidarité, les amitiés sont fragiles et on sent bien que notre petite apothicaire doit rester sur ses gardes.

Acclamée et primée au Japon, cette adaptation signée Itsuki Nanao donne parfaitement vie à la riche galerie de personnages de cet univers fascinant où l'on découvre également l'utilisation des plantes médicinales. Les dessins sont très beaux et les femmes, notamment, magnifiques. Histoire, intrigues, suspense, ce premier tome est très prometteur.
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 1

Sorcières , wicca ont le vent en poupe à l'heure actuelle. Beaucoup férues de plantes et de potions s'adonnent à des préparations "magiques".

Avec "Les carnets de l'apothicaire" , nous partons dans le passé, dans une Chine impériale imaginée par Natsu Hyuuga.

Cette japonaise fascinée par l'histoire de l'Empire du Milieu a écrit ce roman qui a fait un tabac dès sa sortie.

Ici, nous avons une réécriture de cette light novel en un manga seinen grâce à Itsuki Nanao et la dessinatrice Nekokuraga.

Dans une cité impériale, Mao Mao va s'intégrer malgré elle dans le monde clos des concubines de l'empereur. Ses compétences de "guérisseuse" vont lui ouvrir des champs d'action inattendus. Mais il faudra rester prudente car Jinshi, haut-fonctionnaire de la cité tend des pièges à la jeune fille.

J'ai apprécié non seulement l'univers de la cité impériale avec ses jalousies entre concubines mais aussi le personnage manipulateur que représente Jinshi dont on ne connait pas les motivations de ses agissements.

Si "La nuit du sérail" de Michel De Grèce m'avait conquise avec les harems de l'empire ottoman, je ressens ici le même plaisir de lecture en m'immergeant dans ce monde féminin auprès d'une princesse chinoise, d'une jeune apothicaire futée et la cohorte des dames de compagnie.

Un manga intriguant avec des personnages énigmatiques.

La magie de la lecture a opéré.

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Les Carnets de l'apothicaire, tome 5

Changement de décor pour Mao Mao qui travaille maintenant sous les ordres de Jinshi à la cour extérieure. J’avoue que je ne sais pas trop si j’apprécie ce changement ou pas… J’aimais beaucoup les concubines et j’espère vraiment qu’on les reverra souvent, même si pour l’instant j’ai l’impression que les mangakas se tournent vers un autre angle pour l’intrigue.



En plus du changement de décor, les enquêtes sont aussi différentes. On s’éloigne doucement du côté médecin pour se focaliser sur le sens de l’observation et l’intelligence de Mao Mao. Ce n’est pas pour me déplaire, et on a toujours des insinuations liées aux rêves d’expérience de notre jeune héroïne. J’ai juste un peu peur du fait que Mao Mao soit de plus en plus mise sur le devant de la scène. Vu son statut, et même si elle ne demande rien, elle va finir par devenir une cible à un moment donné. Mais pour l’instant, il n’en est rien et elle poursuit sa petite vie.



Au niveau relationnel, nous sommes toujours face à un jeu de chat et de la souris entre Mao Mao et Jinshi. Cela donne encore des scènes drôles qui allègent indéniablement l’ambiance. Gaoshun se montre aussi très protecteur bien qu’il pourrait nouer une relation plus amicale encore avec la jeune apothicaire, enfin… pas quand Jinshi regarde car ce dernier se montre vite très jaloux. Il manque un peu l’ambiance féminine des premiers tomes par contre. C’est un nouvel univers pour Mao Mao et elle doit prendre ses marques, mais j’espère vraiment que dans les prochains tomes il y ait un peu moins de testostérone. Comme je le disais, les concubines me manquent… et l’arrivée de la remplaçante de Aduo est assez vite expédiée pour l’instant.



A voir donc comment cela va tourner pour la suite des Carnets de l’apothicaire. J’aime toujours autant le manga, mais j’avoue que les militaires et les politiciens m’attirent beaucoup moins, et le rapprochement entre Mao Mao et Jinshi ne semblent pas apporter plus que cela à l’ensemble. Je suis un peu frustrée, je l’avoue. Mais rien de très grave.
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 4

Pas de doute, je trouve que le manga est beaucoup plus captivant lorsqu’il reste dans la cour intérieure. Et j’ai vraiment apprécié ce quatrième tome des Carnets de l’apothicaire. D’autant plus que l’on reste sur une même intrigue durant pratiquement tout ce tome et que cela nous permet d’en apprendre vraiment beaucoup plus sur pas mal de personnages importants.



