À l’instar de ces saintes éducatrices, elle détestait et méprisait son apparence de femme, cette ignoble « ouverture » qui la livrait au désir incompréhensible des mâles, ce viol, en vérité, que la nature avait perpétré sur elle à l’instant de sa conception, et qui, depuis lors, se répétait chaque fois qu’un regard se posait sur elle ou qu’une main l’effleurait.