Pour tous ceux que les subtilités de la grammaire française fascinent ...ou agacent!
Joyeux extraits de "Petits plaisirs et entourloupes de la langue française" de Pierre Decock
Tout avait basculé par une belle après-midi d'été, lorsque, assis sur un banc de la place, Tommy avait aperçu Miss Tinkletongue avec des airs de conspiratrice.
Tout d'abord, nous savons maintenant que Miss Tinkletongue a été tuée dans les caves du château par un homme et pour une affaire d'argent.
Ils étaient seuls dans la maison d'une morte, un tombeau, avec un tueur qui dehors les attendait patiemment.
Un bon laitier se doit d'être compatissant, aimable, ponctuel et discret. Que l'une de ses vertus vienne à manquer et, très vite, les clients ronchonnent, se plaignent de la qualité de l'embouteillage, d'un arrière-goût quelconque, de l'excès ou du manque de crème.
En conclusion, on voit la prétention qu’il y a à affirmer que dans notre grammaire tout n’est qu’ordre et beauté et que la connaissance de quelques règles élémentaires permet d’y voir clair. La prétention est plus grande encore quand certains pensent être en mesure d’inventer les mots ou règles qui leur conviennent et espèrent les voir s’imposer au travers de quelque recommandation officielle.
Pour paraphraser Clémenceau, la langue française est sans doute une chose trop grave pour la confier aux grammairiens !
Je ne comprends pas.
À qui sont ces souvenirs de plage et de voyages? Qui sont ces gens si familiers que j’entrevois parfois dans mes rêves? Qui est cette dame inconnue qui parfois me sourit
depuis les tréfonds du passé.
Plus j’y réfléchis, plus m’apparaît clairement cette terrible vérité.
Je suis un autre.
Après une heure, je parviens à la limite de la zone jaune, la zone dite « modérément dangereuse ». Il est bien entendu interdit d’y circuler sans autorisation et l’autorisation en question est impossible à obtenir. Ce premier périmètre complètement évacué est délimité par une clôture et des panneaux d’avertissement. Je m’assure qu’aucune patrouille n’est en vue, puis à l’aide de ma pince coupante, je me ménage une ouverture dans le grillage. Je passe d’abord mon sac, avant de me glisser entre les mailles.
Voilà qui est fait …ce n’était pas plus difficile.
Luxembourg, me voici !