Olivier TaDuc

Voilà un western comme je les aime ! Ce John Chinaman ferait passer notre cher Buddy Longway pour une guimauverie sans pareille.



J'ai eu plaisir à suivre le parcours de cet immigré chinois épris de justice qui sillonne l'Ouest américain dans les années 1850. Il est à la recherche de son identité et toujours en quête de liberté. C'est difficile d'être rejeté par son peuple d'origine et en butte au racisme des blancs. Chinaman peine à trouver sa place dans ce monde âpre et dur. Bon, il maîtrise parfaitement les arts martiaux, ce qui peut aider.



L'originalité du scénario est de placer le western sous un oeil typiquement asiatique. Il est vrai que les Chinois ont également contribué à l'expansion américaine par leur sens du commerce. On a trop souvent oublié le parcours difficile de cette communauté.



Et puis, nous avons là également de belles valeurs comme l'honneur ou l'amitié. Cependant, ils sont mis au service de ce récit de manière très élégante. Tout est dans la manière de présenter les choses. Les auteurs savent y faire. Objectivement, c'est une très bonne série, incontestablement !



Pour autant, je m'aperçois qu'elle ne fait pas partie de ma collection personnelle car on peut également s'en passer. Ce n'est pas une oeuvre absolument indispensable. Elle est sans doute victime d'une profusion d'oeuvres dont l'approche est sensiblement la même, c'est à dire un peu trop classique dans le genre "le dur au grand coeur qui donne des leçons d'humanité aux blancs". La seule différence réside dans le fait que notre héros est un chinois qui évolue dans un western, ce qui est déjà en soi une idée innovante.

Une super idée que de faire revenir le pépé "fantôme" du petit Napoléon !! celui ci parle avec son pépé ce qui donne lieu à de nombreuses cocasseries. C'est drôle, frais, et ça peut servir de support pour aborder en douceur un thème inévitable de la vie... une bd très très agréable que je recommande.

La guerre a éclaté et avec le soutien des autres clans, le peuple du singe s'apprête à se révolter. Le conseiller Indara part délivrer son roi, pour l'aider Griffe Blanche, le lieutenant Foudre et Taho-le-vif l'accompagne. Entre ambition, amour, vengeance et secret ils ont tous leur part de mystères.

un second tome dans la lignée du premier. Il se lit facilement, c'est agréable, peu compliqué. Je regrette tout de monde l'absence de révélation sur les personnages et certains points peu exploités de l'histoire (est-ce pour plus tard ?). Le tout donne un aspect un peu léger à une histoire qui pourtant ne l'est pas tant que ça dans son thème. Mais les choses simples sont tout autant plaisante que celles qui nous font travailler les neurones!

Les dessins sont vraiment agréables, les teintes douces.

Tout avait été préparé dans le tome précédent. Donc là, nous voilà avec la bande de criminels qui a cambriolé et tuer deux jeunes garçons. Puis le père qui demande vengeance en les tuant tous ou presque. Au milieu d'eux, se trouve le justicier trop gentil, le tricheur aux cartes et le malfrat repenti. Par conséquent, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Les tires d'armes à feu se font entendre un peu partout et les cadavres tombent les uns après les autres. La justice doit s'exprimer à tout prix. Comment en vouloir à un père dont on a assassiné ses enfants. Bien entendu, il faut un peu de morale dans tout ça. Donc celui qui veut se réhabiliter aura une chance. Une vie contre une vie, voilà une bonne logique. Quand tout le monde est enfin mort, un nouveau départ est possible.



