Nationalité : France
Né(e) à : Périgné , le 30/01/1953
Né(e) à : Périgné , le 30/01/1953
Biographie :
Pascal Mérigeau est un critique de cinéma français né le 30 janvier 1953 à Périgné dans les Deux-Sèvres.
Après avoir travaillé successivement aux Nouvelles littéraires, au Point et au Monde, il officie actuellement au Nouvel Observateur.
Il participe à la sélection des films pour le Festival de Cannes.
Il est l'auteur de livres sur Joseph L. Mankiewicz, Josef von Sternberg et Maurice Pialat.
Il a aussi écrit des nouvelles, dont Quand Angèle fut seule, écrite en 1983.
Pascal Mérigeau est un critique de cinéma français né le 30 janvier 1953 à Périgné dans les Deux-Sèvres.
Après avoir travaillé successivement aux Nouvelles littéraires, au Point et au Monde, il officie actuellement au Nouvel Observateur.
Il participe à la sélection des films pour le Festival de Cannes.
Il est l'auteur de livres sur Joseph L. Mankiewicz, Josef von Sternberg et Maurice Pialat.
Il a aussi écrit des nouvelles, dont Quand Angèle fut seule, écrite en 1983.
Source : Wikipédia
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Au cours de la Première Guerre mondiale, l'avion du lieutenant Maréchal et du capitaine de Boeldieu, de l'escadrille MF902, est abattu par le commandant allemand von Rauffenstein. Dans le camp de prisonniers, les deux français retrouvent leurs compatriotes déjà internés et bien décidés à s'échapper. Mais, alors que le trou qu'ils creusent depuis deux mois est sur le point de les mener vers la liberté, ils sont transférés dans un autre camp, Maréchal et Boeldieu se retrouvant à Wintersborn, forteresse médiévale où ils retrouvent von Rauffenstein, à la fois « enchanté » et « désolé » de les revoir...
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Renoir a exprimé par ailleurs les sentiments que lui inspire " l'horrible Santa Claus" :
" Nous voici entrés dans cette indécente période que les hommes de notre temps ont l'audace d'appeler Noël. Comme si la naissance du Christ avait eu un rapport avec cet étalage de goûts douteux. Le "Santa Claus" ou " père Noël" me semble être un associé de Galeries Lafayette, voire de Monoprix".
" Nous voici entrés dans cette indécente période que les hommes de notre temps ont l'audace d'appeler Noël. Comme si la naissance du Christ avait eu un rapport avec cet étalage de goûts douteux. Le "Santa Claus" ou " père Noël" me semble être un associé de Galeries Lafayette, voire de Monoprix".
Le film " La Règle du jeu" fait partie d'un courant qui a irrigué la production française et porté un regard souvent acéré sur les rapports de classe, la déliquescence des valeurs, la sottise et l'inculture des milieux bourgeois, le cynisme des possédants.
Ces films, avec plus ou moins de netteté, présentent le tableau crépusculaire d'un monde.
Ces films, avec plus ou moins de netteté, présentent le tableau crépusculaire d'un monde.
Renoir s'applique à mettre dans sa poche tous ceux qui l'approchent. A ce jeu-là, les acteurs se déclarent naturellement les premiers conquis. Il en est un pourtant qui sur le plateau de " French Cancan" n'est pas dupe.
Gabin connaît "son" Renoir comme personne et il n'a pas pardonné au cinéaste d'avoir acquis la nationalité américaine, que le fils d'Auguste Renoir ait choisi de ne plus être français. Le temps a passé depuis "La Bête humaine, un gouffre entre eux deux s'est creusé, où la guerre, l'Amérique, les blessures d'amour-propre occupent trop de place.
Gabin connaît "son" Renoir comme personne et il n'a pas pardonné au cinéaste d'avoir acquis la nationalité américaine, que le fils d'Auguste Renoir ait choisi de ne plus être français. Le temps a passé depuis "La Bête humaine, un gouffre entre eux deux s'est creusé, où la guerre, l'Amérique, les blessures d'amour-propre occupent trop de place.
