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Critiques de Philippe Moreau Defarges (13)
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Les Etats-unis et la France : la puissance ..

Le petit livre de Philippe Moreau Defarges est percutant. Il montre, avec beaucoup de clarté, que les relations franco-américaines sont dominées par un sentiment : l’agacement. Agacement français d’avoir perdu le statut de grande puissance, au profit d’une nation que Lafayette a aidé à construire. Agacement américain face à cette petite nation « embêteuse du monde » (l’expression est de Jean Giraudoux) qui, telle la mouche du coche, vient sans cesse questionner la marche tranquille de son hégémonie.



Philippe Moreau Defarges explore les trois « terrains » du bras de fer franco-américain : l’économie, la culture, l’Europe. Que ces trois enjeux constituent autant de terrains de dispute entre la France et les États-Unis n’est guère discutable. Mais, pour chacun d’eux le défi ne se situe pas au même niveau.



L’économie est la partie la plus visible du différend franco-américain : OGM, bœuf aux hormones, conflit de la banane, lois extra-territoriales Helms-Burton et d’Amato-Kennedy, exception culturelle sont autant de points de discorde euro-américaine, et plus particulièrement franco-américaine que l’arbitrage de l’OMC ne parvient pas à résoudre.

Mais les querelles économiques traduisent toutefois tout autant l’américanisation du monde que la mondialisation de l’Amérique (Alfredo Valladao l’a pleinement démontré).



La culture est autant un symptôme qu’une cause de conflit transatlantique : si la France revendique qu’un sort particulier soit réservé aux « biens de l’esprit » dans les négociations commerciales, c’est au nom d’une « exception culturelle » qui fonde peut-être toute la mésentente franco-américaine. La France, à tort ou à raison, se croit porteuse d’une spécificité culturelle, d’autant plus précieuse qu’elle serait menacée en ces temps de nivellement mondialiste. La sacrifier, c’est perdre toute légitimité à demeurer « l’embêteuse du monde ».



L’Europe enfin est autant un terrain de dispute qu’une modalité possible de résolution du conflit. Avec l’Europe, la rivalité franco-américaine, structurellement déséquilibrée au détriment de la France, se rééquilibre. L’Europe, appréhendée comme un amplificateur de puissance, serait le moyen pour la France de parler d’égal à égal avec les États-Unis. Mais la construction européenne est-elle toujours congruente avec les intérêts français ? Ce qui fut le cas hier (avec la PAC ou la politique de coopération avec les pays ACP) le sera de moins en moins demain au fur et à mesure de l’élargissement et de l’approfondissement de la construction européenne. Si bien que la France, dans sa relation avec les États-Unis et dans son instrumentalisation de l’Europe, risque paradoxalement de nuire à ses intérêts nationaux (en promouvant l’Europe) en voulant les défendre (face aux États-Unis).
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La Communauté Internationale

« L’expression “communauté internationale” est désormais omniprésente dans les médias : la communauté internationale regrette, déplore, condamne, proteste… Qu’est cette entité invoquée par la presse, la télévision, mais aussi par les hommes politiques, les chefs d’État ou de gouvernement ? » (p. 3). C’est cette expression galvaudée que Philippe Moreau Defarges interroge en 124 trop courtes pages.



À première vue, la fin du XXe siècle semble avoir consacré l’apparition d’une telle communauté. Les progrès de la mondialisation – Internet, par exemple, qui, en temps réel, permet, où que l’on se trouve, de connaître et de dialoguer – et la fin de la guerre froide – qui signe la réunification de la planète jusqu’alors divisée en deux blocs antagonistes – devraient permettre l’émergence d’un espace public enfin universel. Cet espace partage des valeurs communes, la démocratie dans l’ordre politique, le marché dans l’ordre économique ; en ce sens, il constitue une communauté (Gemeinschaft). Cet espace, en outre, est désormais régi par des règles communes. C’est dans cette mesure qu’il constitue une société (Gesellschaft). On aura reconnu la traditionnelle distinction introduite par Ferdinand Tönnies en 1887.



La société internationale regroupe désormais 193 États à I’ONU. Elle a sa constitution : la Charte des Nations unies du 26 juin 1945, qui pose en principes fondateurs l’égalité souveraine des États et la prohibition de l’ingérence, et son gendarme, le Conseil de sécurité, qui a en charge de prévenir et de sanctionner, le cas échéant, toute violation du pacte fondateur. Cette société internationale a aussi ses sujets de prédilection. Les échanges financiers et commerciaux : ce sont les accords de Bretton Woods et le GATT. Les ressources naturelles : c’est tout le processus de Rio visant à protéger l’environnement, « bien commun de l’humanité ». La prolifération des armements nucléaires (TNP, CTBT…) ou conventionnels (mines antipersonnel). Les droits de l’homme : ce sont l’arrestation de Pinochet, la création d’une Cour pénale internationale.