Bien qu’il y ait toujours des intrigues et que l’histoire ne nous épargne pas des exécutions ou des morts, il se dégage toujours autant une ambiance bienveillante. Je ne sais pas comment les mangakas y parviennent mais c’est très réussi, surtout que c’est quelque chose que j’apprécie énormément.



Après une petite pause, nous revenons à la tentative d’empoisonnement de Lishu, la plus jeune concubine de l’Empereur. Bien que le coupable ait été démasqué, Jinshi demande à Mao Mao de mener l’enquête pour être certain. Notre jeune héroïne se voit donc emmener au pavillon de Grenat. Bien que sa mission ne soit pas des plus joyeuses, j’ai cependant beaucoup aimé découvrir Aduo et sa cour. On apprend énormément de choses et certaines pièces du puzzle se mettent en place. Il est ainsi beaucoup plus aisé de comprendre des éléments assez mystérieux et on gagne en profondeur par rapport à l’univers. Que du bonus.



La « relation » entre Jinshi et Mao Mao continue d’évoluer doucement également. Il se repose beaucoup sur elle dès qu’il le peut, mais plus par confiance que par paresse. Et bien qu’il s’amuse à ses dépens, on voit bien qu’il y a quelque chose de plus. Gaoshun a beau croire que son maître voit notre héroïne comme un jouet, pour moi, c’est loin d’être le cas. Il s’amuse avec elle, comme je l’ai dit, ça oui, mais plus parce qu’il est intrigué et plus il la connaît plus, plus il a de l’affection pour elle. On voit d’ailleurs tout ce qu’il est prêt à faire pour elle à la fin de ce tome.



D’ailleurs en parlant de la fin, j’ai apprécié de voir que Mao Mao avait des proches qui tenaient aussi beaucoup à elle. Les trois courtisanes vedettes de la maison des plaisirs où elle était sont adorables avec elle, et les petits moments de tendresse que l’on voit donne le sourire. Encore une fois, beaucoup de bienveillance malgré certains éléments plus sombres.



Maintenant que des révélations plus que croustillantes ont été faites, j’avoue que je suis curieuse de voir où cela va nous mener. Parce que du point de vue politique… cela promet d’être explosif et pas dans le bon sens du terme. Mais je ne doute pas que les héros des Carnets de l’apothicaire seront faire face.

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Les Carnets de l'apothicaire, tome 2

Il va falloir que je ralentisse la cadence parce qu’à ce rythme-là, je vais finir les douze tomes en un rien de temps. J’adore. Et je me dis que c’est un peu improbable d’aimer autant Les carnets de l’apothicaire, mais je n’ai rien à redire. Mao Mao continue de me charmer par ses côtés flippants et touchants à la fois, l’ambiance est légère dans sa globalité mais on voit tout de même les intrigues qui s’hourdissent en secret, et les personnages secondaires sont aussi à la hauteur. Rien à redire.



J’ai particulièrement aimé la première partie, où Mao Mao se retrouve à devoir soigner Lifa, l’une des concubines de haut rang et rivale de Gyokuyo. Déjà parce que la situation est délicate à plusieurs niveaux, mais notre jeune héroïne ne se démonte pas. Elle monte même au créneau quand elle se rend compte que sa patiente est menacée, et c’est une facette que j’ai aimé découvrir chez elle. Mao Mao se montre ferme, méthodique, parfois peut-être un peu froide, mais elle cherche avant tout à guérir. Et la relation qui se noue avec Lifa est assez extraordinaire. Bien qu’elles ne seront jamais proches, il y a une intimité qui se dégage de cette première partie qui est très belle à voir.



La seconde partie est tout aussi bien, mais dans un autre registre. Disons qu’il y a plus d’humour et de joyeusetés, même si cela ne dure jamais très longtemps avec les intrigues de la cour. Mais c’était toujours aussi plaisant à voir. J’aime le côté un peu psychotique de Mao Mao. Elle fait peur, vraiment à certains moments, mais c’est un personnage caléidoscope, qui a tellement de facette qu’elle en devient fascinante. Et puis qu’elle est drôle malgré elle. Je l’adore, je vous l’ai déjà dit ?