L'importance du "Fleuve" dans la vie de Renoir tient autant à la violence du choc exercé sur lui par la découverte de l'Inde qu'au moment où ce choc se produit : Stroheim et Chaplin, ses idoles de toujours, comptent parmi les intimes de son existence, ils le tiennent pour leur égal, et de jeunes cinéastes en devenir, indiens pour commencer, français bientôt, voient en lui une référence absolue : devenu le pair de ses maîtres, Renoir se connait désormais des disciples.
Ray Bradbury tire de sa poche son exemplaire de "Renoir, my father" , qu'il demande à l'auteur de lui dédicacer. Renoir s'empare alors dans sa bibliothèque de "Fahrenheit 451", qu'il tend à Bradbury pour qu'il le signe.
Au cours de la conversation, Bradbury s'exclama : " Si nous autres artistes ne devions créer qu'à l'intention des nababs de la finance, l'histoire du monde se passerait sans aucune fichue oeuvre d'art"!
Au cours de la conversation, Bradbury s'exclama : " Si nous autres artistes ne devions créer qu'à l'intention des nababs de la finance, l'histoire du monde se passerait sans aucune fichue oeuvre d'art"!
Le 4 février 1944, dans l'appartement d'un juge de paix, Jean Renoir épouse Dido Freire. Charles Laughton lui ayant fait part de sa tristesse de n'avoir pas été choisi comme témoin, Renoir l'a institué troisième témoin, chargé notamment d'apporter les alliances, qu'il s'empressa d'égarer, contraignant le juge à utiliser la sienne et celle de sa femme.
Les films de Renoir ont été admirés d'abord parce que la vie semblait y couler de source, sans que le cinéma en apparence y soit pour rien, puis, dans la seconde partie de sa carrière, parce que le cinéma s'y affichait dans chaque plan.
Pour se rapprocher de sa manière et peut être, éviter de trop prêter le flan aux critiques des spécialistes et des conseilleurs de tout crin, Renoir va s'appliquer à porter sur les évènements historiques le regard de l'anonyme, du figurant de l'histoire et reléguer dans l'ombre les figures historiques et les grands évènements.
"La Marseillaise" ne sera pas la fresque annoncée mais une chronique de quelques faits ayant contribué à la chute de la monarchie.
"La Marseillaise" ne sera pas la fresque annoncée mais une chronique de quelques faits ayant contribué à la chute de la monarchie.
A propos du film " La grande illusion"
Outre Jean Gabin et Le Vigan, la distribution a longtemps prévu Louis Jouvet dans le rôle de Boëldieu et Pierre Renoir dans celui du commandant de la forteresse.
A l'origine, Maréchal (Gabin) s'évadait avec un certain Dolette (Le Vigan). Ils se donnaient rendez-vous chez Maxim's, le 25 décembre 1918. La fin du film montrait la fête chez Maxim's, et la table réservée pour Maréchal et Dolette...vide.
Outre Jean Gabin et Le Vigan, la distribution a longtemps prévu Louis Jouvet dans le rôle de Boëldieu et Pierre Renoir dans celui du commandant de la forteresse.
A l'origine, Maréchal (Gabin) s'évadait avec un certain Dolette (Le Vigan). Ils se donnaient rendez-vous chez Maxim's, le 25 décembre 1918. La fin du film montrait la fête chez Maxim's, et la table réservée pour Maréchal et Dolette...vide.
Le regard porté par Renoir sur la nature humaine est tout aussi dépourvu de complaisance dans "Journal d'une femme de chambre" que l'était celui de plusieurs de ses films des années trente.
Le spectacle de la vie tourne au grotesque, c'est ainsi que Renoir choisit de le peindre, lui qui depuis longtemps dissimule sous des allures bonhommes le peu de considération que lui inspirent les comportements de l'espèce humaine.
Le spectacle de la vie tourne au grotesque, c'est ainsi que Renoir choisit de le peindre, lui qui depuis longtemps dissimule sous des allures bonhommes le peu de considération que lui inspirent les comportements de l'espèce humaine.
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