Malgré des actions avec des conséquences assez lourdes. On trouve un peu de légèreté grâce à Chinaman et son affrontement avec un taureau. Sa dernière mission est d'emmener le taureau reproducteur à son acheteur. La bête est énorme et assez têtue. Pour arriver à la calmer, il faut faire preuve de souplesse et d'ingéniosité. Des actions qui donnent le sourire et montre la puissance de l'imagination du scénariste. Pas le temps de souffler avec une petite dose d'humour, que vouloir de plus? Surtout que tout est posé pour une nouvelle aventure car dorénavant votre héros n'a plus d'attache et plus de missions. Va t'il retrouver sa belle?
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A chaque tome, Serge LeTendre nous emmène aux côtés de Chinaman qui a des ennuis. Comme tout héros, il a des valeurs et veut les faire respecter à tout prix. Précédemment, il a volé une femme chinoise prévu pour la prostitution sur un chantier. Par conséquent, son propriétaire est furieux et a mis sa tête à prix. Donc des gars en quête d'argent le recherche. Ici deux hommes l'arrêtent pour le faire juger. Notre héros explique le contexte mais rien n'y fait. Il va reconquérir sa liberté grâce à son adresse. Puis il découvre une femme qui fuit des brigands. Ils ont entendu qu'elle avait un coffre fort. Pour eux, c'est double bénéfice avec de l'argent et une nana. Chinaman ne peut laisser faire. En sauvant la pauvre innocente, il se fait de nouveaux ennemis. Son origine chinoise n'arrange rien. La demoiselle le rejette avec méchanceté à cause de clichés très bien entretenus. Le personnage est vraiment insupportable. Elle est hautaine, suffisante, superficielle... Heureusement qu'elle veut éduquer les gamins des villes émergeantes. Lire, écrire et compter ouvrent des portes pour l'avenir. Comme elle a perdu son enfant d'une maladie, elle est triste. D'ailleurs, on ouvre sur ce champ de possible. Chinaman et Ada Waters décident de se mettre en couple. Les deux ont perdu leur moitié. Pourquoi ne pas se mettre ensemble? Comment les habitants de la prochaine ville vont accepter ce multiculturalisme? On a l'impression que le 48CC a limiter une forme de liberté. Même si on n'a pas le temps de s'ennuyer. Le rythme est bien dosé. On trouve une trame similaire aux tomes précédents. Espérons que l'on puisse être surpris par la suite. En tout cas, on ne va pas s'arrêter en si bon chemin. Surtout qu'aussi c'est une série avec héros sino-asiatique, loin des représentations d'une autre époque comme dans Lucky Luke. Ainsi cela nous rappelle que cette communauté ont contribué à l'essor de l'Amérique.
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Une vingtaine d'années après la fin de "Chinaman", Chen est un homme marqué par la vie, par la guerre et accro à l'opium. Mais l'arrivée dans sa vie d'un jeune homme de l'agence Pinkerton va le bouleverser et l'emmener dans une dernière aventure.



Pour qui n'a pas lu les 9 volumes de "Chinaman", "Le réveil du tigre" est un one shot qui se suffit à lui seul et peut justement donner envie d'explorer le passé de ce chinois immigré qui tente de trouver sa place dans une Amérique raciste.



Taduc et Le Tendre reviennent pour une nouvelle collaboration efficace, dense et très complète. Si j'ai pu reprocher aux précédents tomes d'être parfois un peu courts, l'intrigue du "Réveil du tigre" est vraiment bien construite et boucle ce cycle avec beaucoup de force et de sensibilité. Un très chouette album, à lire avant, après, ou même sans connaître "Chinaman".

Personnellement, je n'ai pas lu la série "Chinaman" dont cette BD fait office de sequel. Cela ne m'a pas gênée pour autant. La BD peut se lire indépendamment de la série.



La vengeance est un plat qui se mange non pas froid, mais saignant ! Le sang coule justement à flots dans ce one-shot. Âmes sensibles s'abstenir, car l'hémoglobine gicle de partout, tout comme les balles. Les amateurs de western ne pourront pas passer à côté de cette BD qui, dans son traitement, ses thèmes, n'est pas sans rappeler "Jusqu'au dernier". Un western très efficace donc, mais trop violent pour moi. Je n'ai pas trop accroché aux dessins, à moins que ce ne soit à la colorisation.

Matt Monroe est un jeune employé de Pinkerton mis sur une série d'enlévements de jeunes filles. Détective privé, il en profite pour rechercher son père biologique, Chen Long alias Chinaman. Plus de 10 ans après la fin de la série de Chinaman, les auteurs concluent leur série de belle façon.