L’ambiance est toujours aussi bienveillante globalement, et j’espère que cela perdurera. C’est toujours quelque chose qui me touche beaucoup et quand on voit ce qu’a vécu Mao Mao, on a envie qu’elle découvre la vie qu’elle est mérite de connaître. Gyokuyo et ses suivantes sont des amours et on ne pouvait pas rêver mieux pour notre jeune apothicaire. Je ne sais pas ce que le futur lui réservera mais j’espère qu’elle restera avec elles aussi longtemps que possible.



Ce deuxième tome des Carnets de l’apothicaire est encore un carton plein pour moi. Mao Mao retient de plus en plus l’attention de beaucoup de monde et je ne sais pas si c’est une bonne ou une mauvaise chose. Probablement les deux, mais cela promet pour la suite, c’est certain.

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Les Carnets de l'apothicaire, tome 1

Ce premier tome des Carnets de l'Apothicaire m'a beaucoup plu, tant pour l'intrigue que pour les dessins aux traits fins qui restituent très bien les décors du palais, les tenues des concubines et de leur entourage, etc.

Mao Mao, l'héroïne, est attachante. Très jeune, constamment sur ses gardes pour survivre dans l'univers complexe du quartier des femmes du palais impérial, elle se laisse cependant vite emporter par son bon cœur et par l'enthousiasme lorsqu'il est question de son savoir d'apothicaire.

J'ai donc passé un très bon moment avec ce manga et j'ai bien l'intention de lire les tomes suivants (sauf que je ne les ai pas sous la main et qu'il va donc falloir attendre...).

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Les Carnets de l'apothicaire, tome 10

Après avoir relu avec beaucoup de plaisir les premiers tomes de la série, je suis ravie de découvrir le dixième tome des Carnets de l'Apothicaire, un inédit pour moi...



Quel plaisir de retrouver tous les ingrédients de la série : quotidien à la cour intérieure, intrigues politiques et jeux de pouvoir, mystères à résoudre et surtout la personnalité haute en couleur de Mao Mao. Elle est toujours très sollicitée tant pour ses connaissances sur les plantes que pour son extraordinaire sens de la déduction, même si cela ne l'empêche de commettre des impairs dans ses relations avec son entourage.



J'aime toujours autant les dessins de Nekokurage, riches en détails avec des costumes très travaillés. La tenue de Mao Mao sur la couverture est très jolie mais peut-être un tout petit peu trop sophistiquée pour la jeune fille...



Le tome s'achève au milieu d'une enquête, alors que Mao Mao est sur le point de résoudre un mystère dont je pense avoir trouvé la clef. Je vérifierai cela la semaine prochaine avec le onzième tome...
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 3

J'ai beaucoup aimé le troisième tome des Carnets de l'Apothicaire dont l'intrigue reprend juste là où s'arrêtait le deuxième, pendant le banquet donné dans les jardins.



Plus tard, Mao Mao se débrouille pour passer quelques jours chez elle, dans la quartier des plaisirs, et elle a l'occasion de vérifier ce qu'elle pensait déjà : la cour intérieure et le quartier des plaisirs ont beaucoup de points communs, avec toutes ces femmes "cloîtrées" ensemble, les rivalités et les conspirations, et aussi les poisons... puisqu'elle doit encore une fois mettre en pratique ses talents d'apothicaires (avec l'aide de son père) pour sauver un couple d'amants.



Le récit évoque des situations complexes, voire dangereuses, mais le ton reste toujours assez léger, avec une héroïne très jeune qui se montre parfois naïve, mais reste toujours sur ses gardes, surtout avec le très ambigu Jinshi, consciente des dangers omniprésents.



J'ai passé un très bon moment avec Mao Mao et j'ai hâte de la retrouver dans le quatrième tome, demain normalement...

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Les Carnets de l'apothicaire, tome 3

Dans ce troisième tome, Mao Mao va boucler l'enquête sur l'empoisonnement de la princesse Gyokuyo. S'ensuivront d'autres meurtres mais cette fois-ci l'un d'entre eux est commis dans le Palais Vert de Gris maison close située à l'extérieur du palais royal.

Grâce à l'épingle de Lihaku, Mao Mao va rejoindre son père mais elle est sollicitée dans un établissement dans le quartier des plaisirs pour un double suicide , celui d'une courtisane et de son riche client.