L’ouvrage de Philippe Moreau Defarges serait de peu d’intérêt s’il se bornait à cette plate description d’une communauté internationale en cours de construction. Loin de tenir pour argent comptant ce phénomène, il en décortique les fondements en posant deux questions essentielles.

Quels acteurs ? En droit, la société internationale est, aujourd’hui, conformément aux principes de la charte de l’ONU, exclusivement composée d’États. Mais à côté des États, au-dessus et en dessous d’eux, une société transnationale se constitue. Les ONG semblent en être les principaux acteurs. L’échec de la conférence de Seattle, la signature du traité d’Ottawa sur les mines antipersonnel ou, dans une moindre mesure, l’intervention alliée au Kosovo pour des motifs soi-disant humanitaires témoigneraient de leur influence croissante sur la scène inter/transnationale.



Pour autant, l’État demeure, quoi qu’on en dise, l’acteur incontournable des relations internationales. Certes, il est désormais influencé par « la société civile mondiale » : le cycle du Millénaire, par exemple, se serait engagé sous de meilleurs auspices, sans la vague de contestations que les ONG, en coulisses, avaient provoquées. Mais, in fine, ce sont toujours les États qui agissent. Ce sont les États qui, à Kyoto en décembre 1997, décident de réglementer les émissions de gaz à effet de serre (GES). Ce sont les États qui signent ou ne signent pas le traité d’Ottawa. Ce sont les États qui décident de libéraliser le commerce ou, au contraire, de défendre une exception, culturelle ou agricole.



La question de la légitimité est la seconde interrogation essentielle. La communauté inter/transnationale est censément fondée sur des valeurs communes. À première vue, un consensus global s’établit autour d’une liste minimale : droits de l’homme, démocratie, libéralisme... Pourtant, ces valeurs sont lourdes d’équivoques. Le respect dû à la libre détermination de l’individu et des peuples oblige-t-il à accepter tous les communautarismes, tous les sécessionnismes ? La liberté des échanges condamne-t-elle toute politique protectionniste ? La protection de l’environnement ne protège-t-elle pas, en fait, les intérêts bien compris des puissances développées au mépris du droit au développement des pays pauvres ?



Il n’existe évidemment pas de réponse catégorique à ces questions. Philippe Moreau Defarges n’a pas la prétention de les apporter. Mais il ouvre au passage une perspective effrayante : si l’adhésion unanime autour de valeurs universelles s’avère si difficile, c’est peut-être que la constitution d’une communauté nécessite d’autres ingrédients. Pour se poser, une communauté, dit-il, a besoin de s’opposer. En replaçant, après Carl Schmitt et Julien Freund, l’ennemi au centre du politique, en posant comme condition préalable à la constitution d’une communauté l’existence d’un extérieur contre lequel s’affirmer, Philippe Moreau Defarges ne condamne-t-il pas la notion même de communauté internationale ?
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La Géopolitique pour les Nuls - poche

Pour résumer ce livre, il est efficace, authentique et riche en exemples afin de comprendre le sens du mot "géopolitique", ses enjeux pour chaque pays et la construction des structures humaines, économiques, sociales, politiques, militaires et culturelles :) Les chapitres sur le Moyen-Orient, l'Afrique, l'Asie-Pacifique et l'Europe sont très fournis en explications et actualité!
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Introduction à la géopolitique

Une excellente initiation à la géopolitique. En fin connaisseur de cette discipline, l'auteur nous dresse une chronologie des différents courants de la géopolitique. De l'hégémonie maritime de MacKinder à Yves Lacoste en passant par le déterminisme de Ratzel, une introduction complète pour qui souhaite apprendre les bases en géopolitique.
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Repentance et reconciliation

Que restera-t-il du XXème siècle ? L’Histoire en retiendra sans doute les crimes horribles qui y furent commis. Elle relèvera aussi que l’humanité, tiraillée par la culpabilité et désireuse de se réconcilier avec elle-même, a, dans ce même XXème siècle, et pour la première fois peut-être de son histoire, accepté de reconnaître et d’expier ses crimes.



C’est ce phénomène de repentance qu’analyse avec brio Philippe Moreau Defarges. Ce prolifique auteur traitait, dans ses précédents ouvrages, des relations internationales, avec une grande clarté et un esprit de synthèse. S’éloignant de ses terrains de prédilection, il traite avec un égal succès cette question nouvelle, à l’intersection des relations internationales, de l’histoire et de la science politique. Il éclaire les fondements de cette vague de repentance qui semble balayer le monde des années 90, depuis les déclarations du président Chirac lors de la commémoration de la rafle du Vel d’Hiv jusqu’aux prétoires australiens reconnaissant aux aborigènes des droits fonciers, en passant par la commission sud-africaine pour la vérité et la réconciliation présidée par Mgr Desmond Tutu et la reconnaissance par l’Assemblée nationale du génocide arménien.



