Citations de Paulo Coelho (4389)
Je suis vivant. Pendant que je mange, je ne fais rien d'autre que manger. Quand je marcherai, je marcherai, c'est tout. Et s'il faut un jour me battre, n'importe quel jour en vaut un autre pour mourir. Parce que je ne vis ni dans mon passé ni dans mon avenir. Je n'ai que le présent, et c'est lui seul qui m'intéresse. Si tu peux demeurer toujours dans le présent, alors tu seras un homme heureux. Tu comprendras que dans le désert il y a de la vie, que le ciel a des étoiles, et que les guerriers se battent pare que c'est là quelque chose d'inhérent à la vie humaine. La vie alors sera une fête, un grand festival, parce qu'elle est toujours le moment que nous sommes en train de vivre, et cela seulement.
Les bergers, comme les marins, ou les commis voyageurs, connaissent toujours une ville où existe quelqu'un capable de leur faire oublier le plaisir de courir le monde en toute liberté.
Ce n'était plus un monde étranger : c'était un monde nouveau.
Si ce que tu as trouvé est fait de matière pure, cela ne pourrira jamais. Et tu pourras y revenir un jour. Si ce n'est qu'un instant de lumière, comme l'explosion d'une étoile, alors tu ne trouveras rien à ton retour. Mais tu auras vu une explosion de lumière. Et cela seul aura déjà valu la peine d'être vécu.
Personne ne doit avoir peur de l'inconnu, parce que tout homme est capable de conquérir ce qu'il veut et qui lui est nécessaire.
En Afrique quand un vieillard meure c’est toute une bibliothèque qui brûle
C'est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante
Le véritable amour permettait à chacun de suivre son propre chemin, sachant que cela n’éloignait jamais l’autre.
Le guerrier sait qu il existe un "effet cascade".
Il a souvent vu quelqu un mal agir envers un être qui n avait pas le courage de répliquer. Alors, par lâcheté et ressentiment, celui-ci a déchargé sa colère sur un autre plus faible, jusqu'à entraîner un vrai courant de malheur. Nul ne connait les conséquences de sa propre cruauté. C'est pourquoi le guerrier est prudent dans l'usage qu'il fait de son épée et n'accepte un adversaire que s'il est digne de lui.
Dans les moments de colère, il frappe du poing sur le rocher et se blesse la main.
Sa main finit par guérir; mais l'enfant qui a pris des coups parce que son père avait perdu un combat restera marqué toute sa vie.
Poulo coelho l'alchimiste
C'est dans le présent que réside le secret; si tu fais attention au présent, tu peux le rendre meilleur. Et si tu améliores le présent, ce qui viendra ensuite sera également meilleur. Oublie le futur et vis chaque jour de ta vie selon les enseignements de la Loi, et en te fiant à la sollicitude de Dieu à l'égard de ses enfants. Chaque jour porte en lui l'Eternité.
Car les gens cèdent à la fascination des tableaux et des mots et, pour finir, ils oublient le Langage du Monde.
Quand je marcherai, je marcherai, c'est tout. Et s'il faut un jour me battre, n'importe quel jour en vaut un autre pour mourir. Parce que je ne vis ni dans mon passé ni dans mon avenir. Je n'ai que le présent, et c'est lui seul qui m'intéresse.
Tout ce que nous craignons, c'est de perdre ce que nous possédons, qu'il s'agisse de notre vie ou de nos cultures. Mais cette crainte cesse lorsque nous comprenons que notre histoire et l'histoire du monde ont été écrites par la même Main.
Mais ce pressentiment qu'il avait fit naître en lui un certain trouble. Était-il donc en train d'apprendre, à son tour, ce fameux Langage Universel, qui connaît le passé et le présent de tous les hommes ? "Des pressentiments", disait souvent sa mère. Il commença à comprendre que les pressentiments étaient de rapides plongées de l'âme dans ce courant universel de vie, au sein duquel l'histoire de tous les hommes se trouvé liée de façon à ne faire qu'un: de sorte que nous pouvons tout savoir, parce que tout est écrit.
Certaines fois, il est impossible de contenir le fleuve de la vie.
Tout le monde ne peut pas voir ses rêves de la même façon.
Il avait compris qu'il y a certaines choses qu'on ne doit pas demander - pour ne pas échapper à son propre destin.
Et il s'apitoya sur lui-même, en pensant que, parfois, les choses changent, dans la vie, en l'espace d'un simple cri, avant même qu'on ait le temps de s'habituer à ces choses.