Le dessin précis de Taduc allié à une histoire prenante et violente est une fois de plus un grand atout pour cette histoire.

Il n'y a pas si longtemps, quand je lisais une bd jeunesse dans le genre "humour", je la jettais facilement aux orties. Et puis, progressivement, arrive dans le paysage de la bande dessinée une vague de nouveaux auteurs qui proposent des oeuvres beaucoup moins niaises qu'auparavant. Enfin, on ne prend plus les enfants pour des gogols.



Il y a en effet une véritable réflexion derrière chaque gag. Ici, sur des thèmes plutôt délicats que sont celui de la mort d'un proche ou du divorce des parents, se construit une série tout bonnement magnifique. J'ai réellement ri sur certaines planches. Cela faisait longtemps que cela ne m'était plus arrivé. Il a fallu que je découvre "Mon pépé est un fantôme" !



Alors, oui, pour une fois, je conseille vivement cette lecture d'un genre nouveau. C'est moderne, tendre et drôle à la fois : tout ce que j'apprécie ! A noter que mon fils a également beaucoup aimé. Nous avons là un futur immanquable dans le genre !

Une troisième tome plus abouti que les deux premiers. Mais sans surprise. Griffe Blanche devient moins mystérieuse, on apprend à la connaitre. d'ailleurs il s'agit ici quasiment que de son histoire.

Les dessins sont toujours aussi splendides.

Une lecture pas très compliquée et plaisante, avec suffisamment d'actions pour nous faire oublier le manque de rebondissement.

Napoléon et son pépé, un duo pour le moins explosif !

Voilà l'arrivée d' Iggy, l'iguane de compagnie censé guérir des fantômes et des péripéties qui vont avec... et la découverte que mémé Tran est malade d'Alzheimer. Pépé va devoir encore intervenir...

C'est dommage d'être dans un format 48CC qui limite trop le champ des possibles. On en voudrait plus d'un coup, être plus longtemps avec le héros. La série n'est pas récente et respecte de vieux codes. Elle parle ouvertement de racisme, de discrimination et de violence. Etonnamment, le discours politique ne change guère avec temps et les pays. On exploite la difficulté avec la construction du rail aux Etats-Unis ou les métiers en tension au 21e siècle. Ce récit est d'une grande force et donne envie de poursuivre jusqu'au bout.
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Il le savait bien John Chinaman qu'il ne fallait pas s'intéresser aux affaires des blancs. Mais malheureusement quand il voit un vieil homme se faire agresser, il ne peut rester les bras ballants. Par contre, au combat, il refuse de tuer ou de blesser gravement l'autre. Il a des principes. Même si en face, il a des trous du cul racistes, bêtes, méchants, avides de frics, cruels, misogynes... Il a connu pire dans sa vie donc son égo n'est pas altéré par ce genre de rencontre. Une attitude qui force l'admiration. Et cela se poursuit car il aide une pauvre famille élevant une orpheline. Les grands-parents veulent la récupérer à tout prix et la mettre dans une école pour demoiselle. Le couple refuse d'abandonner la fillette surtout qu'elle souhaite rester avec eux. La diplomatie de notre chinois adoré est à tout épreuve. Grâce à ça, la situation trouve une fin plus positive et constructive. Serge Le Tendre construit un scénario finement précis. Tout est calculé pour valoriser la structure gentil contre méchant. Un tueur profiteur versus un vagabond plein d'humanité. Jamais on ne s'ennuie car le rythme est bien cadencé et on s'attache à notre héros malgré lui. En effet, peut-être qu'il souffre du syndrome du sauveur. Une série qui ne s'essouffle jamais et qui donne envie de poursuivre. On pourrait même se réconcilier avec le genre western. Dorénavant, on va attendre avec impatience le tome 4.
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Etrange : le personnage qui donne son nom à la série, est assez secondaire dans ce premier tome.

C'est une histoire de dragon, de pouvoir, de trahison.... avec évidemment quelques valeureux et preux défenseur de la bonne cause. Et je ne doute pas qu'ils gagnent à la fin.

