Bobby, après la mort de son frère était en charge "du clan". Jackie, était une icône pour les américains et un atout pour les Kennedy. Son image de veuve éplorée devait rester intacte.
Je veux bien admettre que Onassis et Robert Kennedy ne s'appréciaient guerre. De là à penser que le premier aurait commandité le meurtre du second, il y a un gouffre. Et ce livre n'aide pas à le combler.
Par contre l'image de Jackie est sévèrement écornée et semble rejoindre divers témoignages récents.
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Mon avis est très mitigé. En grand naïf j’aurai tendance à prendre tout ce qui est écrit dans ce livre au pied de la lettre, d’un autre côté je reste sceptique. C’est le genre de livre où ; à mon avis, seule une partie de la vérité est écrite. Je pense qu’on ne saura jamais vraiment qui est derrière cet assassinat, tout comme pour de nombreux autres assassinats du même acabit. Quoi qu’il en soit les personnages qui ont fait l’Histoire ne sont guère reluisants : Bobby n’étant probablement pas aussi fidèle qu’on a pu le dire à Ethel la mère de sa ribambelle d’enfants (Jackie, Marylin et bien d’autres). Quant à Jackie Kennedy elle est présentée sous un jour que je ne lui soupçonnais pas, si ce qu’écrit l’auteur est vrai, elle n’était pas l’épouse bafouée, trompée et qui servait de potiche qu’on a bien voulu le dire : infidèle elle aussi, avide de richesse et de luxe… Un livre à prendre avec des pincettes…
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