Cette mode de la repentance a, selon Philippe Moreau Defarges, plusieurs causes.Tandis que disparaît la raison d’Etat, l’exigence de justice ne cesse de croître. L’Etat perd toute immunité : à lui d’assumer la responsabilité des crimes qu’il commet. Dès lors que “ l’oeil est toujours dans la tombe ” (Victor Hugo), les Dix-Huit Brumaire ne resteront pas impunis : Pinochet aujourd’hui, Castro et Kabila demain peut-être en témoigneront.



Si la repentance est par ailleurs exigée, c’est que la victime, glorifiée par les opinions publiques, a désormais droit de parole. La seconde moitié du siècle, nous dit Philippe Moreau Defarges, est “ l’époque de la prise de parole des “ vaincus ”, des muets, des inférieurs ”. A l’âge démocratique les relations du vainqueur et du vaincu sont en fait ambiguës. D’un côté le vainqueur exige du vaincu une capitulation morale, une repentance. C’est que la victoire ne sourit plus seulement au plus fort, elle sourit à celui qui a raison. Cette ordalie débouche logiquement sur les jugements de Tokyo ou de Nuremberg au lendemain de la seconde guerre mondiale. Le vaincu n’est pas pour autant privé de ses droits. Par un curieux renversement, le vaincu peut culpabiliser le vainqueur de sa victoire, en exigeant de lui une repentance. C’est tout le processus en oeuvre chez les peuples anciennement colonisés d’Océanie (Australie, Nouvelle-Zélande) ou d’Amérique (Amérindiens, esclaves noirs).



Si les causes de la repentance sont multiples, ses manifestations ne le sont pas moins. La typologie de Philippe Moreau-Defarges est robuste. Il distingue quatre grands types de “ repentance-réconciliation ”. D’abord les repentances spectaculaires : celles suscitées par le génocide juif, celles de l’Eglise catholique (laquelle, sous le pontificat de Jean-Paul II, a adopté pas moins de 90 textes où elle reconnaît ses fautes historiques : croisades médiévales, traite des Noirs, persécution de Galilée, excommunication de Luther ...). L’auteur fait montre à leur égard d’un scepticisme excessif. Selon lui, “ aucune repentance ne peut être séparée d’un rapport de forces ”. La Realpolitik récupère-t-elle décidément toujours la repentance à son compte ?



A l’opposé des “ repentances spectaculaires ”, Philippe Moreau Defarges évoque les “ repentances refusées ”. Celles de la Turquie à l’égard du peuple arménien ; celle du Japon qui tarde à se repentir des crimes commis durant la seconde guerre mondiale. Tout se passe comme si avoir subi les bombardements nucléaires de Hiroshima et de Nagasaki empêchait les Japonais d’opérer leur Vergangenheitsbewältigung (littéralement : domination, maîtrise de son passé). Autre catégorie : les “ repentances improbables ”. L’auteur évoque ici tour à tour la responsabilité américaine dans l’utilisation de l’arme atomique au Japon (mais s’agit-il d’une faute, qui appelle repentance ?), l’anéantissement des populations indiennes d’Amérique du nord et l’asservisssement des esclaves noirs (les Etats-Unis ne se repentent-ils pas de ces crimes, notamment dans leur production cinématographique depuis Danse avec les Loups jusqu’à Amistad ?), l’exode des populations palestiniennes de la terre d’Israël.



Entre ces deux catégories, Philippe Moreau Defarges traite de la question connexe de la réconciliation. Celle-ci ne passe pas toujours par la repentance. La réconciliation suppose parfois l’oubli. Quand les armes enfin se taisent au sein d’un pays déchiré par la guerre civile, la meilleure solution n’est-elle pas de tourner la page ? Si une authentique paix civile réclame sans doute tôt ou tard un processus d’expiation des crimes commis, celui-ci ne se fera-t-il pas au péril du retour à la paix ? Si souvent les dictateurs acceptent de céder le pouvoir sans effusion de sang, c’est précisément avec la promesse d’une loi d’amnistie qui garantira leur impunité : la péninsule ibérique dans les années 70, le continent latino-américain dans les années 80 en donnent l’exemple.