Je vais donc suivre leurs aventures pendant quelques tomes.

Milieu du 19e siècle, en pleine ruée vers l'or, Chen débarque en Californie en compagnie de son maître et protecteur. Mais rapidement, l'homme va vouloir prendre ses distances avec les triades chinoises...



Je viens de lire les 9 tomes de cette série réunie en trois volumes, et j'ai adoré l'histoire de Chen, devenu Chinaman, dans cet ouest américain violent, raciste, mu par le profit et le progrès. Chen est un personnage complexe, un homme d'honneur, qui tente de trouver sa place dans cette société qui le rejette.



Si les histoires sont globalement indépendantes les unes des autres (sauf les 2 derniers tomes qui se suivent clairement), le lecteur à intérêt à les prendre dans l'ordre car certains personnages reviennent, et Chen lui-même évolue. On peut regretter par moment des résolutions d'intrigue un peu faciles et rapides, mais l'ensemble m'a beaucoup plu.

Chen et Chow sont deux mercenaires à la solde du seigneur Wu Feï des Triades chinoises. Ils débarquent à San Francisco dans les années 1850 afin de remettre les triades locales dans le droit chemin.



Dans ce premier tome le héros, "Chinaman", se construit lentement. C’est sous le nom de Chen et imbibé d’un code de l’honneur démesuré et d’un respect inconditionnel de son maître qu’il débarque en pleine conquête des territoires reculés de l'Ouest. Une terre où beaucoup viennent bâtir une nouvelle vie et qui va également ouvrir les yeux de Chen et l’inciter (le contraindre) à repartir à zéro. Le Tendre développe ici intelligemment la psychologie de ce mercenaire dont les yeux et le cœur vont s’ouvrir en cours de tome pour que finalement son épée soit guidé par la raison à la place d’un code d’honneur basé sur le mensonge.



Ce premier tome bien construit autour d’un personnage mystérieux et bien développé, nous plonge au milieu d’ingrédients classiques du western : la conquête de l’ouest, la fièvre de l’or, etc. Des ingrédients que Le Tendre nous cuisine à la sauce chinoise avec deux personnages principaux (Chen et Chow) maniant le sabre au milieu de pistoleros et chercheurs d’or.



En plus d’un cadre classique mais teinté de façon originale et de personnages bien développés, ce premier tome va également nous livrer une intrigue intelligente, bien ficelée et habilement dévoilée. Le tout emballé dans un dessin précis d’Olivier Taduc qui rend bien les ambiances, voir même, par moment, les pensées des personnages.

J’attendais le onzième tome de ce spin-off visant à approfondir l’univers de XIII en se concentrant à chaque fois sur l’un des personnages de la saga, avec grande impatience. Comme chaque tome de cette saga est attribué à un duo inédit d’auteurs (tandis que Jean Van Hamme garde un œil sur l’ensemble afin d’éviter au maximum les incohérences scénaristiques) et qu’il y avait un certain Luc Brunschwig annoncé au scénario, vous comprendrez aisément pourquoi. Outre la joie de voir mon auteur fétiche sur une saga dont la taille du lectorat est à la hauteur de son talent, j’étais également curieux de découvrir ce que donnerait son association avec Olivier TaDuc (« Chinaman », « Griffe blanche »).



Si certains tomes de ce spin-off avaient la lourde tâche de s’intéresser à des personnages secondaires, Luc Brunschwig et Olivier TaDuc ont la chance (et la grande responsabilité) de pouvoir s’attaquer à l’un des personnages-phare de la saga. Jonathan Fly n’est en effet pas uniquement un journaliste engagé du « Mountain News », vivant caché dans un bled perdu nommé Greenfalls, c’est surtout le père adoptif de Jason Fly, alias Jason Mac Lane. Etant donné que XIII aura tenu tout le monde en haleine sous ce nom, je n’étais probablement pas le seul à attendre ce spin-off avec grand intérêt.



