L’amour d’un homme, c’est un feu d’olivier. Ça jaillit d’un seul coup, ça monte, ça crépite, ça gronde, ça lance des flammes dans tous les sens, on s’attend à être encerclée, dévorée- on reste là, debout comme un glaçon devant cette fournaise ardente, on se reproche d’être aussi froide , de ne pas manifester plus d’intérêt. Et le lendemain, quand on désire se réchauffer un peu les mains, on ne trouve plus qu’un tas de cendre !