Mais l’amnésie est-elle une thérapie efficace ? Elle l’est peut-être dans le court terme ; mais elle ne saurait être définitive. Tôt ou tard, une communauté doit faire face à son Histoire. La France en porte témoignage, laquelle, depuis soixante années ne cesse d’être déchirée par le syndrome de Vichy (Henry Rousso) faute pour elle d’avoir dès l’après-guerre rompu avec la lecture “ résistantialiste ”. La conclusion de l’auteur est sombre, là où le phénomène qu’il analyse semblait si positif : si l’oubli est impossible, si la repentance est toujours et partout instrumentalisée, “comment vivre ensemble” ?

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La mondialisation

La mondialisation est un phénomène d'européanisation du monde qui a début il y a 2000 ans, politiquement par la création des Empires, et spirituellement par les religions monothéistes, puis s'est poursuivi par la découverte du nouveau monde et la colonisation. Les conflits européens se sont exportés puis le capitalisme britannique (par la conquête des marchés). Depuis 1945, c'est la décolonisation et la disparition des Empires coloniaux qui créent la mondialisation par la création d'un espace mondial unique. Tout s'accélère à partir des années 1970 et l'enrichissement des trente glorieuses par l'internationalisation de la finances et l'expansion de la société de consommation. Enfin, après 1990 s'opère une deuxième accélération par la disparition des "modèles d'autosuffisance" (entre autres la Russie).

La mondialisation s'observe comme une augmentation des flux : des personnes, des biens et des services, de l'argent et des représentations mentales. Les acteurs sont impactés : les individus, déracinés et atteint de solitude ; les entreprises condamnées à étendre leur domaine d'action au monde ; les Etats, affaiblis par l'impossibilité de mener la guerre, bousculés par des opinions publiques cosmopolites, ne contrôlant plus leur monnaie, leur législation, ni leur fiscalité, sont de moins en moins capable d'assurer la sécurité de leurs citoyens. La mondialisation incite à la création de normes mondiales, ce qui n'est pas sans générer de conflits, culturels, financiers, sociaux.
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L'histoire du monde pour les nuls

Très bon ouvrage de la collection « Pour les Nuls » que j’ai trouvé complet avec de réelles qualités didactiques : on commence à la préhistoire pour arriver à nos jours sur tous les continents. Evidemment, on traite d’événements très globaux dans ce livre de 500 pages. Mais j’y ai découvert des pages d’histoire qui m’étaient complètement inconnues, plus particulièrement en Afrique et en Océanie.

Un de mes préférés de la collection qui fait partie de mes livres de chevet.

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La géopolitique pour les Nuls en 50 notions clés

Livre assez intéressant qui nous permet d'en apprendre plus sur la géopolitique et le monde qui nous entoure. La seule chose ne dommage est que les chapitres sont extrêmement courts, minimum 4-5 pages. Je recommande ce livre pour toutes les personnes souhaitant se documenter sur le monde qui nous entoure.
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Nouvelles relations internationales

Ouvrage très utile pour s'initier aux relations internationales. L'auteur schématise les processus historiques qui amènent le monde et les régions qui le composent à ce qu'ils sont, ainsi que leur rapport aux grandes problématiques contemporaines (libéralisme, universalisme, écologie). Ecrit sous la forme d'un plan aux multiples subdivisions, il offre une vision synthétique agrémentée d'encadrés rappelant le sens de concepts ou de termes importants. Si vous ne vous y retrouvez pas dans les institutions de l'UE, que vous ignorez les enjeux du droit d'ingérence, ou que vous cherchez comment se traduit concrètement l'opposition souverainisme/mondialisme, voilà une lecture enrichissante. On notera toutefois défavorablement un certain parti pris de l'auteur (on sent que l'élection de Trump a été mal digérée), et de nombreuses coquilles (éditions Points 2017). Par ailleurs, ce genre d'ouvrages est condamné à être rendu obsolète tous les ans, certains passages (présidence Trump, Brexit, Daesh), méritant d'être repris à l'aune des évolutions récentes.
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La géopolitique pour les Nuls

Les livres « pour les nuls » sont toujours très bien fait : de nombreuses informations, une bonne présentation, un peu d’humour et finalement un livre que l’on dévore ou que l’on picore en travers pour y piocher les infos essentielles pour nous. « la géopolitique pour les nuls » fait partie de cette seconde categorie car les notions abordées sont très larges : la paix, la guerre, les droits de l’homme, l’économie, les grands hommes ...
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Relations internationales : Tome 2, Questio..

Très bien fait et rendu compréhensible grâce à une structure de chapitres intelligente. Un livre de référence à consulter régulièrement..
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La mondialisation

Comprendre le vaste monde est le théme du livre.
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Ramses 2012 - Les Etats submergés ?

L'exercice de l'Ifri ne consiste pas simplement à prédire les grandes évolutions du monde mais, en fournissant nombre de réflexions et de données statistiques, il permet de se faire une opinion.
Lien : http://www.lesechos.fr/cultu..
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