Ce one-shot plonge donc dans le passé du journaliste, levant ainsi le voile sur la période qui précède les événements tragiques de « La nuit du 3 août ». En se basant sur les informations contenues dans les tomes 6 et 7 de la série mère, Luc Brunschwig imagine une intrigue qui débute par l’étrange disparition du pasteur noir Isayah Caton-Wood, grand défenseur des droits de la population noire des Etats-Unis et homme qui dérange donc l’establishment. Au fil des pages, l’auteur va forcément également s’intéresser au sort de Jonathan Fly, mettant d’une part la (non-)relation qu’il entretient avec son fils en avant, mais dévoilant surtout pourquoi il a choisi de se terrer dans un bled paumé, ainsi que les faits qui ont précédé de son assassinat.



Luc Brunschwig a cette capacité de vous dresser le portrait de personnages forts, qui ne vous quittent pas une fois l’album refermé, mais j’étais cependant persuadé qu’il avait pour cela besoin de place et de temps… alors qu’il se retrouvait ici dans l’obligation de livrer un one-shot. Et bien, Houston n’a eu aucun problème et je me suis donc royalement planté, car le garçon nous livre à nouveau des personnages fouillés, qu’il nous croque en seulement quelques cases. Deux truites jetées à la poubelle par le petit Jason, un regard que le scénariste connaît visiblement trop bien à en croire la préface touchante dédiée à ses enfants, et hop, le tour est joué, on s’attache au gamin et à ses aventures. De même pour Jasper Konrad Glover, le grand patron du FBI, que l’on ne met que quelques cases à détester.



Une fois les personnages en place, l’auteur déroule le reste de ses capacités, c’est-à-dire une narration impeccable et cette aptitude à imbriquer toutes les pièces de son puzzle quand il faut et comme il faut. Force est également de constater que Brunschwig à beau faire une saga grand public, cela ne l’empêche pas de mettre en avant certaines pages peu glorieuses de l’histoire des Etats-Unis. Puis, il y a forcément cette relation père-fils, qui ne pouvait évidemment pas manquer et l’appel, thème qui tient l’auteur particulièrement à cœur. Bref, du Brunschwig en one-shot, j’en redemande !



Luc Brunschwig sait également s’entourer de personnages particulièrement talentueux pour la partie graphique de ses albums et c’est une nouvelle fois le cas avec Olivier TaDuc au dessin et Bérengère Marquebreucq à la colorisation. D’un trait réaliste, précis et parfaitement adapté au style de la saga originelle, le premier offre une mise en scène parfaitement rythmée et de toute beauté, tandis que la seconde semble aussi à l’aise en forêt qu’en pleine nuit, distillant à chaque fois la bonne ambiance.



Bref, le meilleur tome de la série et un one-shot qui place la barre très haute pour les deux tomes qui restent à venir : Daniel Pecqueur et Philippe Buchet pour le suivant, consacré à Alan Smith, et Jean Van Hamme himself et Olivier Grenson pour le treizième volet.
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Dans cet opus, Napoléon fait ressortir le coté féminin qui est en lui ! ce qui donne lieu à des situations cocasses pleines de tendresse.

La vie d'un petit garçon qui parle aux fantômes n'est pas de tout repos !

Dans le tome 1, la geurre entre les clans n'était qu'en arrière plan pour laisser place à une histoire de dragon et d'oeuf dont on se demandait bien la finalité. C'était une histoire gentillette. Dans ce deuxième tome le récit prend plus d'ampleur, s'étoffe, se complexifie. Une nette amélioration oui mais au final la lecture se fait très facilement et ça reste gentillet. Que ça soit par quelques facilités de résolution ou les personnages un peu stéréotypés comme notre guerrière quasi parfaite, notre beau soldat ou notre hors-la-loi égocentrique.

On ne boude pas pour autant pour plaisir dans ce monde fantasy que les dessins retranscrit à la perfection. De la douceur des traits en passant par des couleurs rouge ou sombres pour les momentsplus sous tension.

Un dernier tome devrait conclure ce premier cycle.

Franchement aussi bien que le tome 1, on s'amuse vraiment bien et moi perso j'aime bien pépé, il est hilarant.