Le problème résolu, l'apothicaire enchaîne avec la mort d'un notable du palais impérial qui a perdu le goût.



Dans ce tome nous sortons des arcanes du palais pour entrer dans le monde des courtisanes.

Jalousies, amours contrariés et vengeances sont réglés par le poison: Mao Mao n'a guère le temps de se reposer. Surtout si Jinski lui demande de résoudre la mort suspecte du notable.

Un manga à énigmes dont les expressions sont toujours aussi bien croquées.

Les personnages sont de plus en plus complexes et bien des secrets restent à dévoiler.

On se laisse facilement embarquer dans ce polar intriguant autour des mœurs de la prostitution.
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Les carnets de l'apothicaire, tome 1 (roman)

J'ai adoré cette lecture !



Connaissant le manga, dont j'ai lu déjà 7 tomes, j'appréhendais un peu le déroulé de la version "roman".



Mais mes craintes se sont vite évaporées car j'ai retrouvé l'ambiance des tomes lus et j'ai vraiment apprécié les descriptions, la narration et les illustrations glissées ci et là dans ce premier tome.



Certes, le roman ne nous en apprends pas plus de l'histoire qui est vraiment fidèle au manga (et inversement). Mais la plume de l'auteure est vraiment belle et j'avais l'impression de voir le manga se dérouler sous mes yeux.



Une très bonne lecture !
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 11

J'ai beaucoup aimé ce onzième tome à l'intrigue très riche.



Le premier chapitre nous apporte la solution à l'énigme restée en suspens à la fin du tome 10, une fois que Mao Mao a traversé une nouvelle fois le temple du choix et ses portes de couleur. Elle passe l'épreuve, qui est habituellement réservé aux empereurs et à leurs concubines, aux côtés de Jinshi ce qui apporte un nouvel éclairage sur leur "duo".



L'intrigue prend ensuite une nouvelle direction et j'ai particulièrement apprécié d'en apprendre un peu plus sur le très mystérieux Jinshi. Nous découvrons sa famille, son passé alors que Mao Mao n'a pas encore percé ce secret malgré les indices qui s'accumulent pour faire le lien entre le jeune homme et la famille impériale.

Ce tome nous montre aussi un côté plus sombre de la cour impériale avec des serviteurs muets pour ne pas divulguer les secrets des maîtres, des médecins castrés pour éviter tout soupçon sur la légitimité des enfants des concubines, parfois de très jeunes filles, à peine nubiles lorsque c'était le désir de l'empereur.



Comme toujours, les dessins sont superbes, très détaillés, avec des tenues et des coiffures très travaillés. La couverture aussi m'a beaucoup plu avec ses tons jaunes qui correspondent bien à la personnalité pétillante de Mao Mao.



Cette fois encore, j'ai passé un excellent moment avec Mao Mao et j'ai hâte de découvrir la suite. Seule ombre au tableau, le prochain tome, le douzième, est le dernier disponible pour l'instant...
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Les Carnets de l'apothicaire, tome 8

J'ai beaucoup aimé le huitième tome (qui pourrait correspondre à la fin du deuxième tome des romans, étant donné sa construction).

Dans ce volume nous découvrons les origines de Mao Mao, l'histoire de son père, sa rencontre avec sa mère dans le quartier des plaisirs, leur histoire d'amour tragique et son dénouement des années plus tard grâce à l'intervention de Mao Mao. Cela nous permet aussi de faire le lien avec plusieurs épisodes des tomes précédents.

Peu après, Jinshi et Mao Mao ont l'occasion de passer un moment seuls dans la nuit, mais Mao Mao reste aveugle aux attentions du jeune homme qu'elle ne parvient pas à prendre au sérieux.

Il y a aussi un passage sur sur les livres dans la cour intérieure (la place de la lecture, l'imprimerie, l'alphabétisation, etc) qui m'a bien plu.Et maintenant, je vais enchaîner avec le neuvième tome malgré une légère appréhension car c'est le dernier que j'ai sous la main, pour l'instant...

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Les Carnets de l'apothicaire, tome 5

J'ai beaucoup aimé ce cinquième tome qui marque le début d'un nouvel arc narratif (le début du deuxième roman de la série originale) : Mao Mao est dorénavant employée directement par Jinshi, dans la cour extérieure.

