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3.35/5 (sur 205 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Caen , le 30/10/1970
Biographie :

Née à Caen, Odile Bouhier a grandi en Lorraine.

Scénariste formée à la Femis-Ensmis (École nationale supérieure des métiers de l'image et du son), elle travaille pour la télévision, le cinéma et l'édition.

En 2013, "Le sang des bistanclaques" reçoit le Prix du Polar Sud-Ouest / Lire en Poche.

En 2017, elle publie "On ne meurt pas la bouche pleine" avec Thierry Marx.

Elle a aussi publié trois romans noirs, récompensés en 2013 par le prix griffe noire de la meilleure trilogie historique.

Source : Wikipedia
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On ne meurt pas la bouche pleine - Odile Bouhier et Thierry Marx


Citations et extraits (38) Voir plus Ajouter une citation
L’intelligence et la créativité humaines ne l'avait jamais déçu, surtout quand elles se mettaient au service du crime.
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Odile Bouhier
Cette éternité commençait à ressembler à l'enfer.
Elle n'aimait pas se l'avouer et resta sur ses gardes: c'est quand tout va bien que les ennuis commencent.
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La machine s'ébroua, le tapis de soie fit quelques vagues, puis le choc continu des pédales de bois souleva les fils de la chaîne, émettant le son bis. Aussitôt, Madeleine repoussa agilement le battant, un tan lointain et doux se faisant alors entendre.
La vieille femme sourit - celui qu'elle préférait restait à venir -, elle ferma brièvement les yeux, histoire d'écouter, sans la regarder, la navette passer puis buter sur le bord. Clac. Enfin, le battant frappa la dernière trame sur les rouleaux de tissu.
Bis-tan-clac... Elle trouvait joli et pertinent ce terme donné par les canuts au métier à tisser le siècle dernier." (p.10)
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Je ne voulais faire de mal à personne...

Ca commence toujours comme ça.
Jusqu'au jour où on tue quelqu'un.
Et puis on ne se regarde plus jamais pareil.

La vie dort à tombeau ouvert.
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Il s'efforça de ne plus penser à Blandine, se faisant la réflexion qu'avec les femmes il fallait adopter le même comportement qu'en montagne . Pour ne pas tomber de haut, mieux valait garder ses distances.
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Si Kolvair ne se faisait pas d'illusions -la création de ce laboratoire scientifique, le premier au service de la police française, n'empêcherait pas, jusqu'à la fin des temps, les amoureux de s'aimer, les cambrioleurs de cambrioler, ni les assassins d'assassiner-, il restait indéniable que le génie de Salacan offrait à ses contemporains la sensation de participer à une nouvelle ère de l'humanité. Grâce à lui, la science acquérait ses lettres de noblesse.(p.34)
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Interviewée le matin même dans le Figaro, Bianca Serraggio n'avait pas hésité à mettre en doute la culpabilité du Tricoteur dans le meurtre de la vieille soyeuse aveugle, études à l'appui, Kolvair avait remarqué puis lu l'article car le titre "le sang d'un bistanclaque" l'avait largement intrigué.
Poétique, quoique surréaliste, voilà ce qu'il en avait pensé.
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Les deux femmes ne semblaient pas l'avoir remarqué. Alors qu'il s'apprêtait à les interpeller pour annoncer sa présence, le commissaire se figea : elles se tenaient par la main venaient de s'arrêter et si elles ne parlaient plus, c'est qu'elles étaient en train de s'embrasser.
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Odile Bouhier
- Vous ne comprenez pas que vous êtes en train de mourir ?
Sanzo avait parfaitement compris. Simplement la valeur de la vie - la sienne y compris - était pour lui toute relative.
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Cette enquête mettait une nouvelle fois en exergue le fonctionnement de la politique sécuritaire de la France, pointant ses limites.
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