Nationalité : France
Né(e) le : 19/08/1950
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Né(e) le : 19/08/1950
Biographie :
Patrick De Meerleer est un écrivain français.
Homme de culture issu du monde rural, il se passionne autant pour la montagne et la botanique que pour la musique et la littérature.
Il a été cadre technique à l'Office national des forêts - Toulouse de 1973 à 2010.
Installé en Midi-Pyrénées, il construit parallèlement une œuvre littéraire où une grande place est offerte à la nature, à l'art et aux déesses.
Ses nouvelles et ses romans s’inscrivent dans une démarche délibérée de rendre au monde rural sa noblesse et sa richesse, y faisant entrer aussi bien la musique, la peinture, en un mot la culture.
Il est membre de la Société des Études Camusiennes (SEC) et des Camusiens du Toulousain.
page Facebook : https://www.facebook.com/dmlpatrick
+ Voir plusPatrick De Meerleer est un écrivain français.
Homme de culture issu du monde rural, il se passionne autant pour la montagne et la botanique que pour la musique et la littérature.
Il a été cadre technique à l'Office national des forêts - Toulouse de 1973 à 2010.
Installé en Midi-Pyrénées, il construit parallèlement une œuvre littéraire où une grande place est offerte à la nature, à l'art et aux déesses.
Ses nouvelles et ses romans s’inscrivent dans une démarche délibérée de rendre au monde rural sa noblesse et sa richesse, y faisant entrer aussi bien la musique, la peinture, en un mot la culture.
Il est membre de la Société des Études Camusiennes (SEC) et des Camusiens du Toulousain.
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Citations et extraits (4)
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Dans le code Soleil, au chapitre de la culture personnelle, nous pouvons lire :
L'instituteur consciencieux poursuit une seule et même tâche : il s'instruit, il cultive son jardin. S'intéresser à tout ce qui l'entoure est une règle de conduite. C'est cette habitude de travail intellectuel, cet amour de l'étude désintéressée qui fait l'intérêt sa vie. Cette culture intellectuelle, l'instituteur l'élargira nécessairement par le contact avec la vie populaire. [...] L'éducateur qui aime son métier s'y consacre de toute son âme et sa propre éducation est le premier de ses soucis : elle doit se prolonger toute sa vie .
L'instituteur consciencieux poursuit une seule et même tâche : il s'instruit, il cultive son jardin. S'intéresser à tout ce qui l'entoure est une règle de conduite. C'est cette habitude de travail intellectuel, cet amour de l'étude désintéressée qui fait l'intérêt sa vie. Cette culture intellectuelle, l'instituteur l'élargira nécessairement par le contact avec la vie populaire. [...] L'éducateur qui aime son métier s'y consacre de toute son âme et sa propre éducation est le premier de ses soucis : elle doit se prolonger toute sa vie .
" Une toile peut exprimer bien plus qu'un pamphlet ou qu'un essai, bien mieux qu'un roman : ça saute aux yeux, un tableau ! "
[Patrick DE MEERLEER, "Le mortel que les sirènes ont charmé", Mon Petit Editeur, 2015, page 101]
[Patrick DE MEERLEER, "Le mortel que les sirènes ont charmé", Mon Petit Editeur, 2015, page 101]
Et puis c'est quoi un couple ? Un truc artificiel entre deux étrangers qu'il faut construire parce que ça rassure la société. C'est ce qu'il faut, être rassurés !
Les filles en savent long sur le point faible des garçons... Le sentiment amoureux n'est pas le fruit du hasard, il naît d'une nécessité.
Les filles en savent long sur le point faible des garçons... Le sentiment amoureux n'est pas le fruit du hasard, il naît d'une nécessité.
Extraits du livre : « Vivre, c’est comme franchir un fleuve sur les pierres émergées d’un
passage à gué. Parfois nous glissons et trempons les pieds ; il nous faut continuer les pieds
mouillés. De l’autre côté du fleuve, c’est trop tard. »
« Sur cette terre, soit tu crées, soit tu vis »
« Les femmes sans homme ne sombrent pas dans la mélancolie comme les hommes sans
femme »
« Il faut se méfier de la mémoire des hommes et de la transmission orale, toujours prompte à
enjoliver le passé. »
passage à gué. Parfois nous glissons et trempons les pieds ; il nous faut continuer les pieds
mouillés. De l’autre côté du fleuve, c’est trop tard. »
« Sur cette terre, soit tu crées, soit tu vis »
« Les femmes sans homme ne sombrent pas dans la mélancolie comme les hommes sans
femme »
« Il faut se méfier de la mémoire des hommes et de la transmission orale, toujours prompte à
enjoliver le passé. »
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