Ce nouvel emploi signifie aussi l'entrée en scène de nouveaux personnages dans un nouveau décor, mais Mao Mao enquête toujours, à la demande de Jinshi le plus souvent, qu'il s'agisse de morts suspectes ou d'héritages énigmatiques.

J'adore toujours autant les dessins, en particulier le travail sur les drapés des costumes, sur les coiffures des personnages...

La cour intérieure, les concubines, leurs suivantes et toutes leurs intrigues m'ont manqué dans ce tome, mais je les retrouverai peut-être dans les prochains...

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Les Carnets de l'apothicaire, tome 2

J'ai à nouveau passé un très bon moment avec Les Carnets de l'Apothicaire.

Mao Mao, l'héroïne, se montre toujours aussi méfiante, mais petit à petit elle se fait sa place dans l'univers complexe et dangereux de la cour intérieure (le quartier des femmes du palais impérial) où ses talents d'apothicaire sont de plus en plus reconnus.

J'aime beaucoup les touches d'humour qui ponctuent le récit ainsi que les dessins de Nekokurage, en particulier les costumes des femmes si élégants et riches en détails : c'est dommage qu'il n'y ait pas les couleurs...

Je vais d'ailleurs enchaîner sans attendre avec le troisième tome...

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Les Carnets de l'apothicaire, tome 10

Cela m'ennuie beaucoup d'ôter une étoile à ce titre. La raison ne concerne pas du tout la qualité de l'histoire, ni de ses dessins.



Tout au contraire, j'ai beaucoup apprécié les différents chapitres de nouveau. L'essentiel du titre repose sur la nouvelle infirmerie et pose de nouveau la question de la condition féminine, de leur interdiction d'être médecin. En parallèle, Mao Mao va faire la lumière sur une ancienne enquête. Elle est toujours égale à elle-même : perspicace, éprise de justice et mordante mais aussi naturaliste dans l'âme. L'intrigue est menée de manière efficace. On rappelle rapidement les éléments des anciens tomes quand le besoin s'en ressent. L'humour est là également. S'il y en a eu moins, les scènes Mao Mao / Jinshi donnent toujours le sourire. Quant aux dessins, ils sont sublimes et expressifs. Nekokurage précise le soin porté aux personnages féminins et effectivement leur beauté transparaît dans les planches avec des traits délicats. On se passe aisément de la couleur. Ainsi, si seuls ces deux éléments étaient notés, je donnerai 5/5 sans hésitation.



Mais... le découpage m'exaspère. Le premier chapitre de ce titre n'a rien à faire ici. Il aurait plus sa place à la fin du titre précédent. Et la conclusion de ce titre fait que ce sera exactement la même chose pour le prochain tome. Ce qui pose forcément un problème de linéarité, d'autant qu'on attend plusieurs mois entre la sortie de chaque tome. Autant, je comprends qu'il s'agisse d'une histoire de nombre moyen de chapitres (d'autant que l'histoire est tirée d'un roman) mais là on se retrouve avec un découpage qui n'a aucun sens.

De même, chaque chapitre commence par une ou deux planches introductives. Pourquoi pas, cela permet une mise en bouche appréciable. Pour autant, rien ne distingue ces planches du chapitre précédent. Si bien qu'on finit un chapitre, on a ensuite une ou deux planches introductives qui n'ont aucun rapport et ensuite seulement on commence le nouveau chapitre. Là encore, la question de la linéarité se pose. D'autant que cela donne l'impression au lecteur d'avoir loupé quelque chose.

J'espère que Kioon cesseront dans les prochains tomes.



J'ai pour ma part acheté l'édition collector qui me permet d'avoir une jaquette réversible et un tableau. Le tableau est sympa. La jaquette, en revanche, je l'ai remise en version classique que je trouve pour ma part beaucoup plus jolie et qui est beaucoup plus raccord avec le reste de la collection.



Bien sûr, j'ai déjà hâte de savoir la suite. D'autant que le dernier chapitre de ce titre annonce une énigme des plus intéressantes! Pas de dates annoncées pour l'instant. Il faudra que je me rappelle de lire le dernier chapitre avant de commencer le prochain titre. En attendant, je me console en sachant que le tome 2 du roman est annoncé pour avril!
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Mao Mao

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Thème : Les Carnets de l'apothicaire, tome 1 de Natsu HyuugaCréer un quiz sur cet auteur

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