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3.35/5 (sur 100 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Odette Beane est l'auteur de "Once Upon a Time: Renaissance" (Reawakened : A Once Upon a Time Tale, 2013), une novélisation de la série TV de la chaine américaine ABC (Lost, Desperate Housewives, Grey's Anatomy) Once Upon a Time.

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Citations et extraits (153) Voir plus Ajouter une citation
Personne n'a jamais dit qu'il était facile de trouver l'amour de sa vie, n'est-ce pas ?
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L'Amour est la plus puissante des magies
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-C'est censé être le début de la bataille finale.
Le grand dénouement.
-A un moment, il va falloir que tu grandisses et que tu laisses tomber tout ça, Henry, lui fit-elle remarquer. Les histoires, c'est génial, mais, tôt ou tard, il faut redescendre sur terre.
A son plus grand regret, elle eut l'impression de parler comme Regina ; mais celle-ci avait raison, il n'était pas très bon de croire en des choses imaginaires. Cela vous rendait vulnérable. C'était à peu près la seule leçon de vie qu'elle avait à lui offrir -sa propre philosophie.
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« — Peut-être, en convint Mary Margaret. Tu as sans doute raison. Mais tu sais ce qui est bon, aussi ?
— Je t’écoute.
— Admettre que l’on éprouve des sentiments pour quelqu’un. Par exemple, reconnaître que tu as des sentiments pour Graham.
Elle fit la grimace.
— De quoi parles-tu ?
— C’est évident, Emma, lui fit-elle remarquer avec un sourire malicieux. Tout le monde le voit. Même quand tu ne cases pas de vases.
— Ce type commence à m’énerver sérieusement, c’est tout, se défendit-elle, sachant que ce n’était pas tout à fait la vérité. Je n’ai pas le droit d’être un peu irritable sans que tout le mode se mette à faire des commérages ? »
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« — Ça risque de faire une sacrée chute. Tu vas te rompre le cou. Je vais plutôt te faire descendre doucement, non ?
Ils se regardèrent fixement l’un et l’autre.
— À une condition, ajouta-t-il.
— C’est le seul moyen que tu as trouvé pour attraper des femmes ? Les capturer dans un filet ?
— C’est ma méthode préférée pour arrêter les voleurs, en fait. Quant aux femmes, j’ai plus d’un tour dans mon sac.
— Eh bien, quel Prince Charmant tu fais ! lâcha-t-elle.
Cela le fit sourire.
— J’ai un vrai nom.
— Je m’en moque. Tu es charmant. Fais-moi descendre de là, Charmant. »
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Elle vit de nouveau le mot "bandit". Quelqu'un qui fuyait, qui avait transgresser les règles. Qui vivait courageusement, menait une existence ne correspondant pas aux normes sociales. On ne pouvait vraiment pas dire d'elle-même que c'était un bandit, non. Elle était bienveillante, gentille, prudente et respectueuse des lois. Elle ne causait pas de problèmes. Contrairement à Emma Swan. Elle voulait le devenir, mais elle ignorait comment.
Je ne suis peut-être pas un bandit, se dit-elle, mais j'en ai le cœur.
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Dans un autre monde, à une autre époque, quelques semaines seulement après avoir été réveillée par l'amour de sa vie, Blanche-Neige tenait la main du Prince Charmant dans la salle de bal du château royal.
Le couple était entouré de tous les sujets du royaume. Ils se regardaient dans les yeux pendant que l'évêque demandait à Blanche si elle acceptait d'épouser le prince.
Elle n'eut aucune hésitation. Elle acquiesça, et les deux amoureux se sourirent affectueusement tandis que l'évêque les déclarait mari et femme. Les musiciens de la Cour commencèrent à jouer, et les nouveaux époux se penchèrent l'un vers l'autre pour échanger un baiser.
La dernière fois qu'ils s'étaient embrassés, un miracle s'était produit. Le prince avait tiré Blanche du sommeil magique dans lequel l'avait plongé la Méchante Reine. Mais ils n'étaient pas encore débarrassés d'elle.
Cette fois, au moment même où leurs lèvres se touchèrent, un formidable coup de tonnerre retentit, plus fort que la musique, arrachant un cri à presque toutes les personnes présentes. Les invités se tournèrent tous d'un coup vers les immenses portes de la salle de bal - d'où le fracas semblait provenir - , qui s'ouvrirent violemment, heurtant les murs de chaque côté de l'entrée.
Là, sur le seuil, se tenait une silhouette toute de noir vêtue.
La Méchante Reine.
Encore.
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Arrivé chez elle, Emma déposa ses courses sur le comptoir, mit un peu de musique et s'empara du petit gâteau d'anniversaire qu'elle s'était acheté. Elle récupéra les bougies au fond du sac et en planta une dans la pâtisserie avant de l'allumer. C'était loin d'être une grande fête, mais c'était déjà ça.
Elle contempla un moment la flamme. Encore une année. Encore une année toute seule.
Elle ferma les yeux.
S'il vous plaît, pensa-t-elle, ne me laissez pas seule le soir de mon anniversaire.
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Toute cette opération s'appelle l'opération Cobra.
Emma l'écouta consciencieusement expliquer la malédiction en question. Tous les habitants de Storybrooke - tous ! - venaient d'un autre pays. Le Royaume enchanté. Ils y vivaient alors heureux, et sous des apparences différentes. Mais, afin de punir Blanche-Neige et le Prince Charmant de l'avoir trahie, la Méchante Reine avait décider de lancer une malédiction sur l'ensemble du royaume. Une malédiction qui empêcherait qui que ce soit de connaître le bonheur. Tous les habitants du Royaume enchanté furent transportés dans cette petite ville, dans ce monde-là, sur Terre, une planète dépourvue de magie. Personne ne pouvait en partir, le temps s'était arrêté, et personne n'avait conscience de ce qui s'était passé. Ils avaient tous perdu la mémoire, et cela faisait vingt-huit ans qu'ils étaient coincés là vivant les même journées, de manière répétitive. A l’exception de Henry, qui avait tout compris grâce au livre et n'avait pas vu le jour dans le Royaume enchanté.
-La Méchante Reine s'est procuré la malédiction auprès de sa pire ennemie, Maléfique, expliqua Henry. Elle s'est rendue à son château, et il y a eu cette gigantesque bataille magique. La reine a volé la malédiction du sceptre de Maléfique. C'était un combat dingue !
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Elle la dévisagea, ne souhaitant pas lui répondre maintenant qu'elle s'était rendu compte de ce que cela signifiait. Cette femme chaleureuse qui avait à peu prêt son âge, ou même un peu moins, serait sa mère. Emma s'étonne de constater à quel point son imagination appréciait cette idée et tenta de s'y arrimer, ne serait-ce que quelques secondes. C'était précisément le genre de chose qu'elle avait eu l'habitude de faire pendant son enfance, un jeu auquel elle jouait toute seule pendant des heures, cachée dans un placard ou roulée en boule sous un arbre : elle imaginait ceux à quoi sa mère pouvait ressembler... qui elle était, où elle était, pourquoi elle avait été contrainte de l'abandonné. En quelques années, ces affabulations avaient fini par former un ensemble cohérent, une image floue dans son esprit qu'il lui arrivait de prendre pour un souvenir. Souriante, la femme s'approchait d'elle en ouvrant les bras et en l'appelant "Emma, Emma" d'une voix douce et tendre. C'était idiot. Inventé de toutes pièces. Complètement ridicule. Elle s'en était rendu compte à l'âge de onze ou douze ans et avait aussitôt cessé de jouer à ce jeu. A tout jamais.
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