Citations de Pierdomenico Baccalario (114)
- On l'appelle le Jardin de Cendres, dit une voix derrière elle.
Anita fit volte-face : c'était Pirès, le majordome, qui s'était approché d'elle sans faire de bruit.
-Je suis désolé de vous avoir fait peur, s'excusa-t-il.
L'étrange majordome semblait sortir d'une autre époque. Et en y réfléchissant bien, c'était peut-être le cas...
J'avais entendu dire un jour que la peur attire plus que la joie. Que l'horreur fascine. C'était sacrément vrai. J'étais partagé, tiraillé entre le besoin de m'échapper le plus vite possible, et celui de rester, de regarder.
[...] comme tous les Ecossais, il avait appris à faire coexister les croyances et les superstitions, les religions et les légendes, les grandes et des petites divinités. Il était tout à fait normal, pour nous, de croire au bon Jésus qui protégeait les enfants et aux banshee - ou messagères de la mort - qui les enlevaient.
Je me dis que la différence entre une école et une prison, c'est qu'avec un peu de chance on peut sortir de prison en moins de cinq ans.
Parfois, les choses peuvent paraître différentes de ce qu'elles sont en réalité.
Ne joue pas à cela avec moi, mon garçon. Tu es peut-être un homme, mais tu restes mon fils et si tu veux vivre sous mon toit, tu dois m'obéir. Si je dis que tu dois aller à Viyes, tu iras.
Les voix des hommes ressemblaient à des bruissements, comme des murmures. Les jeunes avaient des voix plus aiguës. Celles des anciens étaient plus graves et mesurées.
Tout le monde sait que dans les livres pour enfants, il faut tout de suite découvrir le héros. Et ça ne peut vraiment pas être ce vieux Maugrisse. Le héros doit avoir l'âge du lecteur !
j'éprouvais un sentiment de paix, comme cela m'arrivait parfois, certains jours, au bord de la rivière. Ces jours qui semblent saturés de poudre magique en suspension dans l'air. Et qui le sont peut-être vraiment.
"Les doigts de la jeune fille frôle alors un objet. Souple mais solide. Pas très grand"
Je suis le seul à avoir pensé à un moment érotique pendant ces lignes??
Jason Julia et Rick repartent dans une nouvelle aventure : en Égypte pour encore plus de frisson et énigmes!
Les hommes du Laboratoire ne faisaient pas partie de la police. Ils travaillaient pour une gigantesque corporation nommée K-Lab, la plus grande agence internationale de falsification d'information. On l'appelait "le Laboratoire" parce que ses agents inventaient sans cesse de nouvelles stratégies pour modifier la réalité : parfois, une simple publicité suffisait, mais, en d'autres occasions, ils devaient recourir à des escadrons d'hommes armés, sans que personne - ni l'opinion publique, ni la police, ni les organisations internationales - ne s'en émeuve.
Sa mère se trouvait tout là-haut, juste sous les poutres. Elle portait une blouse de travail tachée de pigments et de terre. Un bonnet en plastique protégeait ses cheveux blonds. Avec ses énormes lunettes jaunes, elle ressemblait à un horrible insecte.
- Il m'a dit que vous étiez amis.
(...)
- On l'a été, oui, autrefois. Mais, comme dit le poème, chacun se dit ami, mais fou qui s'y repose...
- Je ne comprends pas...
- C'est de Jean de la Fontaine. Il ajoute: Rien n'est plus commun que le nom, ruen n'est plus rare que la chose. Tu ne connais pas ses fables? Ca alors! Que lis-tu?
- Capitaine Mesmero, une BD.
- Si plus personne ne s'intéresse à la littérature, pas étonnant que le monde ne tourne pas rond! Je...