"Tiens, regarde. Tu as vu ? me soufflait Ernest, désignant l'enceinte.
- Quoi ?
- La mort. Le taureau était si près. C'est là que le torero entre vraiment dans la danse. Il doit savoir que la mort est là, de même que le taureau. Si bien que, lorsqu'il la repousse, à la dernière seconde, il y a un instant de magie. C'est là que vivre prend tout son sens." (p. 356)